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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Isidore se croyait dans un film et son bonheur était immense. Il pensait à l'étonnement de ses cousins parisiens quand il leur raconterait son aventure dans l'espace. Il se demandait d'ailleurs s'ils le croiraient de cette épopée dans l'espace. Il regarda Un-œil et lui demanda par curiosité.
- Dit moi mon copain, tu as déjà vécu des aventures comme ça dans ta vie.
- Non, mon copain et c'est grâce à Pépère. S'il ne m'avait pas sorti du mauvais chemin, je n'aurais jamais rencontré Leïlanne et je n'aurais pas fait ce voyage, et toi, tu as déjà vécu des supères histoires ?
- Mise à part, avoir sauvé Pépère des léopards à dent d'acier derrière Atac rien de plus. J'avais fait une demande pour participer à l'émission toutes griffes dehors et je n'ai jamais reçu de réponse. Mais là, c'est mieux que l'émission, car c'est en vrai que je vis ces moments magiques auprès de toi et Liettuje qui est derrière moi.
La fée caressait doucement les deux chats et la soucoupe qui était en pilotage automatique filait vers Énarpilode où une terrible bataille attendait les minets.
Turbo dans sa soucoupe profitait des vues que lui offrait l'univers. Il ne perdait rien de ce qui se passait dehors. Il faisait des vidéos pour les montrer à sa cousine qui cette fois serait bien obligée de le croire sur ses aventures. Par moment, il avait comme l'impression que Sybage ne croyait pas à ses supers histoires et ses vrais pouvoirs. Il était le chat le plus rapide du monde et il n'en était pas autrement pour lui.
Leïlanne sentait le bonheur qui régnait dans le cœur de l'animal et cela lui faisait plaisir.
Non loin des deux soucoupes qui avançaient à une allure régulière, il y avait une ceinture d'astéroïdes et Turbo faisait de jolies photos. Il vit juste au-dessus une lumière blanche qui filait et demanda à Leïlanne si elle savait ce que c'était. La fée compris immédiatement que c'était une comète et que celle-ci allait percuter les astéroïdes comme une balle. Elle fut très réactive et regarda les écrans. Aucun doute, la comète allait pulvériser les astéroïdes qui allaient à leur tour pleuvoir sur les soucoupes.
- Vite, Turbo, prévient Isidore, nous allons subir une averse terrible de cailloux, vite, pré...
La pauvre fée n'avait pas eu le temps de finir sa phrase. Les astéroïdes furent éjectés en tous sens et plusieurs passèrent devant la soucoupe.
- Ici Turbo, allô, ici Turbo, mayday mayday, Isidore suis ma trajectoire, mayday mayday, nous sommes victimes d'une pluie d'astéroïdes, mayday mayday, Isidore me reçois tu?
- Ici Isidore, allô Turbo, bien reçu, Liettuje corrige la trajectoire, Un-œil active les réacteurs, allô ici Isidore, mayday mayday, j'ai été percuté, mayday mayday.
- Allô, ici, Turbo, essaie de tenir le cap, nous sortons du champ, ici Turbo, Isidore suis mon sillage, tu es à l'abris d'ici deux minutes, quatre degrés, six secondes, Isidore suis ma trajectoire.
- Allô ici, Isidore. Liettuje recalcule la trajectoire, Un-œil coordonne le mouvement, mayday mayday, nous sommes derrière toi, ici Isidore. Nous avons besoin d'aide, mayday mayday, l'averse de météores est loin derrière, nous avons été touché sur le fuselage de la soucoupe.
- Allô, ici, Turbo nous faisons demi tour, ici turbo, nous arrivons.
- Allô ici, Isidore, nous vous attendons.
Turbo, fit demi-tour et Leïlanne constata les dégâts. Un astéroïde avait percuté le dôme de la soucoupe et le métal était en fusion. Avec les extincteurs de sa soucoupe, Leïlanne parvint à arrêté l'incendie. Tout le monde était rassuré. Avec patience, les deux fées réunirent les soucoupes et chacun se mit à l'ouvrage pour réparer le vaisseau. Les fées devaient garder toutes leurs forces et ne pouvaient pas user de magie pour un oui ou un non. C'est pour cette raison que la réparation fut manuelle. Une heure plus tard, les soucoupes volaient comme avant en direction d'Énarpilode et Turbo faisait encore des photos.
Dans sa cabane, Cookie n'avait pas eu autant de calme que depuis déjà deux heures. Malheureusement, cela ne dura pas. Déjà, elle entendit le poète arrivé et il semblait mécontent.
En effet, les Américains arrivaient juste en face de lui et faisaient des appels de phares pour qu'il libère le passage. Avec leurs puissantes voitures tout terrain, ils étaient passés par les champs qui longeaient son terrain et qui normalement n'étaient pas accessibles.
Le pauvre homme, n'eut que le temps de rentrer sur son terrain avant de ressentir une secousse. Il descendit de sa voiture et vit le pare-chocs au sol et l'aile du camion qui était dans l'allée fortement endommagée. Il se pencha sur le camion pour constater les dégâts et en prit plein le nez. Le caca a Pépère qui était sous le camion entre les deux-roues avait diffusé un vilain parfum. Il regarda ensuite sa voiture et vit qu'il y avait du dégât aussi de ce côté-là. Les Américains firent comme si de rien n'était et prirent leurs équipements avant de filer par la route à toute allure.
Cookie de sa cabane avait tout entendu et demanda à Chatdore qui était dans l'entrée de la cabane ce qui s'était passé. Il lui raconta la scène et Ainos sortit pour prendre des photos et les envoyer à son chatmoureux.
Le Pépère lui avait demandé de le prévenir s'il se passait quelque chose d'exceptionnelle.
- Hiii, bandit, ça recommence, hiii, je n'en peux plus, hiii, disparaissez, hiii, bandit, hiii, pirate, hiii, cacateux.
- Calme toi ma copine, ça va, ils sont partis.
- Oui, Chadore à raison, j'ai prévenu mon chatmoureux et s'il peut venir cinq minutes.
- Hiii, non, hiii, pas de caca...
C'est a ce moment là que le frère du poète arriva sur le terrain pour emmener Bibou vers sa cabane afin qu'il se défoule un peu sur le terrain. Sa mère le trouvait énervé et Momo eut peine de voir encore partir son nouvel ami.
Le Pépère à la brasserie reçu les photos et les messages de sa chatmoureuse. Regardant l'assistance, il leur dit.
- Je dois d'urgence rejoindre mon coéquipier Lolo. Mon Auvergna imbibé de Coca-Cola Jordanien aromatisé au rhum du Népal, a encore fait des siennes. Je vous laisse avec Fripouille, Coin-coin et Pêcheur.
Le Pépère sortit en courant et prit la direction du champ. Il envoya un message à Lolo de se tenir près pour repartir en hélicoptère vers Mornay. En passant devant l'estrade, il vit sa maman fée Chouânne et ne pouvait perdre une minute. Malgré tout, il s'arrêta et se mit à lui envoyer des bisous avec sa patte.
- Je t'aime ma maman fée, je t'aime, je reviens bientôt, je t'aime ma maman fée.
Chouânne lui envoya aussi des bisous en lui disant, je t'aime mon Tigrou.
Dans la brasserie, tout le monde avait été surpris du brusque départ de Pépère.
- Toc toc toc, il n'a pas traîné le Pépère, toc toc toc. Il va voir son maître, toc toc toc.
- Fle fle fle, il va voir madame gendarme poète, fle fle fle, pour donner du pain aux oiseaux avec eux fle fle fle.
- Je ne pense pas, qu'ils donnent du pain aux oiseaux. Ils sont sûrement en train de nourrir les poissons du canal qu'ils ont dû mettre dans un aquarium, chat chat chat.
- Votre remarque est judicieuse mon cher, Fripouille, que sont devenus les poissons du canal qui a été victime du vol de ses eaux ? Rajouta le président de la République.
- Toc toc toc, ça me fait penser à la baleine, toc toc toc, elle voulait manger Coin-coin, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est madame poète gendarme qui m'a sauvé, fle fle fle.
- Toc toc toc, c'est moi qui aie été la prévenir, toc toc toc, la baleine s'était échappé d'un cirque, toc toc toc et elle était dans la mare à Coin-coin, toc toc toc. J'ai prévenu la gendarmerie, toc toc toc, madame gendarme poète est venue toc toc toc.
- Fle fle fle, elle l'a terrassé, fle fle fle et sauvé ma mare, fle fle fle.
- Hé, bien, ils s'en passent des choses dans votre région où semble-t-il la villageoise à légion, ha ha ha.
- Oui, Monsieur le Président que des histoires vraies qui ne sont pas fausses et avérées authentiques, chat chat chat, conclut Fripouille.
Le Pépère arriva en courant vers l'hélicoptère et s'appuya sur celui-ci.
- Arf arf arf, je n'en peux plus, arf arf arf.
- Chalut mon copain, je suis heureux de te voir, chat chat où t'es où est-ce que tu as mis ton chat chat, qu'est-ce qu'il t'arrive, tu es essoufflé mon copain.
- Chatlut Pépère, oui que t'arrive t'il, reprit Elchatponne.
- Arf arf arf, non, c'est le morceau de titane qui est dans mon cœur, arf arf arf, nous sommes proches d'un relais, arf arf arf, et sa perturbe mon souffle, ça va mieux à présent, arf arf arf.
Le Pépère parlait avec Ainos et montra les photos à Lolo. Elchatponne devait rester pour garder la soucoupe de Chouânne.
Le Pépère sauta dans l'hélicoptère et Lolo le suivit. Entre temps Ainos dont la fée Chouânne lui avait créée une identité et des maîtres, dut rentrer chez elle voir ses propriétaires.
Le Pépère fila à toute allure avec son petit hélicoptère et passa de nouveau au-dessus des bois où venaient de revenir les Américains. Ceux-ci pensèrent encore une fois à un extraterrestre, la coïncidence était de trop.
Le Pépère posa son engin proche de la cabane et descendit voir ce qui se passait. Il constata les dégâts et il répartit espionner devant le chalet pendant que Lolo l'attendait dans l'hélicoptère. Par la fenêtre, en montant sur la chaise, il vit l'homme qui avait le nez plongé sur son dossier du tribunal. Il eut comme l'intuition d'une présence et regarda vers la fenêtre.
- Mais c'est Pépère, ça va mon gamin, tu as faim peut-être.
Le Pépère sauta de la chaise et partit vers l'hélicoptère en ayant pris soin de regarder l'homme de travers avant de fuir.
- Mais c'est mon boit sans soif, ça va soûlard ? Tu n'as pas soif ? Appelle ta poivrote et occupe toi de la liquidation de ton magasin de vinasse au lieu de t'occuper de ma vie, poivrot.
Le Pépère remonta dans l'hélicoptère et fit à Lolo.
- Mon parpaing plein pour construction de maison d'ivrogne a fait du beau. Figure toi qu'il a embouti le camion de la soûlarde dans l'allée avec sa voiture. Il a détruit tout l'arrière du véhicule. J'ai eu le temps de tout voir avant de revenir.
- Tu as eu les photos à Sancoins et c'était déjà arrivé.
- Oui, mais c'est qu'avec ma magie, j'ai remonté le temps en rentrant dans mon téléphone et voyager dans la photo.
- Hé bien, il aurait mieux fait de prendre un taxi le soûlard, chat chat où t'es où es-tu chat chat.
- Le taxi, c'est moi qui l'aie inventé pour un conte roumain.
- Tu as inventé le taxi mon copain, ha bon.
Oui, c'était en Transylvanie. Voilà mon copain. Un conte qui habitait là-bas sur un rocher dans un château est venu me consulter un jour. Je travaillais à l'époque dans un centre qui aidait à la réinsertion des petits foies jaunes pour leur apprendre l'alphabet. J'étais psychologue et conseiller en agence de voyages pour les parents qui voulaient apprendre le vol de voiture en France à leur futur foie jaune, bref. Donc l'homme vient me voir et me dit être déprimé, car il est toujours cloué dans son château. J'ai donc inventé le taxi. Il était super content et venait régulièrement me raconter ses voyages. J'apprends en même temps que partout où il allait de violents incendies éclataient. Les mers qu'il sillonnait avec son taxi étaient en ébullition. Alors j'ai fait mon enquête. Le problème venait de mon invention. Voilà, pour ces taxis, vu ma force légendaire, j'avais dressé des dragons et ils transportaient les gens sur leur dos où étaient installés des sièges. Le problème, c'est qu'ils crachaient du feu en volant. Alors j'ai demandé au petit foies jaune de passer le permis de conduire et avec une voiture faire le taxi. Ma compagnie de taxi s'appelait la transylvania dretus-dragon. Par la suite, j'ai su le nom de mon conte. C'était Douetcula et j'ai été à son château pour le terrasser sachant ses activités.
- Hé bien mon copain, tu es fort. Regarde Bibou est là.
- Chouette, partons Screenshot_20190428_191928.jpg le voir et que je vous raconte l'accident de mon alcoolique.