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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Pendant que la chatte Enarpilodienne voyageait dans les méandres du temps, les quatre individus qu'elle avait faits libérer était toujours dans un sommeil artificiel.
Malgré ses pouvoirs et le fait d'avoir déjà fait cette manœuvre, même sur des chats d'Enarpilod, quelques choses avait failli chez ces quatre sujets.
Sans savoir l'explication, leurs cerveaux ne réagissaient pas comme ceux des autres.
Les gendarmes étaient en patrouilles et avaient abandonné l'idée d'arrêter le maître à Pépère qui était soupçonné de voyager dans le temps et de mentir sur son âge.
Les quatre foies jaunes qui étaient toujours dans la cabane se réveillèrent alors qu'ils ne l'auraient pas dû.
- Hé, le cochon, sais-tu ce qui s'est passé, pourquoi notre cellule a changé d'apparence ?
- Tu as vraiment un cerveau d'huître mon pauvre Ragoût, tu sais bien que nous nous sommes évadés.
- Ha oui, et il faut profiter de notre liberté pour continuer le mouvement, on ne lâche rien, hou hou hou.
- Merguez, tu es vraiment bête si nous retournons à Sancoins, nous allons nous faire prendre.
- Hé pourquoi donc Cecilia ?
- Car ils ont la photo de nos visages.
- Ha, bon, comment les ont ils eu ?
- Nous avons été arrêtés, tu te souviens.
- Ha oui, tu n'es pas bête, je n'y aurais pas pensé. Nous n'avons qu'à nous déguiser et le tour et joué.
- Idiot, nous sommes recherchés.
- Ha bon et pourquoi donc ?
- Car nous nous sommes évadés !
- Ha, oui, c'est compliqué, heureusement que tu y as pensé.
Tu es sacrément intelligente quand même, personne n'aurait pensé à une chose pareille.
Les quatre sujets parlèrent entre eux et décidèrent d'attendre le retour de la chatte robot. Ils étaient encore en train d'essayer de comprendre la finesse du plan de la chatte. Malgré tout ils se demandaient pourquoi la siamoise avait été enlevée.
La minette était dans la pièce voisine et Ragoût, ayant trouvé des boîtes de sardines dans un placard, décida de les lui donner.
- Que fais-tu avec ces boîtes de baleine ?
- C'est des sardine, Cécilia, je les donne à la sœur du robot.
- Tu es vraiment très bête, ce n'est pas sa sœur, c'est un otage.
Bon, des sardines où de la baleine, c'est pareil, c'est toujours le poisson Maurice qui mange la danette.
- Ha oui, c'est vrai ça, c'est marrant, j'avais oublié que les poissons mangeaient de la danette. Je me doute qu'elle soit d'un autre âge si c'est sa sœur.
- Oui, tu te rends compte, Macron, nous accuse de jeter du plastique dans la mer alors que c'est le poisson Maurice qui laisse dans l'eau ses déchets.
- Oui, c'est comme ça qu'il ment au peuple, mais le peuple, c'est nous, hou hou hou, on ne lâche rien.
C'est ainsi que la siamoise se retrouva avec deux boîtes de sardines devant elle.
Malheureusement la chatte n'ayant pas l'ouvre-boîte qui va avec n'en fit rien de plus que de les regarder.
Les gendarmes sillonnaient dans le secteur où étaient cachés les foies jaunes, mais ne voyaient pas la maison au bord de l'étang.
Du chemin, il fallait vraiment savoir qu'elle était là pour la repérer. La pauvre siamoise, elle par contre voyait le chemin d'où elle était et les vit passée avec le désespoir de ne pas être retrouvé ici en ce lieu.
Les forces de l'ordre décidèrent d'aller voir le maître à Pépère pour essayer de glaner des renseignements sur lui. Le chef de la brigade leur avait demandé de tenter une approche pour qu'ils se fassent une idée sur son âge.
Chatdore qui était toujours avec Bibou et Sybage au fond du terrain, vit dans les airs l'hélicoptère de Pépère. Il se disait qu'il allait être disputé par son chef s'il voyait de là-haut qu'il avait quitté son poste. Il se dépêchait d'aller vers l'entrée quand les gendarmes arrivèrent sur le terrain. Il n'eut que le temps de se cacher sous la plate-forme et vit que le poète était à côté sous son hangar, madeleine et téléphone en main.
Les gendarmes se garèrent et descendirent pour aller le rejoindre.
Le poète ne faisait pas attention et fut surpris.
- Bonjour monsieur que faites vous ici ?
C'est alors qu'une voix sortie du haut-parleur du téléphone.
- Qu'est-ce que ça peut te faire pauvre con.
Le poète discrètement dit au téléphone, chut, ce sont les gendarmes et raccrocha.
- Alors comme ça, on manque de respect à la gendarmerie.
- Bonjour messieurs, non, j'écoute de la musique sur chattube, c'est la chaîne de Pépère le chat du poète.
- Ha bon, et quel est ce malpoli qui m'a dit pauvre con ?
- Vous ne connaissez pas Gainsbourg ?
Que ça te plaise où non, je rejoue quand même, pauvre con !
- Ha, bon, j'avais cru que c'était à mon intention. C'est quoi ça la chaîne, chattube ?
- C'est son collègue qui lui répondit.
- C'est la chaîne d'Isidore de l'émission toutes griffes dehors.
- Ha bon, chat chat où t'es où as-tu mis ton gun, chat chat où t'es où as-tu mis la Dacia, ha ha ha.
Vous êtes bien le maître du chat policier Pépère ? Avez-vous une pièce d'identité ?
L'homme partit dans sa cabane et revint avec sa carte d'identité.
- Alors, vous êtes bien né en mille neuf cent soixante-dix-sept ?
C'est réellement votre âge ?
Vous ne seriez pas né plutôt en l'an neuf cent soixante-dix-sept et que vous ayez rajouté un, un, à la place du zéro ?
Le poète ne comprenait rien à la question du gendarme et répondit qu'il aurait plus de mille ans si c'était le cas.
Le gendarme lui répondit que l'apparence physique ne voulait rien dire.
- Oui, mais imaginons que vous ayez subi une opération de chirurgie tous les quarante ans depuis les années mille, vous seriez toujours pareil non.
- En l'an mille une opération de chirurgie esthétique ?
- Oui, c'est possible, Michael l'a bien fait. Peut-être ne savez vous pas que c'est un extraterrestre et qu'il est toujours vivant et vit à la base cinquante et un.
Les gendarmes remercièrent le poète et partir comme si de rien n'était.
Le poète resta perplexe et finit les madeleines qui lui restaient dans la main en disant.
- Ce n'est pas tout ça, c'est bientôt l'heure de manger.
Le Pépère de son hélicoptère avait vu les gendarmes aller chez son maître. Avec ses chatjumelle il avait observé la scène en restant en stationnaire au-dessus du terrain.
Il vit par la même occasion que Chatdore n'était pas à son poste de gué. Par contre, Bibou et Sybage s'y tenaient parfaitement.
Il se demandait ce qu'il lui voulait et envoya un message à Chatdore. Celui-ci lui répondit qu'il s'était caché à l'approche des gendarmes pour écouter la conversation. Il lui fit un bref message et lui envoya le plus gros de la conversation.
- Toc toc toc, que voulaient ils, toc toc toc, ils ont peut-être des nouvelles de la siamoise à Fripouille, toc toc toc.
- Fle fle fle, ils sont venus lui emmener des sacs de pains pour les petites pattes de la part de ma gendarme poète, fle fle fle.
- Hé bien, j'espère que Chatdore a écouté ce qu'il voulait.
C'est l'inconvénient avec les jumelles, nous n'avons pas le son, chat chat chat.
- Hé bien, maintenant, je le sais grâce au message de Chatdore. C'est moi qui les aie inventées pour les Indiens, bref.
- Toc toc toc, que sais-tu de la conversation, toc toc toc.
- Fle fle fle, que la maîtresse à Pépère reviens bientôt, fle fle fle.
- Tu as inventé la messagerie ?
Je n'ai pas compris Pépère.
- Non, je n'ai pas inventé la messagerie, mais les jumelles.
Non, ils ne lui ont pas dit quand revenait ma soûlarde que j'aime. D'ailleurs, j'aimerais bien le savoir pour savoir quand mes dents, qui sont en pleine dépression, vont aller mieux en aimant les cinq jolis saucissons qu'elle me ramène.
Ils lui ont demandé son âge et figurez vous que le loustic, spécialiste du façonnage de carafe de vin pour fakir Israélien a commencé par nier l'évidence.
Sous la menace d'une peine de mort à perpétué, il y a réfléchi à deux fois.
- Toc toc toc, c'est une sacrée peine, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est comme si on me prenait ma mare, fle fle fle.
- Tu es sûr de ça, Pépère, la peine de mort ?
- Oui mon copain, entend bien par là, une peine de mort alcoolisée, c'est-à-dire l'interdiction à vie de posséder où de consommer des boissons alcoolisées.
Mon cachet contre le tremblement de la langue atteinte de la maladie de parkinson africaine, à tout de suite avoué avoir plus de mille ans. Ce n'est pas tout, il leur a même avoué son trafic d'armes de destructions massives et quand ils ont commencé à parler d'arrestation, il les a traité de con.
Oui parfaitement sachant que sa comparse a des appuis hauts placés. Malgré qu'ils aient compris qu'il avait fourni l'Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, ils sont repartis avec la promesse d'une livraison d'une cuve de deux mille litres de vinasse nucléaire à la brigade.
Pour répondre à ta question, Lolo, sur les jumelles, je vais te raconter l'histoire.
Heureusement d'ailleurs que j'aie mes chatjumelles. Avant, je n'en avait pas besoin, car j'avais des yeux capable de zoomer par cinquante, malheureusement, depuis ma brûlure au treizième degrés de la rétine je ne peux plus, bref, saucissons, s'il vous plaît.
Donc, voilà l'histoire des jumelles. Il y a un moment de ça dans les années cinquante, je travaillais avec un metteur en scène spécialiste des westerns. Grâce à ma chatlaurèanne, je ramenais dans le temps du farwest toute l'équipe de tournage et les acteurs. Pour ne pas être déranger durant les tounages nous avions signé un contrat avec un groupe d'indiens qui nous prévenaient en cas d'attaque de la part de quelques personnes qui ne voulaient pas nous laisser venir à leur époque sous prétexte de pollution visuelle.
Les hommes surveillaient et se parlaient avec des signaux de fumée. Le problème, et que nous ne savions pas, c'est qu'ils étaient myopes et ils n'arrivaient pas à se lire à grande distance. Par ce fait, nous étions souvent attaqués à cause du manque de coordination des hommes qui lisaient très mal les signaux de loin. C'est alors que j'ai eu l'idée de crée les jumelles. Oui, afelou ne voulait pas travailler avec les Américains. Voilà l'histoire authentique et vraie réelle pas fausse des jumelles.
 

Pièces jointes

#2
Pendant que la chatte Enarpilodienne voyageait dans les méandres du temps, les quatre individus qu'elle avait faits libérer était toujours dans un sommeil artificiel.
Malgré ses pouvoirs et le fait d'avoir déjà fait cette manœuvre, même sur des chats d'Enarpilod, quelques choses avait failli chez ces quatre sujets.
Sans savoir l'explication, leurs cerveaux ne réagissaient pas comme ceux des autres.
Les gendarmes étaient en patrouilles et avaient abandonné l'idée d'arrêter le maître à Pépère qui était soupçonné de voyager dans le temps et de mentir sur son âge.
Les quatre foies jaunes qui étaient toujours dans la cabane se réveillèrent alors qu'ils ne l'auraient pas dû.
- Hé, le cochon, sais-tu ce qui s'est passé, pourquoi notre cellule a changé d'apparence ?
- Tu as vraiment un cerveau d'huître mon pauvre Ragoût, tu sais bien que nous nous sommes évadés.
- Ha oui, et il faut profiter de notre liberté pour continuer le mouvement, on ne lâche rien, hou hou hou.
- Merguez, tu es vraiment bête si nous retournons à Sancoins, nous allons nous faire prendre.
- Hé pourquoi donc Cecilia ?
- Car ils ont la photo de nos visages.
- Ha, bon, comment les ont ils eu ?
- Nous avons été arrêtés, tu te souviens.
- Ha oui, tu n'es pas bête, je n'y aurais pas pensé. Nous n'avons qu'à nous déguiser et le tour et joué.
- Idiot, nous sommes recherchés.
- Ha bon et pourquoi donc ?
- Car nous nous sommes évadés !
- Ha, oui, c'est compliqué, heureusement que tu y as pensé.
Tu es sacrément intelligente quand même, personne n'aurait pensé à une chose pareille.
Les quatre sujets parlèrent entre eux et décidèrent d'attendre le retour de la chatte robot. Ils étaient encore en train d'essayer de comprendre la finesse du plan de la chatte. Malgré tout ils se demandaient pourquoi la siamoise avait été enlevée.
La minette était dans la pièce voisine et Ragoût, ayant trouvé des boîtes de sardines dans un placard, décida de les lui donner.
- Que fais-tu avec ces boîtes de baleine ?
- C'est des sardine, Cécilia, je les donne à la sœur du robot.
- Tu es vraiment très bête, ce n'est pas sa sœur, c'est un otage.
Bon, des sardines où de la baleine, c'est pareil, c'est toujours le poisson Maurice qui mange la danette.
- Ha oui, c'est vrai ça, c'est marrant, j'avais oublié que les poissons mangeaient de la danette. Je me doute qu'elle soit d'un autre âge si c'est sa sœur.
- Oui, tu te rends compte, Macron, nous accuse de jeter du plastique dans la mer alors que c'est le poisson Maurice qui laisse dans l'eau ses déchets.
- Oui, c'est comme ça qu'il ment au peuple, mais le peuple, c'est nous, hou hou hou, on ne lâche rien.
C'est ainsi que la siamoise se retrouva avec deux boîtes de sardines devant elle.
Malheureusement la chatte n'ayant pas l'ouvre-boîte qui va avec n'en fit rien de plus que de les regarder.
Les gendarmes sillonnaient dans le secteur où étaient cachés les foies jaunes, mais ne voyaient pas la maison au bord de l'étang.
Du chemin, il fallait vraiment savoir qu'elle était là pour la repérer. La pauvre siamoise, elle par contre voyait le chemin d'où elle était et les vit passée avec le désespoir de ne pas être retrouvé ici en ce lieu.
Les forces de l'ordre décidèrent d'aller voir le maître à Pépère pour essayer de glaner des renseignements sur lui. Le chef de la brigade leur avait demandé de tenter une approche pour qu'ils se fassent une idée sur son âge.
Chatdore qui était toujours avec Bibou et Sybage au fond du terrain, vit dans les airs l'hélicoptère de Pépère. Il se disait qu'il allait être disputé par son chef s'il voyait de là-haut qu'il avait quitté son poste. Il se dépêchait d'aller vers l'entrée quand les gendarmes arrivèrent sur le terrain. Il n'eut que le temps de se cacher sous la plate-forme et vit que le poète était à côté sous son hangar, madeleine et téléphone en main.
Les gendarmes se garèrent et descendirent pour aller le rejoindre.
Le poète ne faisait pas attention et fut surpris.
- Bonjour monsieur que faites vous ici ?
C'est alors qu'une voix sortie du haut-parleur du téléphone.
- Qu'est-ce que ça peut te faire pauvre con.
Le poète discrètement dit au téléphone, chut, ce sont les gendarmes et raccrocha.
- Alors comme ça, on manque de respect à la gendarmerie.
- Bonjour messieurs, non, j'écoute de la musique sur chattube, c'est la chaîne de Pépère le chat du poète.
- Ha bon, et quel est ce malpoli qui m'a dit pauvre con ?
- Vous ne connaissez pas Gainsbourg ?
Que ça te plaise où non, je rejoue quand même, pauvre con !
- Ha, bon, j'avais cru que c'était à mon intention. C'est quoi ça la chaîne, chattube ?
- C'est son collègue qui lui répondit.
- C'est la chaîne d'Isidore de l'émission toutes griffes dehors.
- Ha bon, chat chat où t'es où as-tu mis ton gun, chat chat où t'es où as-tu mis la Dacia, ha ha ha.
Vous êtes bien le maître du chat policier Pépère ? Avez-vous une pièce d'identité ?
L'homme partit dans sa cabane et revint avec sa carte d'identité.
- Alors, vous êtes bien né en mille neuf cent soixante-dix-sept ?
C'est réellement votre âge ?
Vous ne seriez pas né plutôt en l'an neuf cent soixante-dix-sept et que vous ayez rajouté un, un, à la place du zéro ?
Le poète ne comprenait rien à la question du gendarme et répondit qu'il aurait plus de mille ans si c'était le cas.
Le gendarme lui répondit que l'apparence physique ne voulait rien dire.
- Oui, mais imaginons que vous ayez subi une opération de chirurgie tous les quarante ans depuis les années mille, vous seriez toujours pareil non.
- En l'an mille une opération de chirurgie esthétique ?
- Oui, c'est possible, Michael l'a bien fait. Peut-être ne savez vous pas que c'est un extraterrestre et qu'il est toujours vivant et vit à la base cinquante et un.
Les gendarmes remercièrent le poète et partir comme si de rien n'était.
Le poète resta perplexe et finit les madeleines qui lui restaient dans la main en disant.
- Ce n'est pas tout ça, c'est bientôt l'heure de manger.
Le Pépère de son hélicoptère avait vu les gendarmes aller chez son maître. Avec ses chatjumelle il avait observé la scène en restant en stationnaire au-dessus du terrain.
Il vit par la même occasion que Chatdore n'était pas à son poste de gué. Par contre, Bibou et Sybage s'y tenaient parfaitement.
Il se demandait ce qu'il lui voulait et envoya un message à Chatdore. Celui-ci lui répondit qu'il s'était caché à l'approche des gendarmes pour écouter la conversation. Il lui fit un bref message et lui envoya le plus gros de la conversation.
- Toc toc toc, que voulaient ils, toc toc toc, ils ont peut-être des nouvelles de la siamoise à Fripouille, toc toc toc.
- Fle fle fle, ils sont venus lui emmener des sacs de pains pour les petites pattes de la part de ma gendarme poète, fle fle fle.
- Hé bien, j'espère que Chatdore a écouté ce qu'il voulait.
C'est l'inconvénient avec les jumelles, nous n'avons pas le son, chat chat chat.
- Hé bien, maintenant, je le sais grâce au message de Chatdore. C'est moi qui les aie inventées pour les Indiens, bref.
- Toc toc toc, que sais-tu de la conversation, toc toc toc.
- Fle fle fle, que la maîtresse à Pépère reviens bientôt, fle fle fle.
- Tu as inventé la messagerie ?
Je n'ai pas compris Pépère.
- Non, je n'ai pas inventé la messagerie, mais les jumelles.
Non, ils ne lui ont pas dit quand revenait ma soûlarde que j'aime. D'ailleurs, j'aimerais bien le savoir pour savoir quand mes dents, qui sont en pleine dépression, vont aller mieux en aimant les cinq jolis saucissons qu'elle me ramène.
Ils lui ont demandé son âge et figurez vous que le loustic, spécialiste du façonnage de carafe de vin pour fakir Israélien a commencé par nier l'évidence.
Sous la menace d'une peine de mort à perpétué, il y a réfléchi à deux fois.
- Toc toc toc, c'est une sacrée peine, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est comme si on me prenait ma mare, fle fle fle.
- Tu es sûr de ça, Pépère, la peine de mort ?
- Oui mon copain, entend bien par là, une peine de mort alcoolisée, c'est-à-dire l'interdiction à vie de posséder où de consommer des boissons alcoolisées.
Mon cachet contre le tremblement de la langue atteinte de la maladie de parkinson africaine, à tout de suite avoué avoir plus de mille ans. Ce n'est pas tout, il leur a même avoué son trafic d'armes de destructions massives et quand ils ont commencé à parler d'arrestation, il les a traité de con.
Oui parfaitement sachant que sa comparse a des appuis hauts placés. Malgré qu'ils aient compris qu'il avait fourni l'Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, ils sont repartis avec la promesse d'une livraison d'une cuve de deux mille litres de vinasse nucléaire à la brigade.
Pour répondre à ta question, Lolo, sur les jumelles, je vais te raconter l'histoire.
Heureusement d'ailleurs que j'aie mes chatjumelles. Avant, je n'en avait pas besoin, car j'avais des yeux capable de zoomer par cinquante, malheureusement, depuis ma brûlure au treizième degrés de la rétine je ne peux plus, bref, saucissons, s'il vous plaît.
Donc, voilà l'histoire des jumelles. Il y a un moment de ça dans les années cinquante, je travaillais avec un metteur en scène spécialiste des westerns. Grâce à ma chatlaurèanne, je ramenais dans le temps du farwest toute l'équipe de tournage et les acteurs. Pour ne pas être déranger durant les tounages nous avions signé un contrat avec un groupe d'indiens qui nous prévenaient en cas d'attaque de la part de quelques personnes qui ne voulaient pas nous laisser venir à leur époque sous prétexte de pollution visuelle.
Les hommes surveillaient et se parlaient avec des signaux de fumée. Le problème, et que nous ne savions pas, c'est qu'ils étaient myopes et ils n'arrivaient pas à se lire à grande distance. Par ce fait, nous étions souvent attaqués à cause du manque de coordination des hommes qui lisaient très mal les signaux de loin. C'est alors que j'ai eu l'idée de crée les jumelles. Oui, afelou ne voulait pas travailler avec les Américains. Voilà l'histoire authentique et vraie réelle pas fausse des jumelles.
Le maître à Pépère est vraiment reste âgé lol
A demain pour la suite. J'ai bien ri ce soir
Amicalement
Gaby