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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Pépère était encore dans une crise de mégalomanie et ses Nike craquaient autant qu'elles le pouvaient. Il était fier d'être l'inventeur de tout ce qui existe sur terre.
- Toc toc toc, pourquoi le maire t'a demandé d'enquêter, toc toc toc, c'est le travail des gendarmes toc toc toc.
- Fle fle fle, oui il y a ma gendarme poète pour sauver les petites pattes, fle fle fle.
- Oui Pépère que s'est il passé, pour que l'on te demande d'enquêter ?
- Premièrement, je suis le spécialiste du combat contre les t-rex, deuxièmement je suis le chat policier le plus fort de France, troisièmement les gendarmes étaient tous à l'hôpital à cause de la soûlarde.
- Toc toc toc, que s'est-il passé, toc toc toc.
- Fle fle fle, quoi qu'elle est fait, je l'aime autant, fle fle fle.
- Oui, Pépère, c'est étrange, pourquoi étaient-ils tous à l'hôpital ?
- Hé bien, je vais vous l'expliquer les amis et vous aller comprendre. Voilà, je vous ai dit que mon épave du Titanic pour commandant alcoolique, m'avait fait cultiver des tomates nucléaires. Hé bien, trois ans plus tôt, il avait déjà fait des essais chez une pauvre vieille femme. La malheureuse qui était obligée de marcher avec un déambulateur a été arrêtée à contre-sens sur l'autoroute de Nevers avec son appareil.
Voilà, le saligaud, faisait donc une culture de tomate chez elle sous la demande de la pauvre infirme. Elle voulait en faire, une vingtaine de pieds. Lui, il lui dit, sachant que la pauvre vieille aimait la monnaie, si je vous en fais un champ entier, vous pourrez en vendre. J'ai peut-être une ouverture pour fournir la gendarmerie de Sancoins avec vos tomates. Au pire, mon chat, qui est très savant, pourrais vous en faire de la liqueur de tomate pour la revendre. C'est ainsi qu'il s'est mis à faire un champ entier de tomates. Il a proposé à la vieille dame de se faire aider par sa compagne qui est gendarme. Du coup, la brave femme avait totalement confiance. Le soir, la soûlarde allait les arroser avec un mélange de plutonium enrichie de palladium. Elle disait à la pauvre vieille, surtout ne toucher pas les tomates avant qu'elles soient mûres. C'est surtout qu'elle avait peur que la mamie soit irradiée sur place. Lui le matin, il passait regarder et désherber les tomates. Il avait toujours sur lui un compteur Geiger et mesurait les radiations. Puis les tomates ont commencées à mûrir et la pauvre vieille femme à commencer à les manger. C'est au bout de quatre jours qu'elle a commencé à avoir une forme olympique. Un matin, agacée par une barre à mine qui traînait dans son garage elle en fit un nœud de cravate. Elle demande à mon soûlard de me présenter à elle. C'est ainsi que la vieille dame m'a demandé de motoriser son déambulateur. Ainsi, elle pouvait naviguer dans son champ de tomates. Elle en mangeait à outrance jusqu'à en oublier qu'elle aurait pu en vendre. Un jour, elle m'envoie un SMS. J'étais étonné, qu'elle se soit mise au smartphone. Elle me dit écoute Pépère, malgré mes quatre-vingt-six ans, je pète la forme, chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat chat. Elle me demande de faire de son déambulateur une bête de course. Ce jour-là, elle fut particulièrement pénible avec moi, jusqu'à me refusant de me donner un bol d'eau sous prétexte que l'eau était chère. Je me suis dit, attends ma gaillarde et j'ai fait de son engin une Ferrari. Les tomates, là droguaient des oreilles jusqu'aux doigts de pied. C'est ainsi, qu'elle a prise la route un soir et s'est fait arrêter en excès de vitesse à trois cents kilomètres à l'heure sur son déambulateur à contre-sens sur l'autoroute de Nevers. C'est comme ça que sont arrivés les tomates nucléaires à la gendarmerie, déguisées en pomme de terre.
Suite à son arrestation, la vieille femme est passée au tribunal et s'est permis de dire au procureur textuellement. Je faisais déjà des tomates alors que tu avais encore le lait qui te sortait du nez morveux. Alors, écoute bien, si je n'ai pas le droit d'utiliser la route alors que c'est mon mari qui l'a goudronné, parfaitement goudronné, tu pourrais bien te ramasser un coup de canne sur le coin de la gue... espèce de blanc-bec.
La pauvre femme a pris, six mois de prison durant lesquels temps, elle a organisé des courses avec les prisonniers avec pari en euros et qu'elle a empoché la monnaie à chaque fois avec son déambulateur.
Le soûlard me dit un soir, Pépère serait tu capable de transformer des tomates en pomme de terre.
Je lui réponds, hé soûlard, j'ai un doctorat en génétique moléculaire et j'ai déjà transformé du plomb en or. Alors faire des pommes de terre avec des tomates, est un jeu d'enfant pour moi.
C'est comme ça que les tomates de la pauvre vieille mère Lavoine sont arrivées en patates à la brigade et que tout le corps de gendarmerie s'est retrouvé à l'hôpital. Les légumes leur faisaient pousser les ongles et en quelques jours tout le monde fut atteint d'ongléose aiguë avec des ongles de dix à trente mètres de long. C'est comme ça que le maire est venu me voir pour l'enquête du t-rex sur la mare à Coin-coin.
sur la mare à Coin-coin.

Les Belges qui s'étaient fait arrêter par François, partirent sur la commune et s'arrêtèrent à l'épicerie qui faisait le bistrot pour boire un café.
La femme qui tenait l'épicerie les regardait et ne disait rien. Elle vit que s'étaient des gens de passage et essaya de leur vendre l'attrape gogo local.
- Messieurs dames, je vois que vous êtes de passage. Cet article peut être vous intéresserait-il. Il s'agit de boule qui la nuit s'illumine et vous voyez la reproduction de la sainte qui est dedans est très fidèle. Oui, c'est notre bonne-dame sainte Bernadette qui est a été inhumé à Nevers.
L'homme n'en pouvait plus et regarda la femme en lui répondit d'un ton agacé.
- Dites donc une fois, vous ne seriez pas en train de nous prendre pour des Belges. On a donc une tête de frite à ce point là où quoi. Votre gri-gri, vous pouvez le garder pour d'autres. C'est quand même, une drôle d'arnaque les Soubirous, tu vois chérie, on n'est pas près de nous y reprendre. Une sainte alcoolique, qui fait la quête pour sa cure de désintoxication, une fois, pi, y demandent à des Belges. Vous n'avez donc pas la sécurité sociale ici, c'est un monde quand même. Nous les belges qu'ont nous dit bêtes, bin, on l'a bin quand même madame alors votre attrape nigauds, c'est pas nous qui allons l'acheter. On s'est déjà fait arnaqué sur la route, par un général qui picole et un gendarme alcoolique. C'est un monde, une fois, c'est quoi cette région, vous avez de gros soucis avec l'alcool. Je ne vous dis pas au revoir, c'est bin évident une fois.
- Tu as raison, chéri, c'est une honte, d'êtres raquetté ainsi ce tantôt, que déjà dans l'auto, on nous a déjà agacés. Paye la dame qui travaille pour les Soubirous et partons de là, si ça continue, y vont nous vendre des briquets où des disques des Soubirous, une fois, dans cette auberge, qu'elle est bien male tenue par des escros, je ne vous dis pas non plus au revoir madame, une fois, et bien le bonjour de la Belgique, c'est une honte.
Les deux voyageurs partirent furax et reprirent la direction de sancoins. François, qui était toujours au milieu de la route, n'y resta pas longtemps. L'homme était très agacé et n'avait pas l'intention de s'arrêter à nouveau. Il fila comme une flèche sur l'autre commune.
La femme vit au loin le car avec le général Picolle juste devant.
- Mon mari, regarde moi ces voleurs, y, sont en train de vendre leur bazard à tout un car. Pi, la gendarmerie qu'est complice, c'est encore mieux, une fois, essaie de pas t'arrêter, y vont encore essayer de nous endormir.
- Je ne peux pas passer, ils ont tout bloqué, une fois. N'empêche qu'on nous avait dit qu'ici, on verrait des miracles. Bin, une fois, on les a devant nous un gendarme qui vend des disque de la Soubirous pour payer sa cure. Tu m'entends gendarme, attends que je sois à ton passage. Bin, tu n'auras rien de ma poche, même pas une frite.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Pépère était encore dans une crise de mégalomanie et ses Nike craquaient autant qu'elles le pouvaient. Il était fier d'être l'inventeur de tout ce qui existe sur terre.
- Toc toc toc, pourquoi le maire t'a demandé d'enquêter, toc toc toc, c'est le travail des gendarmes toc toc toc.
- Fle fle fle, oui il y a ma gendarme poète pour sauver les petites pattes, fle fle fle.
- Oui Pépère que s'est il passé, pour que l'on te demande d'enquêter ?
- Premièrement, je suis le spécialiste du combat contre les t-rex, deuxièmement je suis le chat policier le plus fort de France, troisièmement les gendarmes étaient tous à l'hôpital à cause de la soûlarde.
- Toc toc toc, que s'est-il passé, toc toc toc.
- Fle fle fle, quoi qu'elle est fait, je l'aime autant, fle fle fle.
- Oui, Pépère, c'est étrange, pourquoi étaient-ils tous à l'hôpital ?
- Hé bien, je vais vous l'expliquer les amis et vous aller comprendre. Voilà, je vous ai dit que mon épave du Titanic pour commandant alcoolique, m'avait fait cultiver des tomates nucléaires. Hé bien, trois ans plus tôt, il avait déjà fait des essais chez une pauvre vieille femme. La malheureuse qui était obligée de marcher avec un déambulateur a été arrêtée à contre-sens sur l'autoroute de Nevers avec son appareil.
Voilà, le saligaud, faisait donc une culture de tomate chez elle sous la demande de la pauvre infirme. Elle voulait en faire, une vingtaine de pieds. Lui, il lui dit, sachant que la pauvre vieille aimait la monnaie, si je vous en fais un champ entier, vous pourrez en vendre. J'ai peut-être une ouverture pour fournir la gendarmerie de Sancoins avec vos tomates. Au pire, mon chat, qui est très savant, pourrais vous en faire de la liqueur de tomate pour la revendre. C'est ainsi qu'il s'est mis à faire un champ entier de tomates. Il a proposé à la vieille dame de se faire aider par sa compagne qui est gendarme. Du coup, la brave femme avait totalement confiance. Le soir, la soûlarde allait les arroser avec un mélange de plutonium enrichie de palladium. Elle disait à la pauvre vieille, surtout ne toucher pas les tomates avant qu'elles soient mûres. C'est surtout qu'elle avait peur que la mamie soit irradiée sur place. Lui le matin, il passait regarder et désherber les tomates. Il avait toujours sur lui un compteur Geiger et mesurait les radiations. Puis les tomates ont commencées à mûrir et la pauvre vieille femme à commencer à les manger. C'est au bout de quatre jours qu'elle a commencé à avoir une forme olympique. Un matin, agacée par une barre à mine qui traînait dans son garage elle en fit un nœud de cravate. Elle demande à mon soûlard de me présenter à elle. C'est ainsi que la vieille dame m'a demandé de motoriser son déambulateur. Ainsi, elle pouvait naviguer dans son champ de tomates. Elle en mangeait à outrance jusqu'à en oublier qu'elle aurait pu en vendre. Un jour, elle m'envoie un SMS. J'étais étonné, qu'elle se soit mise au smartphone. Elle me dit écoute Pépère, malgré mes quatre-vingt-six ans, je pète la forme, chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat chat. Elle me demande de faire de son déambulateur une bête de course. Ce jour-là, elle fut particulièrement pénible avec moi, jusqu'à me refusant de me donner un bol d'eau sous prétexte que l'eau était chère. Je me suis dit, attends ma gaillarde et j'ai fait de son engin une Ferrari. Les tomates, là droguaient des oreilles jusqu'aux doigts de pied. C'est ainsi, qu'elle a prise la route un soir et s'est fait arrêter en excès de vitesse à trois cents kilomètres à l'heure sur son déambulateur à contre-sens sur l'autoroute de Nevers. C'est comme ça que sont arrivés les tomates nucléaires à la gendarmerie, déguisées en pomme de terre.
Suite à son arrestation, la vieille femme est passée au tribunal et s'est permis de dire au procureur textuellement. Je faisais déjà des tomates alors que tu avais encore le lait qui te sortait du nez morveux. Alors, écoute bien, si je n'ai pas le droit d'utiliser la route alors que c'est mon mari qui l'a goudronné, parfaitement goudronné, tu pourrais bien te ramasser un coup de canne sur le coin de la gue... espèce de blanc-bec.
La pauvre femme a pris, six mois de prison durant lesquels temps, elle a organisé des courses avec les prisonniers avec pari en euros et qu'elle a empoché la monnaie à chaque fois avec son déambulateur.
Le soûlard me dit un soir, Pépère serait tu capable de transformer des tomates en pomme de terre.
Je lui réponds, hé soûlard, j'ai un doctorat en génétique moléculaire et j'ai déjà transformé du plomb en or. Alors faire des pommes de terre avec des tomates, est un jeu d'enfant pour moi.
C'est comme ça que les tomates de la pauvre vieille mère Lavoine sont arrivées en patates à la brigade et que tout le corps de gendarmerie s'est retrouvé à l'hôpital. Les légumes leur faisaient pousser les ongles et en quelques jours tout le monde fut atteint d'ongléose aiguë avec des ongles de dix à trente mètres de long. C'est comme ça que le maire est venu me voir pour l'enquête du t-rex sur la mare à Coin-coin.
sur la mare à Coin-coin.

Les Belges qui s'étaient fait arrêter par François, partirent sur la commune et s'arrêtèrent à l'épicerie qui faisait le bistrot pour boire un café.
La femme qui tenait l'épicerie les regardait et ne disait rien. Elle vit que s'étaient des gens de passage et essaya de leur vendre l'attrape gogo local.
- Messieurs dames, je vois que vous êtes de passage. Cet article peut être vous intéresserait-il. Il s'agit de boule qui la nuit s'illumine et vous voyez la reproduction de la sainte qui est dedans est très fidèle. Oui, c'est notre bonne-dame sainte Bernadette qui est a été inhumé à Nevers.
L'homme n'en pouvait plus et regarda la femme en lui répondit d'un ton agacé.
- Dites donc une fois, vous ne seriez pas en train de nous prendre pour des Belges. On a donc une tête de frite à ce point là où quoi. Votre gri-gri, vous pouvez le garder pour d'autres. C'est quand même, une drôle d'arnaque les Soubirous, tu vois chérie, on n'est pas près de nous y reprendre. Une sainte alcoolique, qui fait la quête pour sa cure de désintoxication, une fois, pi, y demandent à des Belges. Vous n'avez donc pas la sécurité sociale ici, c'est un monde quand même. Nous les belges qu'ont nous dit bêtes, bin, on l'a bin quand même madame alors votre attrape nigauds, c'est pas nous qui allons l'acheter. On s'est déjà fait arnaqué sur la route, par un général qui picole et un gendarme alcoolique. C'est un monde, une fois, c'est quoi cette région, vous avez de gros soucis avec l'alcool. Je ne vous dis pas au revoir, c'est bin évident une fois.
- Tu as raison, chéri, c'est une honte, d'êtres raquetté ainsi ce tantôt, que déjà dans l'auto, on nous a déjà agacés. Paye la dame qui travaille pour les Soubirous et partons de là, si ça continue, y vont nous vendre des briquets où des disques des Soubirous, une fois, dans cette auberge, qu'elle est bien male tenue par des escros, je ne vous dis pas non plus au revoir madame, une fois, et bien le bonjour de la Belgique, c'est une honte.
Les deux voyageurs partirent furax et reprirent la direction de sancoins. François, qui était toujours au milieu de la route, n'y resta pas longtemps. L'homme était très agacé et n'avait pas l'intention de s'arrêter à nouveau. Il fila comme une flèche sur l'autre commune.
La femme vit au loin le car avec le général Picolle juste devant.
- Mon mari, regarde moi ces voleurs, y, sont en train de vendre leur bazard à tout un car. Pi, la gendarmerie qu'est complice, c'est encore mieux, une fois, essaie de pas t'arrêter, y vont encore essayer de nous endormir.
- Je ne peux pas passer, ils ont tout bloqué, une fois. N'empêche qu'on nous avait dit qu'ici, on verrait des miracles. Bin, une fois, on les a devant nous un gendarme qui vend des disque de la Soubirous pour payer sa cure. Tu m'entends gendarme, attends que je sois à ton passage. Bin, tu n'auras rien de ma poche, même pas une frite.

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Vous me faites bien rire chaque soir et j"attends toujours la suite avec impatience.
Amicalement
Gaby