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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le président était toujours avec le maréchal et celui-ci n'entendait pas laisser passer l'infraction constatée sur l'auto.
- Vous commencez à me courir sur le système avec votre névrose mon maréchal. Malgré le respect dont je vous dois rigueur, je vous le note, cependant.
Je suis quand même très étonné de cet étrange cheveu dont vous disposiez comme un fameux outil. C'est fort dommage que l'on vous l'ait retiré.
Malgré tout ça, je vais aller voir la contrevenante de près. Je n'ai pas de dard au milieu du front et je ne risque pas de crever ces pneumatiques qui manquent de pression.
- Écoutez, mon général, si j'avais gardé ce cheveu, je n'aurais jamais pu avoir une vie normale. Imaginez un peu les inconvénients que j'en avais à longueur de journée. Les lunettes de plongée, les cordons-bleus au sol, le fait d'être devenu chauve, d'avoir mis le feu chez ma promise et tant d'autres aventures aussi vraies que celles-ci.
- Oui, dans un sens, c'est aussi bien qu'ils vous l'aient enlevé. Le principal étant que vous ne craignez plus une rechute.
- Cela m'est arrivé alors que j'avais dix-huit ans. J'ai d'ailleurs échoué au permis de conduire à cause de cette rechute qui a été fulgurante et très ennuyeuse.
- Ha bon, mais comment cela, a-t-il pu, vous faire échouer au permis de conduire. On ne conduit pas avec le front à ce que je sache.
- Hé bien, je vais vous l'expliquer et vous verrez que cela eut été un cauchemar. Cela a commencé le matin de l'examen.
J'arrive à l'auto-école et un des élèves me dit, tien, tu as été à un bal masqué. Je lui demande pourquoi il me dit ça, car j'étais parfaitement habillé. Hé bien, pourquoi tu as une corne sur le front. C'est alors que j'ai compris que ce vilain cheveu avait repoussé. J'ai dû expliqué à l'examinateur que cela n'était rien et que je pourrais passer quand même l'épreuve de la conduite. Il avait cru que j'étais déguisé en licorne. Déjà pour commencer, je me suis penché pour ouvrir la voiture et j'ai raillé le toit avec celui-ci. L'examinateur me dit, nous ferrons un constat après nous n'avons pas le temps. C'est ainsi que je suis parti passer la conduite. Au bout d'une centaine de mètres, j'ai été victime d'une crise de bigloucherie. N'ayant plus mes lunettes de plongée depuis des années, j'ai dû suivre la bande axiale pour rouler droit. Le problème fut que le cheveu actionnait la commande des essuies glaces et de clignotants. Du coup j'ai actionné l'essuie-glace et il s'est arrêté au milieu du pare brise. En penchant la tête en avant mon cheveu est passé au travers et il perça le verre. Paniqué, l'examinateur a freiné avec la double commande. Moi j'ai actionné avec le cheveu le clignotant gauche. Un car qui nous suivait pensant que je tournais nous à doubler sur la droite pendant que mon examinateur donnait un coup de volant à droite pour garer l'auto. L'accident fut inévitable. Le car coupa la voiture auto école en deux. Je me retrouvais à côté du car la moitié de voiture étant restée sur la chaussée. C'est ainsi que mon cheveu a frôlé le bord du car qui se retrouva découpé sur toute sa longueur. Il n'y avait aucun blessé. La voiture était foutue. Les pompiers ont coupé l'autre côté du car et il est devenu un car cabriolet et a donc put reprendre la route. Suite à ça, je suis rentré chez moi et pris rendez-vous pour me faire amputer du cheveu. Quelques mois plus tard, j'ai reçu trente et une plaintes de là par des voyageurs du car qui s'étaient enrhumé à cause du car cabriolet. J'ai dû aussi remboursé la voiture auto école. Alors vous comprenez pourquoi je suis méfiant.
- Hé bien mon maréchal, c'est épouvantable cette histoire. Je m'en vais de ce pas aller conter la loi à la mignonne de l'épicerie.
Le général partit vers l'automobile et scruta les pneus. Il ne fit même pas attention à la Dacia du brigadier qui était quelques mètres plus bas.
Le pauvre gendarme était partiellement dégrisé et il avait repris la route. Malgré tout, il ne se sentait pas très bien et venait de rencontrer un coq qui lui avait parlé. Celui-ci faisait de l'auto-stop et le brigadier était avec lui en train de s'expliquer dans la voiture.
Le brigadier mit des coups de pieds dans les pneus et partit dans l'épicerie.
Il vit la femme dans le fond du commerce proche de la rôtissoire.
- Hé bien, quand je pense que son cousin l'appelle, Bob Marley, je l'appellerais plutôt Vilaine Fermière la rouquine. Sans contrefaçon, je suis une vilaine, et pour ne pas mentir, je suis pâle comme un fakir, sans contrefaçon.
La femme arriva et vit l'homme en uniforme.
- Bonjour monsieur, je pense que vous vous êtes trompé d'adresse. Nous ne vendons pas de bazooka où de munitions ici ni de char d'assaut. Ceci dit, c'est dommage, vous êtes un très bel homme. Mais qui êtes-vous, monsieur au fait et que faites vous sur la commune, y aurait-il une parade militaire.
- Je suis le père Noël ma toute belle, et j'ai un joli cadeau pour toi, Vilaine Fermière.
La femme fut pour le moins décontenancée.
- Tu roules avec des pneus sous gonflés et c'est un délit routier extrêmement grave passible de la chaise électrique à perpétuité.
Le général sortit une paire de lunettes de sa poche et la posa sur son visage. Il sortit ensuite un carnet à souche et releva les yeux.
- Hé bien, vous êtes beaucoup plus belle que je ne l'avais vu au premier abord. Je suis un peu myope. Vous ressemblez à Nenette Corner, l'accordéoniste. Je n'en reviens pas. Je suis un fan inconditionnel de Nenette et j'en suis secrètement love. Je passe la main pour cette fois concernant les pneus. Cependant, me permettez vous que je vous invite à dîner au restaurant.
L'épicière était en fait très ravie, car elle trouvait le général très charmant.
- Hé bien, c'est entendu, j'accepte l'invitation quand vous le désirerez.
C'est à cet instant qu'arriva Coco dans la boutique.
Le Pépère était derrière le cochon qui venait de se faire remonter les bretelles par Ragoût.
- C'est de sa faute au cyclope, il a dû lire la notice sur Google et comme il n'a qu'un yeux, il a dû voir la moitié de l'explication. Attend Enrich, regardons avant s'il n'y a pas une notice avec cette voiture. Je pourrais peut-être réparer.
L'homme revint vers la voiture et resta un moment dedans avant d'en descendre et d'aller vers le coffre. Il sortit un cric et une roue de secours. Il se mit à changer une roue avant.
- Toc toc toc, c'est très très long, que faut-il, la siamoise est en danger, toc toc toc.
- Fle fle fle, nous aurions dû appeler ma gendarme poète pour qu'elle nous aide, fle fle fle. C'est la meilleure enquêtrice de la région, toc toc toc.
- Tu penses qu'ils ne sont pas loin Pépère ?
- Oui, écoute Chatdore, s'ils sont proches, laissons cet homme, qui a l'air totalement idiot. Il n'a pas l'air de savoir ce qu'il fait.
- Oui, tu as raison Pêcheur, c'est vraiment très long. Même mon soûlard avec dix grammes de sang par litre d'alcool va plus vite.
Oui, Lolo et Chadore, je pense que l'on devrait aller à l'étang directement sans nous soucier de ce boulet.
Mon pauvre Coin-coin, ma maîtresse, que j'aime, est malheureusement toujours à Lourdes à la grotte des moines avec son ami portugais. Lui, il répare les fissures et elle a été assignée à résidence durant un temps, car elle a blessé un chien accidentellement en voulant aider la police. Je le sais, car, figurez vous que j'ai arrêté le temps avec ma magie et j'y ai été à l'instant en me déguisant en bouteille. J'ai juste eu le temps avec ma magie de revenir, car j'ai failli être broyé entre des griffes.
- Toc toc toc, qu'est-ce que c'est que cette histoire toc toc toc.
- Fle fle fle, pourquoi a-t-elle blessé un chien, fle fle fle.
- Pourtant, elle aime les animaux.
- Oui, c'est bizarre cette histoire encore.
- Ho, elle aime les animaux s'est vite dit, ça ne l'a pas empêcher de m'appeler bouboule au téléphone avec le bouchon de vinasse radioactif aux jambes bioniques.
C'est Bibou qui me le dit dans un message à l'instant. Le soûlard est toujours dans son capharnaüm en train de cirer le cul des bouteilles de vinasse pour le bal d'automne des alcooliques de la commune.
C'est le repas de fin d'année où la vinasse coule à flots, c'est la danse des canette et des cacahouètes avant un repas qui se clôture par le tango des bouteilles.
Il m'apprend aussi que mon brontosaure mangeur de cerise Irlandaise pour goutte napolitaine aurait au moins deux mille ans. Il était en ligne avec un opérateur de la caf et à la question sur sa date de naissance, il a dit soixante-dix-sept. Il est le l'an soixante-dix-sept. Donc il a donc mille neuf cent quarante-deux ans le bougre.
Donc ce que j'ai vu à Lourdes est immoral. Voilà, elle a voulu assister des maîtres chien suite à l'effondrement d'une cave. Elle espérait ainsi retrouver des bouteilles encore en vie. Elle a parlé trop près d'un pauvre chien et le bougre a eu la même punition que moi.
Il vient de subir une chirurgie de l'œil et il va beaucoup mieux.
Elle est assignée à résidence et n'a plus le droit d'approcher les commerces d'alcool.
La encore comme quoi la boisson est rusée.
Elle a trouvé une parade et s'est installée en hauteur au-dessus de la cave qui a été déblayée et qui est libre d'accès. C'est comme ça que je me suis retrouvé dans ses griffes.
- Toc toc toc, ça paraît invraisemblable, toc toc toc.
- Fle fle fle, du moment qu'elle donne du pain aux petites pattes, fle fle fle.
- Mais pourquoi as-tu faillis être broyé ?
- Oui, explique-toi mon copain.
- Hé bien voilà, elle a fait un nid dans un cèdre juste au-dessus de la cave et s'est déguisée en corbeau. C'est comme ça que me prenant pour une bouteille elle m'a saisi par le col.

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#2
Le président était toujours avec le maréchal et celui-ci n'entendait pas laisser passer l'infraction constatée sur l'auto.
- Vous commencez à me courir sur le système avec votre névrose mon maréchal. Malgré le respect dont je vous dois rigueur, je vous le note, cependant.
Je suis quand même très étonné de cet étrange cheveu dont vous disposiez comme un fameux outil. C'est fort dommage que l'on vous l'ait retiré.
Malgré tout ça, je vais aller voir la contrevenante de près. Je n'ai pas de dard au milieu du front et je ne risque pas de crever ces pneumatiques qui manquent de pression.
- Écoutez, mon général, si j'avais gardé ce cheveu, je n'aurais jamais pu avoir une vie normale. Imaginez un peu les inconvénients que j'en avais à longueur de journée. Les lunettes de plongée, les cordons-bleus au sol, le fait d'être devenu chauve, d'avoir mis le feu chez ma promise et tant d'autres aventures aussi vraies que celles-ci.
- Oui, dans un sens, c'est aussi bien qu'ils vous l'aient enlevé. Le principal étant que vous ne craignez plus une rechute.
- Cela m'est arrivé alors que j'avais dix-huit ans. J'ai d'ailleurs échoué au permis de conduire à cause de cette rechute qui a été fulgurante et très ennuyeuse.
- Ha bon, mais comment cela, a-t-il pu, vous faire échouer au permis de conduire. On ne conduit pas avec le front à ce que je sache.
- Hé bien, je vais vous l'expliquer et vous verrez que cela eut été un cauchemar. Cela a commencé le matin de l'examen.
J'arrive à l'auto-école et un des élèves me dit, tien, tu as été à un bal masqué. Je lui demande pourquoi il me dit ça, car j'étais parfaitement habillé. Hé bien, pourquoi tu as une corne sur le front. C'est alors que j'ai compris que ce vilain cheveu avait repoussé. J'ai dû expliqué à l'examinateur que cela n'était rien et que je pourrais passer quand même l'épreuve de la conduite. Il avait cru que j'étais déguisé en licorne. Déjà pour commencer, je me suis penché pour ouvrir la voiture et j'ai raillé le toit avec celui-ci. L'examinateur me dit, nous ferrons un constat après nous n'avons pas le temps. C'est ainsi que je suis parti passer la conduite. Au bout d'une centaine de mètres, j'ai été victime d'une crise de bigloucherie. N'ayant plus mes lunettes de plongée depuis des années, j'ai dû suivre la bande axiale pour rouler droit. Le problème fut que le cheveu actionnait la commande des essuies glaces et de clignotants. Du coup j'ai actionné l'essuie-glace et il s'est arrêté au milieu du pare brise. En penchant la tête en avant mon cheveu est passé au travers et il perça le verre. Paniqué, l'examinateur a freiné avec la double commande. Moi j'ai actionné avec le cheveu le clignotant gauche. Un car qui nous suivait pensant que je tournais nous à doubler sur la droite pendant que mon examinateur donnait un coup de volant à droite pour garer l'auto. L'accident fut inévitable. Le car coupa la voiture auto école en deux. Je me retrouvais à côté du car la moitié de voiture étant restée sur la chaussée. C'est ainsi que mon cheveu a frôlé le bord du car qui se retrouva découpé sur toute sa longueur. Il n'y avait aucun blessé. La voiture était foutue. Les pompiers ont coupé l'autre côté du car et il est devenu un car cabriolet et a donc put reprendre la route. Suite à ça, je suis rentré chez moi et pris rendez-vous pour me faire amputer du cheveu. Quelques mois plus tard, j'ai reçu trente et une plaintes de là par des voyageurs du car qui s'étaient enrhumé à cause du car cabriolet. J'ai dû aussi remboursé la voiture auto école. Alors vous comprenez pourquoi je suis méfiant.
- Hé bien mon maréchal, c'est épouvantable cette histoire. Je m'en vais de ce pas aller conter la loi à la mignonne de l'épicerie.
Le général partit vers l'automobile et scruta les pneus. Il ne fit même pas attention à la Dacia du brigadier qui était quelques mètres plus bas.
Le pauvre gendarme était partiellement dégrisé et il avait repris la route. Malgré tout, il ne se sentait pas très bien et venait de rencontrer un coq qui lui avait parlé. Celui-ci faisait de l'auto-stop et le brigadier était avec lui en train de s'expliquer dans la voiture.
Le brigadier mit des coups de pieds dans les pneus et partit dans l'épicerie.
Il vit la femme dans le fond du commerce proche de la rôtissoire.
- Hé bien, quand je pense que son cousin l'appelle, Bob Marley, je l'appellerais plutôt Vilaine Fermière la rouquine. Sans contrefaçon, je suis une vilaine, et pour ne pas mentir, je suis pâle comme un fakir, sans contrefaçon.
La femme arriva et vit l'homme en uniforme.
- Bonjour monsieur, je pense que vous vous êtes trompé d'adresse. Nous ne vendons pas de bazooka où de munitions ici ni de char d'assaut. Ceci dit, c'est dommage, vous êtes un très bel homme. Mais qui êtes-vous, monsieur au fait et que faites vous sur la commune, y aurait-il une parade militaire.
- Je suis le père Noël ma toute belle, et j'ai un joli cadeau pour toi, Vilaine Fermière.
La femme fut pour le moins décontenancée.
- Tu roules avec des pneus sous gonflés et c'est un délit routier extrêmement grave passible de la chaise électrique à perpétuité.
Le général sortit une paire de lunettes de sa poche et la posa sur son visage. Il sortit ensuite un carnet à souche et releva les yeux.
- Hé bien, vous êtes beaucoup plus belle que je ne l'avais vu au premier abord. Je suis un peu myope. Vous ressemblez à Nenette Corner, l'accordéoniste. Je n'en reviens pas. Je suis un fan inconditionnel de Nenette et j'en suis secrètement love. Je passe la main pour cette fois concernant les pneus. Cependant, me permettez vous que je vous invite à dîner au restaurant.
L'épicière était en fait très ravie, car elle trouvait le général très charmant.
- Hé bien, c'est entendu, j'accepte l'invitation quand vous le désirerez.
C'est à cet instant qu'arriva Coco dans la boutique.
Le Pépère était derrière le cochon qui venait de se faire remonter les bretelles par Ragoût.
- C'est de sa faute au cyclope, il a dû lire la notice sur Google et comme il n'a qu'un yeux, il a dû voir la moitié de l'explication. Attend Enrich, regardons avant s'il n'y a pas une notice avec cette voiture. Je pourrais peut-être réparer.
L'homme revint vers la voiture et resta un moment dedans avant d'en descendre et d'aller vers le coffre. Il sortit un cric et une roue de secours. Il se mit à changer une roue avant.
- Toc toc toc, c'est très très long, que faut-il, la siamoise est en danger, toc toc toc.
- Fle fle fle, nous aurions dû appeler ma gendarme poète pour qu'elle nous aide, fle fle fle. C'est la meilleure enquêtrice de la région, toc toc toc.
- Tu penses qu'ils ne sont pas loin Pépère ?
- Oui, écoute Chatdore, s'ils sont proches, laissons cet homme, qui a l'air totalement idiot. Il n'a pas l'air de savoir ce qu'il fait.
- Oui, tu as raison Pêcheur, c'est vraiment très long. Même mon soûlard avec dix grammes de sang par litre d'alcool va plus vite.
Oui, Lolo et Chadore, je pense que l'on devrait aller à l'étang directement sans nous soucier de ce boulet.
Mon pauvre Coin-coin, ma maîtresse, que j'aime, est malheureusement toujours à Lourdes à la grotte des moines avec son ami portugais. Lui, il répare les fissures et elle a été assignée à résidence durant un temps, car elle a blessé un chien accidentellement en voulant aider la police. Je le sais, car, figurez vous que j'ai arrêté le temps avec ma magie et j'y ai été à l'instant en me déguisant en bouteille. J'ai juste eu le temps avec ma magie de revenir, car j'ai failli être broyé entre des griffes.
- Toc toc toc, qu'est-ce que c'est que cette histoire toc toc toc.
- Fle fle fle, pourquoi a-t-elle blessé un chien, fle fle fle.
- Pourtant, elle aime les animaux.
- Oui, c'est bizarre cette histoire encore.
- Ho, elle aime les animaux s'est vite dit, ça ne l'a pas empêcher de m'appeler bouboule au téléphone avec le bouchon de vinasse radioactif aux jambes bioniques.
C'est Bibou qui me le dit dans un message à l'instant. Le soûlard est toujours dans son capharnaüm en train de cirer le cul des bouteilles de vinasse pour le bal d'automne des alcooliques de la commune.
C'est le repas de fin d'année où la vinasse coule à flots, c'est la danse des canette et des cacahouètes avant un repas qui se clôture par le tango des bouteilles.
Il m'apprend aussi que mon brontosaure mangeur de cerise Irlandaise pour goutte napolitaine aurait au moins deux mille ans. Il était en ligne avec un opérateur de la caf et à la question sur sa date de naissance, il a dit soixante-dix-sept. Il est le l'an soixante-dix-sept. Donc il a donc mille neuf cent quarante-deux ans le bougre.
Donc ce que j'ai vu à Lourdes est immoral. Voilà, elle a voulu assister des maîtres chien suite à l'effondrement d'une cave. Elle espérait ainsi retrouver des bouteilles encore en vie. Elle a parlé trop près d'un pauvre chien et le bougre a eu la même punition que moi.
Il vient de subir une chirurgie de l'œil et il va beaucoup mieux.
Elle est assignée à résidence et n'a plus le droit d'approcher les commerces d'alcool.
La encore comme quoi la boisson est rusée.
Elle a trouvé une parade et s'est installée en hauteur au-dessus de la cave qui a été déblayée et qui est libre d'accès. C'est comme ça que je me suis retrouvé dans ses griffes.
- Toc toc toc, ça paraît invraisemblable, toc toc toc.
- Fle fle fle, du moment qu'elle donne du pain aux petites pattes, fle fle fle.
- Mais pourquoi as-tu faillis être broyé ?
- Oui, explique-toi mon copain.
- Hé bien voilà, elle a fait un nid dans un cèdre juste au-dessus de la cave et s'est déguisée en corbeau. C'est comme ça que me prenant pour une bouteille elle m'a saisi par le col.

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Rater le permis à cause d'in cheveu. Quelle aventure
Alors à demain pour la suite.
Amicalement
Gaby