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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Sur Charnïa, le temps s'écoulait et aucune personne ne s'était rendu compte de l'absence des invités. Les hologrammes faisaient formidablement illusion.
Pendant ce temps, Leïlanne avec dextérité filait vers la terre. Elle décida de faire une halte sur une planète inconnue de l'homme. Celle-ci était une immense sphère verdoyante où ne vivaient que des animaux en parfaite harmonie.
Un-œil et Turbo s'étaient éveillé et Isidore était toujours en train de raconter ses histoires extraordinaires.
Liettuje demanda à l'autre fée.
- Où allons-nous Leïlanne, nous ralentissons ?
- Hé bien sûr, Xuasic, nous allons faire une halte ici.
Et Liettuje rajouta, vous verrez les loulous, c'est tranquille ici, nous allons nous reposer dans la forêt.
- Hé bien, moi, je suis content de pouvoir me dégourdir les pattes.
- Moi aussi, Isidore, tu ne t'es pas reposé ?
- Non Turbo, je raconte mes missions à Leïlanne.
Un-œil lui était calme et ne disait rien. Leïlanne manœuvra la soucoupe avec une très grande précision et se faufilait entre les arbres avant de se poser non loin d'un ruisseau.
Toute la troupe descendit et se mit à se décontracter les pattes. Puis Isidore dit à Turbo.
- Il faut faire attention à la rivière si ce sont de vrais arbres dans l'eau.
Pourquoi tu dis ça demanda Leïlanne.
- Car un jour, j'ai combattu avec Pépère des arbres guerrier et ça a commencé comme ça.
- Ha, bon, raconte-nous ça mon copain.
- Hé bien voilà Un-œil, je vais t'expliquer ce qui s'est passé. Nous avons été appelés en mission avec Pépère en Asie dans une forêt immense où avait été découvert le vol suspect de plusieurs centaines d'arbres qui réapparaissaient le lendemain. Les gens étaient inquiets et craignaient que ce soient des forces maléfiques. Nous avons donc enquêté et découvert que la rivière qui longeait la forêt était sans cesse en train de changer son cours d'eau. Puis nous avons trouvé pourquoi, les arbres qui se reflétaient dans l'eau en fait était des arbres guerriers qui vivaient dans l'eau. Ils buvaient l'eau de la rivière et en l'aspirant modifiait son sens. C'est ainsi que les arbres de la forêt ne pouvaient pas boire et mourraient. Les arbres guerriers les déracinaient pour en faire des barrages et détourner les eaux vers la rivière. Pour tromper les habitants, ils prenaient leur place et se déguisaient en eux. Nous avons donc investis les eaux avec Pépère et avons terrassés les arbres à coup de dent et de griffes, voilà mon copain.
- Rassure-toi, Isidore, ici il n'y a que des gentil arbres, ne t'inquiète pas.
Tout le monde se mit à sourire de la réponse de Leïlanne et tous se reposèrent le long de l'eau en se laissant bercer par la douce musique du courant léger qui passait devant eux. Les oiseaux chantaient en tous sens et un délicieux parfum de sérénité flottait dans l'air.
Sœur Mathilde qui venait de croiser Pépère arrivait sur le général qui était au milieu de la route derrière un car de touristes.
La sœur regarda le pape et lui dit.
- Hé, le vieil trombone regarde, c'est le car qui emmène les pèlerins voir Bernadette. Je n'en reviens pas. Qui est ce militaire sur la route ?
Mais c'est le brigadier Tatouvu qui est devant le car qu'il fait ?
Le pauvre gendarme était tout tremblant en train de faire un constat avec le chauffeur du car qui avait écrasé en passant le képi du général. Celui-ci avait voulu arrêter le car et avait fait tombé sont képi en se poussant. Le car failli l'écraser. Il appela le brigadier et lui demanda de faire un constat pour détérioration de tenue.
Le pape demanda à la sœur d'ouvrir son carreau.
- Bonjour, armée internationale, général, Enrique Picolle, je vais réquisitionner votre véhicule pour aller faire la guerre sur la commune d'à côté. Pour le moment, j'attends la réparation de l'outrage pour avoir osé écrasé le képi du militaire le plus important au monde.
Le Pépère reprit sa route en parlant du cambriolage de la boulangerie. Il était persuadé que c'était un coup du poète.
- Toc toc toc, comment tu peux le savoir que c'est lui toc toc toc.
- Fle fle fle, s'ils n'ont plus de pain comment va faire ma gendarme poète, fle fle fle.
- Oui, Pépère, tu te fais peut-être des idées. Va plutôt à la mare de Coin-coin pour récupérer Elchatponne. C'est Chatdore qui te le dit en message pour aller combattre les foies jaunes.
- Hé bien, malgré vos avis, je vous confirme que c'est un coup de mon soûlard pour effacer les preuves de ses activité nucléaire.
Voilà, depuis un moment, il me fait cultiver des tomates nucléaires et en a vendu à l'épicier. Il s'est rendu compte que ses tomates, enrichies au plutonium, étaient dangereuses, car elles alcoolisent ceux qui les mangent. Bien sûr comme avec sa soûlarde, ils ont régulièrement dix grammes de sang par litre d'alcool, il ne s'est rendu compte de rien. La semaine dernière, Madame le Maire en a acheté et l'après-midi, alors qu'elle ne boit pas d'alcool, elle a été contrôlée positive avec treize grammes d'alcool dans le museau. Elle est descendue de sa voiture en commençant par chanter. Isidore le citadin, chat chat où t'es pour finir par snoop dog, Whouaf tu es mon whouaf et quand j'te whouaf je fais whouaf whouaf tu es mon whouaf. Les gendarmes l'arrêtèrent et elle fut condamnée à une forte amende.
Il y a deux jours, j'ai été chez la soûlarde et j'ai vu les tomates nucléaires de l'épicerie alors qu'elle n'y ait jamais allé. Après, elle ne m'a pas vu, car j'étais déguisé en abeille.
- Fle fle fle, je vais revoir ma mare, je suis heureux, fle fle fle.
- Toc toc toc, je vais t'accompagner toc toc toc.
- C'est vrai qu'elle est calme la mare à Coin-coin.
- Ne t'y fit pas mon loulou, il y a très longtemps avant que Coin-coin n'y habite les gens du coin ont été terrorisé pas un t-rex qui venait la nuit. La mairie, m'avait demandé d'enquêter. Malheureusement, la bestiole était une aberration génétique due aux saloperies chimiques que mon rase moquette pour vers de cognac italien vient y jeter. Le monstre avait la capacité de disparaître à son gré et je n'arrivais pas à le combattre. J'ai trouvé la solution et j'en ai débarrassé la commune.
- Toc toc toc, comment tu as fait toc toc toc.
- Fle fle fle, j'en tremble pour les petites pattes, ma gendarme poète et son pain, fle fle fle.
- Oui Pépère, comment as-tu fait ?
- Hé bien, j'ai créé des flamants roses Android combattant qui ont attaqué la bestiole qui comptait les manger. Le monstre s'est enfui et j'étais là et l'ai terrassé à coup de queue.


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Cortisone

Maître Poète
#2
Sur Charnïa, le temps s'écoulait et aucune personne ne s'était rendu compte de l'absence des invités. Les hologrammes faisaient formidablement illusion.
Pendant ce temps, Leïlanne avec dextérité filait vers la terre. Elle décida de faire une halte sur une planète inconnue de l'homme. Celle-ci était une immense sphère verdoyante où ne vivaient que des animaux en parfaite harmonie.
Un-œil et Turbo s'étaient éveillé et Isidore était toujours en train de raconter ses histoires extraordinaires.
Liettuje demanda à l'autre fée.
- Où allons-nous Leïlanne, nous ralentissons ?
- Hé bien sûr, Xuasic, nous allons faire une halte ici.
Et Liettuje rajouta, vous verrez les loulous, c'est tranquille ici, nous allons nous reposer dans la forêt.
- Hé bien, moi, je suis content de pouvoir me dégourdir les pattes.
- Moi aussi, Isidore, tu ne t'es pas reposé ?
- Non Turbo, je raconte mes missions à Leïlanne.
Un-œil lui était calme et ne disait rien. Leïlanne manœuvra la soucoupe avec une très grande précision et se faufilait entre les arbres avant de se poser non loin d'un ruisseau.
Toute la troupe descendit et se mit à se décontracter les pattes. Puis Isidore dit à Turbo.
- Il faut faire attention à la rivière si ce sont de vrais arbres dans l'eau.
Pourquoi tu dis ça demanda Leïlanne.
- Car un jour, j'ai combattu avec Pépère des arbres guerrier et ça a commencé comme ça.
- Ha, bon, raconte-nous ça mon copain.
- Hé bien voilà Un-œil, je vais t'expliquer ce qui s'est passé. Nous avons été appelés en mission avec Pépère en Asie dans une forêt immense où avait été découvert le vol suspect de plusieurs centaines d'arbres qui réapparaissaient le lendemain. Les gens étaient inquiets et craignaient que ce soient des forces maléfiques. Nous avons donc enquêté et découvert que la rivière qui longeait la forêt était sans cesse en train de changer son cours d'eau. Puis nous avons trouvé pourquoi, les arbres qui se reflétaient dans l'eau en fait était des arbres guerriers qui vivaient dans l'eau. Ils buvaient l'eau de la rivière et en l'aspirant modifiait son sens. C'est ainsi que les arbres de la forêt ne pouvaient pas boire et mourraient. Les arbres guerriers les déracinaient pour en faire des barrages et détourner les eaux vers la rivière. Pour tromper les habitants, ils prenaient leur place et se déguisaient en eux. Nous avons donc investis les eaux avec Pépère et avons terrassés les arbres à coup de dent et de griffes, voilà mon copain.
- Rassure-toi, Isidore, ici il n'y a que des gentil arbres, ne t'inquiète pas.
Tout le monde se mit à sourire de la réponse de Leïlanne et tous se reposèrent le long de l'eau en se laissant bercer par la douce musique du courant léger qui passait devant eux. Les oiseaux chantaient en tous sens et un délicieux parfum de sérénité flottait dans l'air.
Sœur Mathilde qui venait de croiser Pépère arrivait sur le général qui était au milieu de la route derrière un car de touristes.
La sœur regarda le pape et lui dit.
- Hé, le vieil trombone regarde, c'est le car qui emmène les pèlerins voir Bernadette. Je n'en reviens pas. Qui est ce militaire sur la route ?
Mais c'est le brigadier Tatouvu qui est devant le car qu'il fait ?
Le pauvre gendarme était tout tremblant en train de faire un constat avec le chauffeur du car qui avait écrasé en passant le képi du général. Celui-ci avait voulu arrêter le car et avait fait tombé sont képi en se poussant. Le car failli l'écraser. Il appela le brigadier et lui demanda de faire un constat pour détérioration de tenue.
Le pape demanda à la sœur d'ouvrir son carreau.
- Bonjour, armée internationale, général, Enrique Picolle, je vais réquisitionner votre véhicule pour aller faire la guerre sur la commune d'à côté. Pour le moment, j'attends la réparation de l'outrage pour avoir osé écrasé le képi du militaire le plus important au monde.
Le Pépère reprit sa route en parlant du cambriolage de la boulangerie. Il était persuadé que c'était un coup du poète.
- Toc toc toc, comment tu peux le savoir que c'est lui toc toc toc.
- Fle fle fle, s'ils n'ont plus de pain comment va faire ma gendarme poète, fle fle fle.
- Oui, Pépère, tu te fais peut-être des idées. Va plutôt à la mare de Coin-coin pour récupérer Elchatponne. C'est Chatdore qui te le dit en message pour aller combattre les foies jaunes.
- Hé bien, malgré vos avis, je vous confirme que c'est un coup de mon soûlard pour effacer les preuves de ses activité nucléaire.
Voilà, depuis un moment, il me fait cultiver des tomates nucléaires et en a vendu à l'épicier. Il s'est rendu compte que ses tomates, enrichies au plutonium, étaient dangereuses, car elles alcoolisent ceux qui les mangent. Bien sûr comme avec sa soûlarde, ils ont régulièrement dix grammes de sang par litre d'alcool, il ne s'est rendu compte de rien. La semaine dernière, Madame le Maire en a acheté et l'après-midi, alors qu'elle ne boit pas d'alcool, elle a été contrôlée positive avec treize grammes d'alcool dans le museau. Elle est descendue de sa voiture en commençant par chanter. Isidore le citadin, chat chat où t'es pour finir par snoop dog, Whouaf tu es mon whouaf et quand j'te whouaf je fais whouaf whouaf tu es mon whouaf. Les gendarmes l'arrêtèrent et elle fut condamnée à une forte amende.
Il y a deux jours, j'ai été chez la soûlarde et j'ai vu les tomates nucléaires de l'épicerie alors qu'elle n'y ait jamais allé. Après, elle ne m'a pas vu, car j'étais déguisé en abeille.
- Fle fle fle, je vais revoir ma mare, je suis heureux, fle fle fle.
- Toc toc toc, je vais t'accompagner toc toc toc.
- C'est vrai qu'elle est calme la mare à Coin-coin.
- Ne t'y fit pas mon loulou, il y a très longtemps avant que Coin-coin n'y habite les gens du coin ont été terrorisé pas un t-rex qui venait la nuit. La mairie, m'avait demandé d'enquêter. Malheureusement, la bestiole était une aberration génétique due aux saloperies chimiques que mon rase moquette pour vers de cognac italien vient y jeter. Le monstre avait la capacité de disparaître à son gré et je n'arrivais pas à le combattre. J'ai trouvé la solution et j'en ai débarrassé la commune.
- Toc toc toc, comment tu as fait toc toc toc.
- Fle fle fle, j'en tremble pour les petites pattes, ma gendarme poète et son pain, fle fle fle.
- Oui Pépère, comment as-tu fait ?
- Hé bien, j'ai créé des flamants roses Android combattant qui ont attaqué la bestiole qui comptait les manger. Le monstre s'est enfui et j'étais là et l'ai terrassé à coup de queue.


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J'ai lu avec grand plaisir ce nouvel épisode. J'ai relevé une phrase me parlant bien pour un acrostiche.
Me permettez vous de vous l'emprunter ?
Amicalement
Gaby