Dans l'espace, Elchatponne menait la danse en emmenant Leïlanne derrière lui. Fripouille était un excellent copilote et coordonnait parfaitement ses ordres avec l'autre soucoupe.
Un-œil, Isidore et Turbo étaient tout aussi formidable à assister les deux fées.
Les soucoupes passant non loin de la lune, nos voyageurs décidèrent de s'arrêter dessus. Ils voulaient profiter du paysage caché, la où règnent les mers lunaires.
Ce fut donc Elchatponne qui posa sa soucoupe en premier et Leïlanne se posa juste derrière.
Tous revêtirent leur combinaison de spationaute et se rassemblèrent proche d'un escarpement rocheux qui cachait la mer.
Ils ne pouvaient pas parler, mais le spectacle leur suffisait. Ils marchèrent jusqu'à la plage et le soleil caché au humain, diffusait une lumière incomparable. Les mouettes volaient avec souplesse à travers le tissu laiteux du ciel. Elles semblaient apparaître et disparaître dans un merveilleux bal. C'était un instant de grâce après tous les rudes combats qu'ils avaient menés à travers l'univers. Ils se seraient presque crus au paradis. Telle fut la surprise de voir que des anges côtoyaient les oiseaux accompagnés de fabuleux papillons. Dans sa tête, Elchatponne, connaissant parfaitement Pépère, se disait, heureusement qu'il n'est pas là, il aurait déjà été polluer la plage avec son caca l'animal.
La beauté du site les émerveillait et ils restèrent un long moment rêveur devant le bal aérien de l'eau léchant la plage et du ciel venant se coucher sur les flots.
Pendant ce temps, Chouanne continuaient d'installer la scène en sachant que Pépère revenait vers Sancoins. Mike faisait répéter les enfants une dernière fois devant l'assemblée plénière des ecclésiastiques dont la plupart étaient atteints d'une douleur de l'os ventral sans qu'ils sachent pourquoi. Le cousin du brigadier qui n'était pas en service était venu faire sa fouine et tripotait tous les instruments de la sono.
- Hé, gendarme, il ne faut pas dérégler la régie, sinon, tout serait gâché lors du discours du président et de celui de Pépère.
- Écoute, curé, je regarde si ces appareils sont conformes à la législation et j'aurais bien mis un peu de musique. Vous connaissez le groupe de l'auberge des moines. Je n'arrive plus à me souvenir de leurs noms à ses asticots. L'un ressemble à Merguez le leader gilet jaune, vous voyez qui je veux dire ?
- Pas du tout, et arrêtez de tout tripoter où je vous fais fouetter par les enfants ( dans sa tête, il pensait, humm, veinard, moi, je continuerais de tripoter la sono) et vous en aurez par votre grade.
- Ha bon sang, comment s'appelle-t-il déjà, vous voyez, une tête de dégénéré comme merguez avec son œil de pirate. Oui, le genre a porté plainte pour violences conjugales par le simple fait d'en être l'épouse. Bon sang, son épouse s'appelle Jany l'Enfer. Ha, licence quatre, je m'en souviens, on a cassé des gueules de bouteilles de Ricard au caumico sur cet air. Allez viens boire un petit coup à la maison, au commissariat de sancoins, pour en prendre plein ton museau, des coup de têtes et des coups de poings, c'est le jeu des beignes, devant un bon verre, pour se réchauffer l'hiver, viens capsule faut que je te peigne, lol. Voyez, je me souviens encore des paroles.
- Oui, bon, on va bien s'en passer, honnêtement, et ça ne va pas nous manquer. Je préfère, notre gramme de saisie, c'est la comédie musicale des toxicomanes incarcérés.
- Ha, bon, je ne connais pas, et je suis gendarme, c'est bizarre.
- Voilà l'air en gros, bien venu dans le milieu carcéral, l'extinction des dortoir, est prévu pour vint deux heure, bien venu dans le milieu carcéral, car il ne faut pas croire, qu'il n'y a que du malheur, dand le fond des dortoirs.
Mike se moquait ouvertement de l'homme et celui-ci n'y vit que du feu.
Sous la cabane Bibou et Chatdore écoutaient rouspéter le général picole et se demandaient bien quelle mouche l'avait piqué. Ils le virent d'où ils étaient en train de mordre son képi de rage.
- Whouaf, mais que fait cet homme, n'a-t-il donc pas mangé à midi, pour essayer de manger son képi, ainsi.
- Peut-être qu'il mange du tissu comme le lièvrium atomicum, qui vit là derrière nous dans les bois.
- Whouaf, ça existe ça ?
- Bien sûr mon copain, c'est moi qui les nourris avec les carottes du soûlard qui ont provoqué une épidémie dans la commune d'à côté. C'est d'ailleurs Pépère qui a été accusé à tort.
- Whouaf, mais c'est bizarre ton histoire apparemment.
- Oui mon copain que je te raconte. Voilà, le soûlard avait loué un champ à la sortie de la commune pour cultiver des carottes. Il comptait faire avec du vin et des apéritifs pour la brasserie du cul roux à Pépère. Comme il avait peur de rendre ses clients malades, il ne les a pas récupérées. C'est ainsi que sa comparse a décidé de les vendre en passant une annonce sur le bon brin, dans la commune de Sancoins. Ces carottes étaient monstrueuses et chacune pesait pas moins de dix kilos. Elle en avait déjà liquidé la moitié quand on s'est rendu compte qu'il n'y avait plus de végétaux sur la commune. Plus de feuilles sur les arbres plus d'herbe au sol, plus de fleurs, enfin le désert. Puis une épidémie de dentéose. La maladie de la dent de lapin. Toute la population s'est retrouvée avec des incisives de trois mètres de long faute de ne pouvoir éliminer leurs dents sur des végétaux. C'est alors que le soûlard de peur de la prison a trouvé un remède et les habitants ont guéri, mais ils sont devenus orange de peau. Comme tu le sais, Pépère a mis dans sa bière un réactif et c'est lui qui a été accusé. Entre temps à Mornay plus un habitant ne pouvait étendre du linge sans que celui-ci soit dévoré par une espèce de lapin nucléaire. C'était à cause des carottes qu'ils avaient jeté dans le bois. Les lièvres se sont transformés en lièvrium atomicum, c'est ainsi que Pépère à été obligé de les soigner en leur faisant une piqûre l'un derrière l'autre. Il a passé des jours à courir à travers la forêt pour les soigner, voilà mon copain.
- Whouaf, c'est un drôle de maître que celui de Pépère.
- Oui, ça, tu l'as dit et un plus d'après les forces de l'ordre l'homme aurait près de six cents ans.
Sur la route, le Pépère ne se sentait pas bien et commençait à délirer.
- Écoute, Lolo, tu vas appeler De Funès, car j'apprends que Daisy vient d'être arrêtée par Fantômas. C'est grave, moi qui pensais qu'il n'y avait plus de communiste, que le seul merdenchon de France était disparu, c'est une catastrophe.
- Hé bien, ça va Pépère ?
- Toc toc toc, ce chat zigzague, toc toc toc, a-t-il consommé de la drogue, toc toc toc.
- Fle fle fle, où est ma gendarme poète, fle fle fle, nous sommes en danger.
Le Pépère était dérangé par le virus qu'il avait contracté sur Xyron auprès des gigonotus. Il devait s'arrêter et délirait, il avait mal au ventre. Il s'arrêta si brusquement que Lolo se retrouva la tête dans la boîte à gants. Le pauvre Pêcheur vit son bec partir sur la route et eu peur de la fracture du bec. En un instant, il se vit le bec dans le plâtre et incapable de manger du poisson et contraint à la paille avec du yaourt de merlan.
Coin-coin qui était en train de regarder dehors fut éjecté dans les airs et se mit à battre des ailes.
- Toc toc toc , j'ai eu la peur de ma vie, toc toc toc , je me suis vu contraint à la purée de thon à vie.
- Fle fle fle, il aurait pu me dire qu'il avait des sièges éjectables, fle fle fle, j'ai eu peur de ne plus jamais revoir les petites pattes.
- Copain, j'ai failli finir dans le moteur, Pépère, où vas-tu, Pépère où vas-tu ?
- Urgence, tentative d'empoisonnement, je reviens.
Le Pépère partit dans la forêt et n'eut que le temps de gratter la mousse au pied d'un arbre pour faire son affaire.
Ses trois amis étaient sur le bord de la route quand un tsunami d'odeur leur revint. Au même instant, les feuilles des arbres se mirent à tomber et les arbres penchaient comme s'ils furent asphyxiés.
Le Pépère revint vers la route couvert de feuilles.
- Toc toc toc, qu'est qui s'est passé, toc toc toc, qu'est ce que c'est que cette odeur.
- Fle fle fle, les petites pattes n'ont plus de feuilles pour s'abriter.
- C'est quoi ce fumet mon copain, c'est épouvantable.
- Hé bien les amis, c'est la preuve que j'ai été victime d'un empoisonnement pour me faire voler mes saucissons, c'est ignoble.
Je vous ai dit avoir été victime d'une brûlure de la rétine au treizième degré et d'un roussissement des poils au seizième degré.
Hé bien la ruse était finaude, tout cet alcool est rentré dans mon intelligence qui a été perturbée et là j'ai dû aller l'évacuer dans les bois. Voyez-vous même, j'ai tué la forêt à cause de ce que mon corps a absorbé dans une haleine. Je n'accuse pas ma maîtresse, car je l'aime, je l'aime, mais c'est mon Indien buveur de bière italienne qui a dû lui fournir la vinasse qui devait empoisonner Pépère.
Un-œil, Isidore et Turbo étaient tout aussi formidable à assister les deux fées.
Les soucoupes passant non loin de la lune, nos voyageurs décidèrent de s'arrêter dessus. Ils voulaient profiter du paysage caché, la où règnent les mers lunaires.
Ce fut donc Elchatponne qui posa sa soucoupe en premier et Leïlanne se posa juste derrière.
Tous revêtirent leur combinaison de spationaute et se rassemblèrent proche d'un escarpement rocheux qui cachait la mer.
Ils ne pouvaient pas parler, mais le spectacle leur suffisait. Ils marchèrent jusqu'à la plage et le soleil caché au humain, diffusait une lumière incomparable. Les mouettes volaient avec souplesse à travers le tissu laiteux du ciel. Elles semblaient apparaître et disparaître dans un merveilleux bal. C'était un instant de grâce après tous les rudes combats qu'ils avaient menés à travers l'univers. Ils se seraient presque crus au paradis. Telle fut la surprise de voir que des anges côtoyaient les oiseaux accompagnés de fabuleux papillons. Dans sa tête, Elchatponne, connaissant parfaitement Pépère, se disait, heureusement qu'il n'est pas là, il aurait déjà été polluer la plage avec son caca l'animal.
La beauté du site les émerveillait et ils restèrent un long moment rêveur devant le bal aérien de l'eau léchant la plage et du ciel venant se coucher sur les flots.
Pendant ce temps, Chouanne continuaient d'installer la scène en sachant que Pépère revenait vers Sancoins. Mike faisait répéter les enfants une dernière fois devant l'assemblée plénière des ecclésiastiques dont la plupart étaient atteints d'une douleur de l'os ventral sans qu'ils sachent pourquoi. Le cousin du brigadier qui n'était pas en service était venu faire sa fouine et tripotait tous les instruments de la sono.
- Hé, gendarme, il ne faut pas dérégler la régie, sinon, tout serait gâché lors du discours du président et de celui de Pépère.
- Écoute, curé, je regarde si ces appareils sont conformes à la législation et j'aurais bien mis un peu de musique. Vous connaissez le groupe de l'auberge des moines. Je n'arrive plus à me souvenir de leurs noms à ses asticots. L'un ressemble à Merguez le leader gilet jaune, vous voyez qui je veux dire ?
- Pas du tout, et arrêtez de tout tripoter où je vous fais fouetter par les enfants ( dans sa tête, il pensait, humm, veinard, moi, je continuerais de tripoter la sono) et vous en aurez par votre grade.
- Ha bon sang, comment s'appelle-t-il déjà, vous voyez, une tête de dégénéré comme merguez avec son œil de pirate. Oui, le genre a porté plainte pour violences conjugales par le simple fait d'en être l'épouse. Bon sang, son épouse s'appelle Jany l'Enfer. Ha, licence quatre, je m'en souviens, on a cassé des gueules de bouteilles de Ricard au caumico sur cet air. Allez viens boire un petit coup à la maison, au commissariat de sancoins, pour en prendre plein ton museau, des coup de têtes et des coups de poings, c'est le jeu des beignes, devant un bon verre, pour se réchauffer l'hiver, viens capsule faut que je te peigne, lol. Voyez, je me souviens encore des paroles.
- Oui, bon, on va bien s'en passer, honnêtement, et ça ne va pas nous manquer. Je préfère, notre gramme de saisie, c'est la comédie musicale des toxicomanes incarcérés.
- Ha, bon, je ne connais pas, et je suis gendarme, c'est bizarre.
- Voilà l'air en gros, bien venu dans le milieu carcéral, l'extinction des dortoir, est prévu pour vint deux heure, bien venu dans le milieu carcéral, car il ne faut pas croire, qu'il n'y a que du malheur, dand le fond des dortoirs.
Mike se moquait ouvertement de l'homme et celui-ci n'y vit que du feu.
Sous la cabane Bibou et Chatdore écoutaient rouspéter le général picole et se demandaient bien quelle mouche l'avait piqué. Ils le virent d'où ils étaient en train de mordre son képi de rage.
- Whouaf, mais que fait cet homme, n'a-t-il donc pas mangé à midi, pour essayer de manger son képi, ainsi.
- Peut-être qu'il mange du tissu comme le lièvrium atomicum, qui vit là derrière nous dans les bois.
- Whouaf, ça existe ça ?
- Bien sûr mon copain, c'est moi qui les nourris avec les carottes du soûlard qui ont provoqué une épidémie dans la commune d'à côté. C'est d'ailleurs Pépère qui a été accusé à tort.
- Whouaf, mais c'est bizarre ton histoire apparemment.
- Oui mon copain que je te raconte. Voilà, le soûlard avait loué un champ à la sortie de la commune pour cultiver des carottes. Il comptait faire avec du vin et des apéritifs pour la brasserie du cul roux à Pépère. Comme il avait peur de rendre ses clients malades, il ne les a pas récupérées. C'est ainsi que sa comparse a décidé de les vendre en passant une annonce sur le bon brin, dans la commune de Sancoins. Ces carottes étaient monstrueuses et chacune pesait pas moins de dix kilos. Elle en avait déjà liquidé la moitié quand on s'est rendu compte qu'il n'y avait plus de végétaux sur la commune. Plus de feuilles sur les arbres plus d'herbe au sol, plus de fleurs, enfin le désert. Puis une épidémie de dentéose. La maladie de la dent de lapin. Toute la population s'est retrouvée avec des incisives de trois mètres de long faute de ne pouvoir éliminer leurs dents sur des végétaux. C'est alors que le soûlard de peur de la prison a trouvé un remède et les habitants ont guéri, mais ils sont devenus orange de peau. Comme tu le sais, Pépère a mis dans sa bière un réactif et c'est lui qui a été accusé. Entre temps à Mornay plus un habitant ne pouvait étendre du linge sans que celui-ci soit dévoré par une espèce de lapin nucléaire. C'était à cause des carottes qu'ils avaient jeté dans le bois. Les lièvres se sont transformés en lièvrium atomicum, c'est ainsi que Pépère à été obligé de les soigner en leur faisant une piqûre l'un derrière l'autre. Il a passé des jours à courir à travers la forêt pour les soigner, voilà mon copain.
- Whouaf, c'est un drôle de maître que celui de Pépère.
- Oui, ça, tu l'as dit et un plus d'après les forces de l'ordre l'homme aurait près de six cents ans.
Sur la route, le Pépère ne se sentait pas bien et commençait à délirer.
- Écoute, Lolo, tu vas appeler De Funès, car j'apprends que Daisy vient d'être arrêtée par Fantômas. C'est grave, moi qui pensais qu'il n'y avait plus de communiste, que le seul merdenchon de France était disparu, c'est une catastrophe.
- Hé bien, ça va Pépère ?
- Toc toc toc, ce chat zigzague, toc toc toc, a-t-il consommé de la drogue, toc toc toc.
- Fle fle fle, où est ma gendarme poète, fle fle fle, nous sommes en danger.
Le Pépère était dérangé par le virus qu'il avait contracté sur Xyron auprès des gigonotus. Il devait s'arrêter et délirait, il avait mal au ventre. Il s'arrêta si brusquement que Lolo se retrouva la tête dans la boîte à gants. Le pauvre Pêcheur vit son bec partir sur la route et eu peur de la fracture du bec. En un instant, il se vit le bec dans le plâtre et incapable de manger du poisson et contraint à la paille avec du yaourt de merlan.
Coin-coin qui était en train de regarder dehors fut éjecté dans les airs et se mit à battre des ailes.
- Toc toc toc , j'ai eu la peur de ma vie, toc toc toc , je me suis vu contraint à la purée de thon à vie.
- Fle fle fle, il aurait pu me dire qu'il avait des sièges éjectables, fle fle fle, j'ai eu peur de ne plus jamais revoir les petites pattes.
- Copain, j'ai failli finir dans le moteur, Pépère, où vas-tu, Pépère où vas-tu ?
- Urgence, tentative d'empoisonnement, je reviens.
Le Pépère partit dans la forêt et n'eut que le temps de gratter la mousse au pied d'un arbre pour faire son affaire.
Ses trois amis étaient sur le bord de la route quand un tsunami d'odeur leur revint. Au même instant, les feuilles des arbres se mirent à tomber et les arbres penchaient comme s'ils furent asphyxiés.
Le Pépère revint vers la route couvert de feuilles.
- Toc toc toc, qu'est qui s'est passé, toc toc toc, qu'est ce que c'est que cette odeur.
- Fle fle fle, les petites pattes n'ont plus de feuilles pour s'abriter.
- C'est quoi ce fumet mon copain, c'est épouvantable.
- Hé bien les amis, c'est la preuve que j'ai été victime d'un empoisonnement pour me faire voler mes saucissons, c'est ignoble.
Je vous ai dit avoir été victime d'une brûlure de la rétine au treizième degré et d'un roussissement des poils au seizième degré.
Hé bien la ruse était finaude, tout cet alcool est rentré dans mon intelligence qui a été perturbée et là j'ai dû aller l'évacuer dans les bois. Voyez-vous même, j'ai tué la forêt à cause de ce que mon corps a absorbé dans une haleine. Je n'accuse pas ma maîtresse, car je l'aime, je l'aime, mais c'est mon Indien buveur de bière italienne qui a dû lui fournir la vinasse qui devait empoisonner Pépère.
