L'épicière dans son était retournée dans son arrière-boutique. Elle finissait de ranger sa rôtissoire en chantant.
- Poulet où t'es où tu as mis ta peau grillée
Poulet où t'es nourrit avec du bon blé
Hé, bien, je me demande quand même si ce n'est pas le chat du fil de fer sur patte qui sort d'ici. Je me demande bien où il le met quand même, s'il voulait maigrir le bougre, il serait obligé de perdre un os. J'ai compris, si ça se trouve le chat que je vois derrière n'est pas le sien, mais c'est lui-même déguisé en chat, ne sait-on jamais.
La femme finit de nettoyer le sol en se posant mille questions sur ce drôle de chat qui avait disparut devant ses yeux.
- Je sais où je l'ai déjà vu, derrière l'église. Je comprends maintenant son maître doit être curé et le bougre n'a pas assez de la quête pour s'acheter à manger et le chat lui ramène des aliment. Bon, c'est bizarre ça, je vais essayer d'appeler mon cousin, il a peut-être des informations.
- Allô, Lucien, tu me reçois ?
C'est le répondeur, mais que fait-il ?
Le brigadier qui était en direction de Mornay avait fini par s'arrêter pour rappeler la brigade.
Il prit le téléphone et s'écria ; allons bon, Bob Marley à présent, c'est complet.
Le président leva les yeux et fut étonné que l'auto ait été arrêtée.
- Mais que se passe-t-il ?
Que faisons-nous arrêtés ?
Qui est Bob Marley ?
- Hé bien, on peut dire que votre jeu vous tiens l'haleine sur la langue comme on dit dans le Berry. Ça fait vingt minutes que vous grattez sur ce téléphone. Attention vous allez attraper la maladie du geek à force, lol.
Sérieusement, ça fait déjà plus de cinquante voitures que je croise à contre-sens. Un alcoolique local comme il en existe des milliers à dû s'engager à l'envers et les autres ont dû le suivre.
Je me suis arrêté pour appeler la brigade figurez vous monsieur cordon geek.
Oui, Bob Marley sur mon téléphone regardez vous-même.
Le brigadier montra son téléphone au président et le répertoire des appels affichait, Bob Marley, quatre appels en absence.
- Vous parlez avec Bob Marley ?
C'est cool, vous n'auriez pas des entrées pour la zone cinquante et un, j'aurais aimé voir Elvis, c'est un vieux rêve d'enfant. Je me souviens, quand j'étais enfant, j'allais chercher le pain avec mon petit vélo rouge en suivant le cordon-bleu et je l'attachais sur le porte bagage et soulevant l'élastique je chantais, love me tendeur en faisant claqué le tendeur.
Love me tendeur, love mon sweat
Mes convers mon vélo,
Vous l'avez reconnu,
C'est le beau Manu
Love me tendeur, love mon sweat
J'adore cette chanson et comme vous le voyez, je connais parfaitement les paroles.
- Oui, bon, c'est bien monsieur l'arbitre, je n'y connais rien en canasson et encore moins le nom des remplaçants.
Bob Marley, c'est ma cousine, de son prénom Jade comme la femme de l'homme qui fume les lianes. Je l'appelle comme ça, car de profil elle ressemble à un ticket de métro ou une feuille ocb en fonction de l'angle. Notez que c'est un peu déplacé mais bon. J'aurai pu aussi l'appelé extazy et toch comme les deux policier américains en référence à ma fiction.
- Extazy et toch ? Qui sont ces personnages ?
- Vous voyez, vous êtes fort en hippisme, car vous connaissez, la vis presse le lait qui doit être un bon jockey, mais vous ne connaissez pas Extazy et Toch.
Extazy et Toch, Extazy et Toch
Les nouveaux chevaliers complètement fonsdés
Mais qui n'ont jamais peur de rien
Extazy et Toch, Extazy et Toch
Deux flics un peu raveurs
Qui se bourrent d'extazy...
Voyez, moi aussi, je connais la chanson par cœur.
Pendant que la chatte robot Enarpilodienne voyageait dans le couloir des ères cherchant à regagner son époque, les quatre foies jaunes étaient toujours à se demander se qu'ils faisaient dans la cabane de l'étang. Faute d'intelligence cochon jaune décida de prendre la voiture pour aller faire un tour à l'épicerie du village. Il l'avait repérée en passant et avait une énorme faim. Cécilia émit l'idée que la voiture pouvait être connue sur la commune. C'est alors que Merguez eut une idée pour s'y rendre plus discrètement.
- Oui, avec cet engin, nous serons tranquilles, personne ne la reconnaîtra, car il n'y a pas d'immatriculation. Jérôme, tes m&m's sont remplis de verre, c'est infâme.
- Ce n'est pas vrai, bon sang Ragoût, mais de quel m&m's tu me parles ?
- Hé bien le dernier qui était dans le sachet sur la table.
- Oui, mais ce sachet était déjà là et il n'y avait rien dedans, tu es vraiment idiot et sans intelligence mon pauvre Ragoût.
- Allons, calmez vous, laissez les filles diriger.
- Où ça....
- Ha où ha où on ne lâche rien...
- Oui, où ça des filles Cécilia, où sont elles.
- Tu es bête mon pauvre Jérôme, la fille c'est moi !
- Tu as une jumelle ?
- Non, que veux-tu en faire, on la voit d'ici la machine.
- Non, c'est une sœur que je voulais te dire.
- Oui, Jérôme ce n'est pas la même chose, je n'ai pas de sœur.
- Tu as dit les filles !
- Façon de parler en voulant dire moi Cécilia Presseleriz.
- Ha oui, c'est extrêmement compliqué, presque aussi dur à comprendre qu'un et un font la tête à toto lol.
- C'est bizarre Jérôme, on dirait qu'il te manque quelque chose sur le visage.
- Ha, bon, tu es sûr ?
L'homme, ce tatant, le visage et s'écria.
- Mon œil de verre, j'ai perdu mon œil, je veux qu'on me rende mon œil.
Cochon regarda Jérôme et lui demanda, mais où l'as-tu mis ?
- Dans le paquet de m&m's, qui est sur la table. Non Ragoût, mon œil, tu l'as mangé, je veux que l'on me rende mon œil.
L'homme était déjà en train de se mettre les doigts dans la bouche et Cécilia lui cria, mais que fais-tu ?
- Jérôme m'a dit de le rendre.
- Jérôme a raison, tu es vraiment bête, le redonner par le rendre, tu es bête comme un manche de pelle à tarte.
La troupe se rendit à l'évidence de l'œil de Jérôme mangé par Ragoût. C'est alors qu'ils partirent tous vers l'étang chercher l'autre moyen de transport.
Après plusieurs minutes d'efforts intenses, le véhicule était enfin sur le chemin.
- Zut, il n'y a pas d'essence, c'est malin comment allons nous faire s'exclama Jérôme à l'intention de cochon qui était toujours en train d'essayer de démarrer le moteur.
Après plusieurs minutes de réflexion et un allé retour de l'engin vers l'étang, c'est Ragoût qui eut l'idée de prendre l'essence dans le réservoir de la voiture.
C'est ainsi que le moteur démarra sous les, houra ah oû ah oû pour Jérôme. Cochon était en train de s'énerver en accélérant sans avancer.
- Tu envoies des cailloux avec l'hélice arrête !
- Que dis-tu Cécilia ?
- Arrête, il doit y avoir un problème de gouvernail, où c'est en dessous. Je regarde s'il n'y a pas une quille ou une ancre.
Après quarante minutes à tourner autour de l'engin pendant que cochon accélérait sans que la machine décolle, c'est Ragoût qui compris pourquoi.
- Je sais pourquoi nous n'avons pas mis l'étang en dessous.
- Mais oui Jérôme, c'est vrai ça une barque ne peut pas avancer sur la terre ferme. Nous n'avons rien pour déplacer l'étang dessous, du coup, tu n'as plus qu'à prendre la voiture cochon.
C'est ainsi que les quatre compères ramenèrent la barque sur l'étang et qu'ils passèrent dix minutes sur la voiture qui refusait de démarrer avant que Jérôme ne pense à l'essence qu'ils avaient siphonné pour la barque.
Après tant d'effort, cochon partit quand même avec la voiture volée à l'épicerie du village.
Le Pépère continuait sa prospection et s'était arrêté pour partager le poulet.
Afin de faire voir à Lolo qu'il n'avait pas peur du monstre dans le champ, il avait atterri non loin de l'endroit.
- Laissons, Pêcheur et Coin-coin dormir et allons déguster ce succulent poulet dehors.
Le Pépère sortit de l'hélicoptère suivi par Lolo et il posa une serviette dans l'herbe.
- Alors là attention, c'est le point capital, c'est l'heure du partage. Alors, compte tenu de la dépression de mes dents toujours en attente de mes cinq beaux saucissons, du fais que la vilaine m'a insulté, que j'ai une masse d'intelligence de six kilos, que j'en ai perdu deux kilos en courant, que le temps est gris et que la pression atmosphérique comprime mon estomac, considérant que le monstre n'est pas loin et qu'à tout moment je peux avoir besoin de force, en notant que le grondement de la rivière fait vibrer mes moustaches et qu'elles ont besoin de force supplémentaire pour réfléchir, ça nous donne, cinq plus deux égal sept élevé au carré de la lumière que je ramène à l'exposant hyperbolique de l'équation au sixième degrés, je divise par deux tenant compte du coefficient de marrée ça fait, une cuisses et la ficelle pour toi et le reste pour moi. Ceci dit comme je suis très généreux, je t'offre dix grammes de peau et cinq grammes d'os de ma part.
Voilà mon copain, et après on dira que Pépère n'est pas partageur.
Les deux chats se mirent à manger avec gourmandise quand le Pépère se leva et s'écria à l'intention de Lolo.
- C'est un monde ça, le poulet regarde, il avait une prothèse à la hanche et je l'ai mangé. Je reprends donc la peau pour compenser et tu me devras une cuisse sur le prochain poulet. Encore une fois, comme j'ai la bonté en moi, tu me la rendras si tu le veux, tu n'es pas obligé. Bon appétit mon copain. Hé bien, tu es un estomac sur patte, tu as déjà fini.
- C'est que j'en ai eu moins que toi mon copain.
- Non, tu en as eu la moitié, c'est le système de la moyenne compensée, je n'y peux rien, si tu as des réclamation, plaint toi à Copernic qui a inventé ce calcul, chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat.
- Poulet où t'es où tu as mis ta peau grillée
Poulet où t'es nourrit avec du bon blé
Hé, bien, je me demande quand même si ce n'est pas le chat du fil de fer sur patte qui sort d'ici. Je me demande bien où il le met quand même, s'il voulait maigrir le bougre, il serait obligé de perdre un os. J'ai compris, si ça se trouve le chat que je vois derrière n'est pas le sien, mais c'est lui-même déguisé en chat, ne sait-on jamais.
La femme finit de nettoyer le sol en se posant mille questions sur ce drôle de chat qui avait disparut devant ses yeux.
- Je sais où je l'ai déjà vu, derrière l'église. Je comprends maintenant son maître doit être curé et le bougre n'a pas assez de la quête pour s'acheter à manger et le chat lui ramène des aliment. Bon, c'est bizarre ça, je vais essayer d'appeler mon cousin, il a peut-être des informations.
- Allô, Lucien, tu me reçois ?
C'est le répondeur, mais que fait-il ?
Le brigadier qui était en direction de Mornay avait fini par s'arrêter pour rappeler la brigade.
Il prit le téléphone et s'écria ; allons bon, Bob Marley à présent, c'est complet.
Le président leva les yeux et fut étonné que l'auto ait été arrêtée.
- Mais que se passe-t-il ?
Que faisons-nous arrêtés ?
Qui est Bob Marley ?
- Hé bien, on peut dire que votre jeu vous tiens l'haleine sur la langue comme on dit dans le Berry. Ça fait vingt minutes que vous grattez sur ce téléphone. Attention vous allez attraper la maladie du geek à force, lol.
Sérieusement, ça fait déjà plus de cinquante voitures que je croise à contre-sens. Un alcoolique local comme il en existe des milliers à dû s'engager à l'envers et les autres ont dû le suivre.
Je me suis arrêté pour appeler la brigade figurez vous monsieur cordon geek.
Oui, Bob Marley sur mon téléphone regardez vous-même.
Le brigadier montra son téléphone au président et le répertoire des appels affichait, Bob Marley, quatre appels en absence.
- Vous parlez avec Bob Marley ?
C'est cool, vous n'auriez pas des entrées pour la zone cinquante et un, j'aurais aimé voir Elvis, c'est un vieux rêve d'enfant. Je me souviens, quand j'étais enfant, j'allais chercher le pain avec mon petit vélo rouge en suivant le cordon-bleu et je l'attachais sur le porte bagage et soulevant l'élastique je chantais, love me tendeur en faisant claqué le tendeur.
Love me tendeur, love mon sweat
Mes convers mon vélo,
Vous l'avez reconnu,
C'est le beau Manu
Love me tendeur, love mon sweat
J'adore cette chanson et comme vous le voyez, je connais parfaitement les paroles.
- Oui, bon, c'est bien monsieur l'arbitre, je n'y connais rien en canasson et encore moins le nom des remplaçants.
Bob Marley, c'est ma cousine, de son prénom Jade comme la femme de l'homme qui fume les lianes. Je l'appelle comme ça, car de profil elle ressemble à un ticket de métro ou une feuille ocb en fonction de l'angle. Notez que c'est un peu déplacé mais bon. J'aurai pu aussi l'appelé extazy et toch comme les deux policier américains en référence à ma fiction.
- Extazy et toch ? Qui sont ces personnages ?
- Vous voyez, vous êtes fort en hippisme, car vous connaissez, la vis presse le lait qui doit être un bon jockey, mais vous ne connaissez pas Extazy et Toch.
Extazy et Toch, Extazy et Toch
Les nouveaux chevaliers complètement fonsdés
Mais qui n'ont jamais peur de rien
Extazy et Toch, Extazy et Toch
Deux flics un peu raveurs
Qui se bourrent d'extazy...
Voyez, moi aussi, je connais la chanson par cœur.
Pendant que la chatte robot Enarpilodienne voyageait dans le couloir des ères cherchant à regagner son époque, les quatre foies jaunes étaient toujours à se demander se qu'ils faisaient dans la cabane de l'étang. Faute d'intelligence cochon jaune décida de prendre la voiture pour aller faire un tour à l'épicerie du village. Il l'avait repérée en passant et avait une énorme faim. Cécilia émit l'idée que la voiture pouvait être connue sur la commune. C'est alors que Merguez eut une idée pour s'y rendre plus discrètement.
- Oui, avec cet engin, nous serons tranquilles, personne ne la reconnaîtra, car il n'y a pas d'immatriculation. Jérôme, tes m&m's sont remplis de verre, c'est infâme.
- Ce n'est pas vrai, bon sang Ragoût, mais de quel m&m's tu me parles ?
- Hé bien le dernier qui était dans le sachet sur la table.
- Oui, mais ce sachet était déjà là et il n'y avait rien dedans, tu es vraiment idiot et sans intelligence mon pauvre Ragoût.
- Allons, calmez vous, laissez les filles diriger.
- Où ça....
- Ha où ha où on ne lâche rien...
- Oui, où ça des filles Cécilia, où sont elles.
- Tu es bête mon pauvre Jérôme, la fille c'est moi !
- Tu as une jumelle ?
- Non, que veux-tu en faire, on la voit d'ici la machine.
- Non, c'est une sœur que je voulais te dire.
- Oui, Jérôme ce n'est pas la même chose, je n'ai pas de sœur.
- Tu as dit les filles !
- Façon de parler en voulant dire moi Cécilia Presseleriz.
- Ha oui, c'est extrêmement compliqué, presque aussi dur à comprendre qu'un et un font la tête à toto lol.
- C'est bizarre Jérôme, on dirait qu'il te manque quelque chose sur le visage.
- Ha, bon, tu es sûr ?
L'homme, ce tatant, le visage et s'écria.
- Mon œil de verre, j'ai perdu mon œil, je veux qu'on me rende mon œil.
Cochon regarda Jérôme et lui demanda, mais où l'as-tu mis ?
- Dans le paquet de m&m's, qui est sur la table. Non Ragoût, mon œil, tu l'as mangé, je veux que l'on me rende mon œil.
L'homme était déjà en train de se mettre les doigts dans la bouche et Cécilia lui cria, mais que fais-tu ?
- Jérôme m'a dit de le rendre.
- Jérôme a raison, tu es vraiment bête, le redonner par le rendre, tu es bête comme un manche de pelle à tarte.
La troupe se rendit à l'évidence de l'œil de Jérôme mangé par Ragoût. C'est alors qu'ils partirent tous vers l'étang chercher l'autre moyen de transport.
Après plusieurs minutes d'efforts intenses, le véhicule était enfin sur le chemin.
- Zut, il n'y a pas d'essence, c'est malin comment allons nous faire s'exclama Jérôme à l'intention de cochon qui était toujours en train d'essayer de démarrer le moteur.
Après plusieurs minutes de réflexion et un allé retour de l'engin vers l'étang, c'est Ragoût qui eut l'idée de prendre l'essence dans le réservoir de la voiture.
C'est ainsi que le moteur démarra sous les, houra ah oû ah oû pour Jérôme. Cochon était en train de s'énerver en accélérant sans avancer.
- Tu envoies des cailloux avec l'hélice arrête !
- Que dis-tu Cécilia ?
- Arrête, il doit y avoir un problème de gouvernail, où c'est en dessous. Je regarde s'il n'y a pas une quille ou une ancre.
Après quarante minutes à tourner autour de l'engin pendant que cochon accélérait sans que la machine décolle, c'est Ragoût qui compris pourquoi.
- Je sais pourquoi nous n'avons pas mis l'étang en dessous.
- Mais oui Jérôme, c'est vrai ça une barque ne peut pas avancer sur la terre ferme. Nous n'avons rien pour déplacer l'étang dessous, du coup, tu n'as plus qu'à prendre la voiture cochon.
C'est ainsi que les quatre compères ramenèrent la barque sur l'étang et qu'ils passèrent dix minutes sur la voiture qui refusait de démarrer avant que Jérôme ne pense à l'essence qu'ils avaient siphonné pour la barque.
Après tant d'effort, cochon partit quand même avec la voiture volée à l'épicerie du village.
Le Pépère continuait sa prospection et s'était arrêté pour partager le poulet.
Afin de faire voir à Lolo qu'il n'avait pas peur du monstre dans le champ, il avait atterri non loin de l'endroit.
- Laissons, Pêcheur et Coin-coin dormir et allons déguster ce succulent poulet dehors.
Le Pépère sortit de l'hélicoptère suivi par Lolo et il posa une serviette dans l'herbe.
- Alors là attention, c'est le point capital, c'est l'heure du partage. Alors, compte tenu de la dépression de mes dents toujours en attente de mes cinq beaux saucissons, du fais que la vilaine m'a insulté, que j'ai une masse d'intelligence de six kilos, que j'en ai perdu deux kilos en courant, que le temps est gris et que la pression atmosphérique comprime mon estomac, considérant que le monstre n'est pas loin et qu'à tout moment je peux avoir besoin de force, en notant que le grondement de la rivière fait vibrer mes moustaches et qu'elles ont besoin de force supplémentaire pour réfléchir, ça nous donne, cinq plus deux égal sept élevé au carré de la lumière que je ramène à l'exposant hyperbolique de l'équation au sixième degrés, je divise par deux tenant compte du coefficient de marrée ça fait, une cuisses et la ficelle pour toi et le reste pour moi. Ceci dit comme je suis très généreux, je t'offre dix grammes de peau et cinq grammes d'os de ma part.
Voilà mon copain, et après on dira que Pépère n'est pas partageur.
Les deux chats se mirent à manger avec gourmandise quand le Pépère se leva et s'écria à l'intention de Lolo.
- C'est un monde ça, le poulet regarde, il avait une prothèse à la hanche et je l'ai mangé. Je reprends donc la peau pour compenser et tu me devras une cuisse sur le prochain poulet. Encore une fois, comme j'ai la bonté en moi, tu me la rendras si tu le veux, tu n'es pas obligé. Bon appétit mon copain. Hé bien, tu es un estomac sur patte, tu as déjà fini.
- C'est que j'en ai eu moins que toi mon copain.
- Non, tu en as eu la moitié, c'est le système de la moyenne compensée, je n'y peux rien, si tu as des réclamation, plaint toi à Copernic qui a inventé ce calcul, chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat.
