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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le cochon était reparti dans le chemin avec regret en direction de son auto. Il n'en pouvait plus et aurait préféré mangé que de repartir chercher les clefs qu'il avait bêtement oubliées. C'est alors qu'il entendit derrière lui un bruit de moteur. Il resta immobile en essayant de déterminer ce que c'était. Il n'avait jamais entendu un pareil moteur et ce bruit ne lui disait rien de bon. C'est alors qu'il sauta dans les fourrés et se griffa de partout à travers le hallier qui était empli de ronciers et d'aubépiniers. Il courra un moment et chuta dans un fossé et resta ainsi terré au sol dans la gadoue.
- Maman moi peur, maman moi peur, comment ont-ils fait pour nous retrouver ici. C'est incroyable, Macron à prévenu l'armée, forcément, nous sommes la menace, le chaos absolu à la dictature. Ne t'inquiète pas Manu, l'histoire n'est pas finie. Nous sommes soixante-dix millions de foies jaunes sur soixante-cinq millions d'habitants. Chez moi un et un ça fait deux et avec la virgule ça fait vingt donc nous sommes le peuple, tu es tout seul Manu alors on s'en fout de l'armée. Voyons si je peux prendre en photo les chenilles et l'engin. Je vais envoyer une photo aux autres sinon ils ne me croiront jamais. Attends, déjà est-ce que j'ai un morceau de papier pour mettre devant l'objectif pour faire une demi-photo pour le capitaine crochet, ha, ha, ha, de façon à ce qu'il ne croit pas que c'est une armée entière. Bon, la photo pour le cyclope est faite, encore une, encore une, c'est bon ce coup-ci, c'est dans le pocophon. Bon, on ne voit que les pneus, mais c'est évident que c'est un char d'assaut. Mais j'y pense, ils y avaient des Américains proche de la tiercé, la tiercése, comment ça s'appelle déjà cette bête des course avec des chars derrière. Laisse tomber Heinrich, le principal, c'est de savoir qu'ils ont des armes lourdes et des tiercése pour se déplacer à travers champ.
Le tracteur qui emmenait une moissonneuse batteuse sur sa remorque était déjà loin. L'homme qui le conduisait avait cru voir un homme en jaune partir dans les fourrés et s'arrêta le long du chemin pour appeler son patron pour lui dire de se méfier en revenant.
- Allô, patron, c'est Ymer, je vous laisse un message. Méfiez vous il y a un fou sur la route qui est habillé en marin pêcheur qui saute comme une garenne dans tous les sens.
- Toc toc toc, c'est moi Pêcheur, toc toc toc, que me veut-on, toc toc toc.
- Mais non Pêcheur, j'ai écrit un marin pécheur, ce n'est pas toi.
- D'accord, toc toc toc excuse moi, auteur, bon, je vais attendre que tu nous écrives toc toc toc, nous attendons vers la voiture, car Pépère est parti gratté la porte du soûlard pour protester sur l'emploi de son surnom. Il revient en courant et n'a pas l'air content, bon, j'attends que tu nous écrives nous autres.
L'homme dans son tracteur reçut une réponse de son patron qui lui assura le connaître et de ne pas s'en inquiéter. Il repartit en direction de la ferme au moment où le cochon revenait sur le chemin et où le patron de l'ouvrier agricole revenait avec sa Citroën c15.
- Cool, le culturiste, il va m'emmener, ça ira plus vite.
Cochon fit un signe à l'homme qui s'arrêta et il monta dans la voiture.
- Hé bien gamin, tu n'as pas trouvé de station essence au milieu des prés. Il y a un salon de thé vers l'étang, mais c'est tout mon garçon. Qu'est-ce que je peux faire pour te rendre service marin pêcheur parisien, ha ha ha.
- On ne lâche rien. Oups, oui, je retournais chercher les clefs de ma voiture, je les ai laissées sur le contact. Un char d'assaut est passé dans le chemin et il pourrait revenir. Je me suis caché et il ne m'a pas vu.
- La garenne de la DDE, hé bien, je comprends mieux, ha ha ha. Je croyais que ta voiture était en panne d'essence.
- Vous êtes bizarres, vous avez bu du red bull, où fumer la paille. Bien sûr, je n'ai plus d'essence, car je ne savais pas en volant cette voiture que le réservoir était à moitié plein, vide, plein, hé zut, je ne sais pas où on met la virgule.
- Tu as dérobé cette voiture ?
- Non, je n'ai jamais mis de robe à ma voiture monsieur.
- Non, tu as dit en la volant.
- Oui, quand on conduit, on tient le volant donc on volante, car on le tiens et si on a l'intention de s'en servir, on va s'en volant, c'est évident non. Donc en volante, je n'ai pas vu qu'il n'y avait plus d'essence et elle s'est arrêtée où elle est.
- Et tu veux récupérer les clefs d'une voiture qui n'a pas d'essence puisque tu as peur qu'on te la prenne. Mais comment veux-tu qu'il la démarre.
- Avec les clefs, c'est pour ça que je veux les récupérer.
- Hé bien, comment veux-tu qu'elle démarre sans essence.
- Ha oui, c'est rudement intelligent, on ne me l'avait pas dit. Je pense qu'en plus d'être un culturiste vous êtes un cylopiste.
- Quoi, moi culturiste, cylopiste, qu'est-ce que c'est que ça.
- Hé bien, vous cultivez vous êtes un culturiste, vous êtes une cyclopédie sur patte (encyclopédie) donc vous êtes un cyclopiste. Je ne suis peut-être pas à votre niveau, mais on me dit très intelligent en haut des cieux.
Le Pépère était à côté de sa voiture et il attendait...
- Stop, hé soûlard, ça faut vingt minutes que Pêcheur est venu te voir pour te dire que nous attendions nous autres. Je commençais à avoir des crampes à la queue et des fourmis dans les oreilles.
J'en ai une bien bonne à t'annoncer. Non seulement mon carton de saucissons n'est pas loin, mais en plus l'aubergine est de retour. Je n'ai pas vu le gyrophare, la Dacia où ma chatlauréane.
- Stop, Pépère, la chatlauréane, c'est sœur Mathilde qui est dedans avec le pape, alors...
- Oui, je sais, je lis l'histoire figure toi. Je suis si énervé que j'oublie des choses. J'étais venu voir ce que tu bricolais dans ton fourbi et j'ai senti une délicieuse odeur de moelleux aux poires et j'ai gratté à la porte. La réponse qu'il m'a été fait ne fait aucun doute, la soûlarde est dans le gourbi ou alors tu t'es déguisé en aubergine des marchés de Lourdes. Je vais faire mon enquête et il y aura des sanctions crois moi. Donc, j'ai écouté ceci, tu arrêtes la fifille, vois voir ailleurs s'il y a une panthère. Je suis profondément ulcéré et j'en ai mal à mon intelligence.
- Tu as dû mal entendre. Je continue tes aventures.
- Oui, enfin, tu recopies ce que je te dis plagiat. Bon ce n'est pas tout ça, Pépère à un métier qui n'a rien à voir avec le cirage des culs de bouteilles.
Donc, le héros Pépère était à côté de sa voiture et il attendait que la porte s'ouvre pour s'assurer de ce dont il venait d'entendre.
- Héros, c'est pas mal, mais bon, j'attends la suite.
- Toc toc toc, qu'est-ce que nous attendons, toc toc toc.
- Hé bien moi, fle fle fle, je suis heureux du retour de ma love gendarme, fle fle fle.
- Oui, Pépère nous n'allons pas délivrer la siamoise à Fripouille ?
- Attend Lolo, il a l'air énervé.
- Oui, Chatdore a raison, je suis agacé de ce que j'ai entendu de derrière la porte. Va voir ailleurs fifille s'il y a une panthère voilà l'horrible vérité sur des faits extrêmement graves. Normalement, cette façon, d'agir pourrait me conduire à porter plainte pour outrage et non respect des doléances envers ma personne. Comme je suis bon chatprince, je passe l'éponge.
- Toc toc toc, nous partons Pépère ?
- Fle fle fle, oui avec un sac de pain, fle fle fle.
- Oui, Pépère ça te changera les idées.
- Oui, Lolo a raison, en avant la musique tous en voiture.
Le Pépère démarra l'auto et parti comme un fou en projetant de la terre partout.
- Rangez-vous les citrouilles, partez d'ici les soûlards, Pépère à la patte énervée, s'écriait-il.
Il s'arrêta au bord du chemin arrivé au bout de l'allée et regarda ses amis.
- En avant la musique, tu me fais me souvenir d'une chose que j'avais oublié dans l'histoire du buffet. Je pense qu'elle n'avait pas cassé toutes les bouteilles, car elle avait revêtu son uniforme à l'envers. Ce qui prouve qu'elle n'était pas si à-jeûn que ça. J'y repense maintenant, c'est drôle. Le pire, c'était la musique. Je n'ai pas eu le droit à la messe, je vous rassure, mais...
Elle me dit comme ça, tu aimes la musique mon gentil minet. Je lui réponds que oui et lui affirme aimer le rap. Elle me demande mon chanteur préféré. Sans hésitation, je lui dis, Michael bien sûr j'étais son professeur. Là, elle me dit, nous allons bien nous entendre. Ha bon que je lui réponds, et elle me dit avoir toute la discographie de Michael. J'étais en transe et j'écoutais déjà Billy Jean dans ma tête. Elle me rajoute comme ça, attention pas George Michael, non le vrai l'authentique. J'ai d'ailleurs été le voir en concert dans le nord un jour où j'étais allé là-bas chercher de la bière. Je ne comprenais pas trop, jusqu'à ce qu'elle mette la musique en route.
Oui, oui, toutes les femmes boivent, oui oui toutes les femmes le doivent, oui oui...
Moi, j'ai crié, nonnnn, ce n'est pas Michael, qu'est-ce que c'est que ce potage infâme, c'est pire que du Florent Palui.
Tu ne connais pas notre star internationale, Jean François Michael, j'en suis love.
Je lui ai dit, continue de boire et de t'habiller à l'envers moi, je me bouche les oreilles.
IMG_20190920_093019.jpg Attach01_20190920_095403.png Screenshot_20190920_190146.jpg panthere-armentieres_6212960.jpg
 
#2
Le cochon était reparti dans le chemin avec regret en direction de son auto. Il n'en pouvait plus et aurait préféré mangé que de repartir chercher les clefs qu'il avait bêtement oubliées. C'est alors qu'il entendit derrière lui un bruit de moteur. Il resta immobile en essayant de déterminer ce que c'était. Il n'avait jamais entendu un pareil moteur et ce bruit ne lui disait rien de bon. C'est alors qu'il sauta dans les fourrés et se griffa de partout à travers le hallier qui était empli de ronciers et d'aubépiniers. Il courra un moment et chuta dans un fossé et resta ainsi terré au sol dans la gadoue.
- Maman moi peur, maman moi peur, comment ont-ils fait pour nous retrouver ici. C'est incroyable, Macron à prévenu l'armée, forcément, nous sommes la menace, le chaos absolu à la dictature. Ne t'inquiète pas Manu, l'histoire n'est pas finie. Nous sommes soixante-dix millions de foies jaunes sur soixante-cinq millions d'habitants. Chez moi un et un ça fait deux et avec la virgule ça fait vingt donc nous sommes le peuple, tu es tout seul Manu alors on s'en fout de l'armée. Voyons si je peux prendre en photo les chenilles et l'engin. Je vais envoyer une photo aux autres sinon ils ne me croiront jamais. Attends, déjà est-ce que j'ai un morceau de papier pour mettre devant l'objectif pour faire une demi-photo pour le capitaine crochet, ha, ha, ha, de façon à ce qu'il ne croit pas que c'est une armée entière. Bon, la photo pour le cyclope est faite, encore une, encore une, c'est bon ce coup-ci, c'est dans le pocophon. Bon, on ne voit que les pneus, mais c'est évident que c'est un char d'assaut. Mais j'y pense, ils y avaient des Américains proche de la tiercé, la tiercése, comment ça s'appelle déjà cette bête des course avec des chars derrière. Laisse tomber Heinrich, le principal, c'est de savoir qu'ils ont des armes lourdes et des tiercése pour se déplacer à travers champ.
Le tracteur qui emmenait une moissonneuse batteuse sur sa remorque était déjà loin. L'homme qui le conduisait avait cru voir un homme en jaune partir dans les fourrés et s'arrêta le long du chemin pour appeler son patron pour lui dire de se méfier en revenant.
- Allô, patron, c'est Ymer, je vous laisse un message. Méfiez vous il y a un fou sur la route qui est habillé en marin pêcheur qui saute comme une garenne dans tous les sens.
- Toc toc toc, c'est moi Pêcheur, toc toc toc, que me veut-on, toc toc toc.
- Mais non Pêcheur, j'ai écrit un marin pécheur, ce n'est pas toi.
- D'accord, toc toc toc excuse moi, auteur, bon, je vais attendre que tu nous écrives toc toc toc, nous attendons vers la voiture, car Pépère est parti gratté la porte du soûlard pour protester sur l'emploi de son surnom. Il revient en courant et n'a pas l'air content, bon, j'attends que tu nous écrives nous autres.
L'homme dans son tracteur reçut une réponse de son patron qui lui assura le connaître et de ne pas s'en inquiéter. Il repartit en direction de la ferme au moment où le cochon revenait sur le chemin et où le patron de l'ouvrier agricole revenait avec sa Citroën c15.
- Cool, le culturiste, il va m'emmener, ça ira plus vite.
Cochon fit un signe à l'homme qui s'arrêta et il monta dans la voiture.
- Hé bien gamin, tu n'as pas trouvé de station essence au milieu des prés. Il y a un salon de thé vers l'étang, mais c'est tout mon garçon. Qu'est-ce que je peux faire pour te rendre service marin pêcheur parisien, ha ha ha.
- On ne lâche rien. Oups, oui, je retournais chercher les clefs de ma voiture, je les ai laissées sur le contact. Un char d'assaut est passé dans le chemin et il pourrait revenir. Je me suis caché et il ne m'a pas vu.
- La garenne de la DDE, hé bien, je comprends mieux, ha ha ha. Je croyais que ta voiture était en panne d'essence.
- Vous êtes bizarres, vous avez bu du red bull, où fumer la paille. Bien sûr, je n'ai plus d'essence, car je ne savais pas en volant cette voiture que le réservoir était à moitié plein, vide, plein, hé zut, je ne sais pas où on met la virgule.
- Tu as dérobé cette voiture ?
- Non, je n'ai jamais mis de robe à ma voiture monsieur.
- Non, tu as dit en la volant.
- Oui, quand on conduit, on tient le volant donc on volante, car on le tiens et si on a l'intention de s'en servir, on va s'en volant, c'est évident non. Donc en volante, je n'ai pas vu qu'il n'y avait plus d'essence et elle s'est arrêtée où elle est.
- Et tu veux récupérer les clefs d'une voiture qui n'a pas d'essence puisque tu as peur qu'on te la prenne. Mais comment veux-tu qu'il la démarre.
- Avec les clefs, c'est pour ça que je veux les récupérer.
- Hé bien, comment veux-tu qu'elle démarre sans essence.
- Ha oui, c'est rudement intelligent, on ne me l'avait pas dit. Je pense qu'en plus d'être un culturiste vous êtes un cylopiste.
- Quoi, moi culturiste, cylopiste, qu'est-ce que c'est que ça.
- Hé bien, vous cultivez vous êtes un culturiste, vous êtes une cyclopédie sur patte (encyclopédie) donc vous êtes un cyclopiste. Je ne suis peut-être pas à votre niveau, mais on me dit très intelligent en haut des cieux.
Le Pépère était à côté de sa voiture et il attendait...
- Stop, hé soûlard, ça faut vingt minutes que Pêcheur est venu te voir pour te dire que nous attendions nous autres. Je commençais à avoir des crampes à la queue et des fourmis dans les oreilles.
J'en ai une bien bonne à t'annoncer. Non seulement mon carton de saucissons n'est pas loin, mais en plus l'aubergine est de retour. Je n'ai pas vu le gyrophare, la Dacia où ma chatlauréane.
- Stop, Pépère, la chatlauréane, c'est sœur Mathilde qui est dedans avec le pape, alors...
- Oui, je sais, je lis l'histoire figure toi. Je suis si énervé que j'oublie des choses. J'étais venu voir ce que tu bricolais dans ton fourbi et j'ai senti une délicieuse odeur de moelleux aux poires et j'ai gratté à la porte. La réponse qu'il m'a été fait ne fait aucun doute, la soûlarde est dans le gourbi ou alors tu t'es déguisé en aubergine des marchés de Lourdes. Je vais faire mon enquête et il y aura des sanctions crois moi. Donc, j'ai écouté ceci, tu arrêtes la fifille, vois voir ailleurs s'il y a une panthère. Je suis profondément ulcéré et j'en ai mal à mon intelligence.
- Tu as dû mal entendre. Je continue tes aventures.
- Oui, enfin, tu recopies ce que je te dis plagiat. Bon ce n'est pas tout ça, Pépère à un métier qui n'a rien à voir avec le cirage des culs de bouteilles.
Donc, le héros Pépère était à côté de sa voiture et il attendait que la porte s'ouvre pour s'assurer de ce dont il venait d'entendre.
- Héros, c'est pas mal, mais bon, j'attends la suite.
- Toc toc toc, qu'est-ce que nous attendons, toc toc toc.
- Hé bien moi, fle fle fle, je suis heureux du retour de ma love gendarme, fle fle fle.
- Oui, Pépère nous n'allons pas délivrer la siamoise à Fripouille ?
- Attend Lolo, il a l'air énervé.
- Oui, Chatdore a raison, je suis agacé de ce que j'ai entendu de derrière la porte. Va voir ailleurs fifille s'il y a une panthère voilà l'horrible vérité sur des faits extrêmement graves. Normalement, cette façon, d'agir pourrait me conduire à porter plainte pour outrage et non respect des doléances envers ma personne. Comme je suis bon chatprince, je passe l'éponge.
- Toc toc toc, nous partons Pépère ?
- Fle fle fle, oui avec un sac de pain, fle fle fle.
- Oui, Pépère ça te changera les idées.
- Oui, Lolo a raison, en avant la musique tous en voiture.
Le Pépère démarra l'auto et parti comme un fou en projetant de la terre partout.
- Rangez-vous les citrouilles, partez d'ici les soûlards, Pépère à la patte énervée, s'écriait-il.
Il s'arrêta au bord du chemin arrivé au bout de l'allée et regarda ses amis.
- En avant la musique, tu me fais me souvenir d'une chose que j'avais oublié dans l'histoire du buffet. Je pense qu'elle n'avait pas cassé toutes les bouteilles, car elle avait revêtu son uniforme à l'envers. Ce qui prouve qu'elle n'était pas si à-jeûn que ça. J'y repense maintenant, c'est drôle. Le pire, c'était la musique. Je n'ai pas eu le droit à la messe, je vous rassure, mais...
Elle me dit comme ça, tu aimes la musique mon gentil minet. Je lui réponds que oui et lui affirme aimer le rap. Elle me demande mon chanteur préféré. Sans hésitation, je lui dis, Michael bien sûr j'étais son professeur. Là, elle me dit, nous allons bien nous entendre. Ha bon que je lui réponds, et elle me dit avoir toute la discographie de Michael. J'étais en transe et j'écoutais déjà Billy Jean dans ma tête. Elle me rajoute comme ça, attention pas George Michael, non le vrai l'authentique. J'ai d'ailleurs été le voir en concert dans le nord un jour où j'étais allé là-bas chercher de la bière. Je ne comprenais pas trop, jusqu'à ce qu'elle mette la musique en route.
Oui, oui, toutes les femmes boivent, oui oui toutes les femmes le doivent, oui oui...
Moi, j'ai crié, nonnnn, ce n'est pas Michael, qu'est-ce que c'est que ce potage infâme, c'est pire que du Florent Palui.
Tu ne connais pas notre star internationale, Jean François Michael, j'en suis love.
Je lui ai dit, continue de boire et de t'habiller à l'envers moi, je me bouche les oreilles.
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Je penserai à Pépère quand je quitterai ma robe.
Je me déroberai lol
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby