Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Sur Charnïa, Un-œil l'avait échappé belle, à une seconde près, il aurait été démasqué. Les deux fées se levèrent. Elles avaient l'apparence de Praxtor et Grégor et les Charnïens n'avaient pas et le temps de voir la supercherie. Les deux créatures qui étaient entrées dans la pyramide, avaient besoin du Dieu chat Pépère. La planète Franïadus refusait de s'allumer et les astromes virent qu'elle avait comme des soubresauts. Étant donné que s'était Pépère qui l'avait offert à Bastet, il était impératif qu'il s'assure de son bon fonctionnement. Les habitants craignaient déjà le déluge infernal de L'Érèbe sur leur planète. C'est ainsi que malgré eux les deux fées et un œil partirent en direction de la soucoupe pour prendre l'espace en direction de Franïadus. L'aurore était figée et les trois soleils étaient verts. La couleur à la surface de la planète était totalement improbable.
La soucoupe décolla devant les habitants qui attendaient avec impatience qu'une solution soit trouvée.
- Hé bien, comment allons nous faire. Tu as une idée Leïlanne.
- Bien sûr mon loulou, avec ma magie et celle de Liettuje nous allons tout remettre en règle. Ne t'inquiète pas.
Arrivés vers cette planète inconnue jusqu'au fin fond de l'univers, les voyageurs eurent la surprise de constater qu'elle était habitée par des chats. Ceux-ci étaient victimes d'une terrible attaque de chats Android venus de la planète Enarpilode. Celle-ci était aussi peuplée par des chats et était à dix années-lumières de Franïadus. Les chats de cette petite planète avaient une technologie tellement avancée, que ses ingénieurs avaient fait des chats robots pour les tâches quotidiennes de chacun. Malheureusement, le progrès a quelques fois, son anathème et les robots étaient tellement intelligents qu'ils avaient supplanté la race féline. À présent, il attaquait d'autre planète pour les coloniser. Leïlanne et Liettuje ayant compris ce qui se passait, firent acte de leur magie pour que les robots s'en aillent et ne reviennent plus jamais vers Charnïa. En quelques minutes, la planète s'éclaira et les trois soleils se mirent à briller.
- Mon loulou attend toi pour être vénéré en arrivant sur Charnïa.
- Oui Leïlanne, c'est grâce à toi.
- Pas seulement, Liettuje en a fait autant que moi.
La soucoupe reprit la direction de Charnïa et les fées étaient ravies.
Le long de la route, c'était aussi la fête. Personne n'était en état d'arrestation. La sœur fut glorifiée et revêtue d'un gilet jaune. Le brigadier n'en revenait pas de son courage à avoir affronté les Américains. Du coup plus personne n'en voulait à personne. Les véhicules des foies jaunes furent dirigés vers un grand parking qui était un peu plus haut. Le brigadier Tatouvu y mettant tout son zèle pour faire la circulation. Il en profitait pour donner des conseils aux automobilistes en se venant de sa fonction immodérément presque à la limite du prosélytisme. Il vit ,dans la file qui passait une voiture avec la cocarde République Française, mais ne s'en soucia pas plus que ça. Par contre à l'intérieur, ses occupants étaient inquiets.
- Tu as vu chéri, ce sont des foies jaunes. Qu'allons-nous faire ?
- Ne t'inquiète pas comme ça Brigitte, tu as bien vu qu'un gendarme est là et qu'il les surveille. D'ailleurs, l'homme n'a nullement d'appréhension face à cette horde de canards sans têtes. Ils n'osent même pas brûler les poubelles qui sont le long du parking. Raconte-moi encore l'histoire du petit gilet réfléchissant, Brigitte, s'il te plaît. Elle me détend, et avouons le avec grandiloquence, c'est moi qui aie l'appréhension de rencontrer le célèbre Pépère. Philippe m'a longuement parlé de lui et j'ai hâte d'écouter ses histoires.
La voiture passa la dernière devant le brigadier et la route retrouva sa fluidité coutumière. Il partit retrouver ses nouveaux amis qui avaient des dizaines de caisses de vin par voiture. La sœur et le pape trinquaient déjà à pleine bouteille et celle-ci l'invita à les rejoindre.
- Hé policier d'occasion au képi iranien fabriqué par des moines hypocondriaques, vient trinquer avec nous. Ces hommes sont là pour aller voir le Pépère et le président. Ne boude pas, tu l'auras ta médaille de la villageoise d'or, lol.
C'est ainsi que la troupe fit la fête le long de la route et repartit en emmenant les trois marcheurs en direction du canal. L'un des hommes prétendait que c'était le président de la République qui avait volé le canal pour le vendre à un émir d'Arabie Saoudite pour se faire construire un complexe aquatique dans le désert. Il affirmait qu'il avait eu l'information par un des amis du cochon jaune qui le tenait d'un docteur ès maître en biologie moléculaire.
À la brasserie, s'était toujours la fête et chacun dégustait déjà des spécialités en attendant le Pépère et Turbo.
- Toc toc toc, ces poissons sont succulents, toc toc toc, vive la brigade des poètes, toc toc toc.
- Fle fle fle, qu'est-ce que tu dis Fripouille, fle fle fle, taisez vous un peu, fle fle fle, Fripouille est au téléphone, fle fle fle.
- Oui, mon copain, c'est Fripouille à la brasserie, qu'est-ce qui se passe ? Ha, bon, je dis aux autres que tu arrives.
- Fle fle fle, que se passe-t-il, ils ont voler ma marre, fle fle fle.
- Toc toc toc, ils ont prévu de faire tomber mon bec en dépression, toc toc toc.
- Non rien de tout ça, le Pépère s'arrête cinq minutes pour répondre à une annonce de voiture, je n'ai pas tout compris.
- Avec Pépère, c'est bizarre des fois.
- Ha bon pourquoi, Elchatponne ?
- C'est dans son tempérament, Isidore, chat, chat, chat.
Le long de la route le Pépère était toujours avec le téléphone en patte et regardait l'annonce et répondit.
- Je t'ai demandé quelque chose figure de peau de dessous pied.
- Hé, Pépère, pendant que tu remplis ton ventre, juste devant moi dans le champ à Coin-coin, il y a une troupe de foies jaunes qui déambule.
- Va te faire voir soûlard, je vais m'en occuper.
- Je te ramène des croquettes, hihi.
- Tu es où salopard à l'auberge des moines ?
- À la gendarmerie, c'est ta soûlarde qui te parle. Alors comme ça, tu manges comme une fourmi. Je t'aime mon Pépère, gros bisou sur tes grosses joues.
- Tu vas voir si j'ai des grosses joues, je t'aime ma soûlarde.
- Bon, alors qu'est-ce qui se passe, Pépère ?
- Rien, je parlais à mon soûlard. Depuis un an et demi qu'il écrit mes aventures, il ne m'a presque jamais adressé la parole. Nous vivons dans deux mondes parallèles, après, c'est un bon maître et il me caresse régulièrement. Je t'aime mon soûlard même si tu pus la vinasse. Nous devons aller au plus vite au canal, il se passe des choses graves. Prévient Fripouille.
- Allô, la brasserie, c'est fripouille ? Oui, c'est Turbo, ils faut nous rejoindre au canal de toute urgence. Je n'ai pas trop compris apparemment le Pépère à un problème avec ses alcooliques et une bande de foies jaune.
- Oui, ici la brasserie du cul roux, oui, c'est Fripouille, je préviens tout le monde.
Vite les copains, ils se passent des choses dans le champs à Coin-coin.
- Fle fle fle, vite allons y, fle fle fle, j'ai peur pour ma marre fle fle fle.
- Toc toc toc, vite ma gendarme poète est en danger, toc toc toc.
- Isidore monte sur le dos à Pêcheur, nous y allons.
- Oui Chouânne tout de suite, Elchatponne, laisse ce rôti.
- Oui, allons faire ce sauvetage.
- Toc toc toc, fle fle fle, tous au canal.

Screenshot_20190411_191305.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Sur Charnïa, Un-œil l'avait échappé belle, à une seconde près, il aurait été démasqué. Les deux fées se levèrent. Elles avaient l'apparence de Praxtor et Grégor et les Charnïens n'avaient pas et le temps de voir la supercherie. Les deux créatures qui étaient entrées dans la pyramide, avaient besoin du Dieu chat Pépère. La planète Franïadus refusait de s'allumer et les astromes virent qu'elle avait comme des soubresauts. Étant donné que s'était Pépère qui l'avait offert à Bastet, il était impératif qu'il s'assure de son bon fonctionnement. Les habitants craignaient déjà le déluge infernal de L'Érèbe sur leur planète. C'est ainsi que malgré eux les deux fées et un œil partirent en direction de la soucoupe pour prendre l'espace en direction de Franïadus. L'aurore était figée et les trois soleils étaient verts. La couleur à la surface de la planète était totalement improbable.
La soucoupe décolla devant les habitants qui attendaient avec impatience qu'une solution soit trouvée.
- Hé bien, comment allons nous faire. Tu as une idée Leïlanne.
- Bien sûr mon loulou, avec ma magie et celle de Liettuje nous allons tout remettre en règle. Ne t'inquiète pas.
Arrivés vers cette planète inconnue jusqu'au fin fond de l'univers, les voyageurs eurent la surprise de constater qu'elle était habitée par des chats. Ceux-ci étaient victimes d'une terrible attaque de chats Android venus de la planète Enarpilode. Celle-ci était aussi peuplée par des chats et était à dix années-lumières de Franïadus. Les chats de cette petite planète avaient une technologie tellement avancée, que ses ingénieurs avaient fait des chats robots pour les tâches quotidiennes de chacun. Malheureusement, le progrès a quelques fois, son anathème et les robots étaient tellement intelligents qu'ils avaient supplanté la race féline. À présent, il attaquait d'autre planète pour les coloniser. Leïlanne et Liettuje ayant compris ce qui se passait, firent acte de leur magie pour que les robots s'en aillent et ne reviennent plus jamais vers Charnïa. En quelques minutes, la planète s'éclaira et les trois soleils se mirent à briller.
- Mon loulou attend toi pour être vénéré en arrivant sur Charnïa.
- Oui Leïlanne, c'est grâce à toi.
- Pas seulement, Liettuje en a fait autant que moi.
La soucoupe reprit la direction de Charnïa et les fées étaient ravies.
Le long de la route, c'était aussi la fête. Personne n'était en état d'arrestation. La sœur fut glorifiée et revêtue d'un gilet jaune. Le brigadier n'en revenait pas de son courage à avoir affronté les Américains. Du coup plus personne n'en voulait à personne. Les véhicules des foies jaunes furent dirigés vers un grand parking qui était un peu plus haut. Le brigadier Tatouvu y mettant tout son zèle pour faire la circulation. Il en profitait pour donner des conseils aux automobilistes en se venant de sa fonction immodérément presque à la limite du prosélytisme. Il vit ,dans la file qui passait une voiture avec la cocarde République Française, mais ne s'en soucia pas plus que ça. Par contre à l'intérieur, ses occupants étaient inquiets.
- Tu as vu chéri, ce sont des foies jaunes. Qu'allons-nous faire ?
- Ne t'inquiète pas comme ça Brigitte, tu as bien vu qu'un gendarme est là et qu'il les surveille. D'ailleurs, l'homme n'a nullement d'appréhension face à cette horde de canards sans têtes. Ils n'osent même pas brûler les poubelles qui sont le long du parking. Raconte-moi encore l'histoire du petit gilet réfléchissant, Brigitte, s'il te plaît. Elle me détend, et avouons le avec grandiloquence, c'est moi qui aie l'appréhension de rencontrer le célèbre Pépère. Philippe m'a longuement parlé de lui et j'ai hâte d'écouter ses histoires.
La voiture passa la dernière devant le brigadier et la route retrouva sa fluidité coutumière. Il partit retrouver ses nouveaux amis qui avaient des dizaines de caisses de vin par voiture. La sœur et le pape trinquaient déjà à pleine bouteille et celle-ci l'invita à les rejoindre.
- Hé policier d'occasion au képi iranien fabriqué par des moines hypocondriaques, vient trinquer avec nous. Ces hommes sont là pour aller voir le Pépère et le président. Ne boude pas, tu l'auras ta médaille de la villageoise d'or, lol.
C'est ainsi que la troupe fit la fête le long de la route et repartit en emmenant les trois marcheurs en direction du canal. L'un des hommes prétendait que c'était le président de la République qui avait volé le canal pour le vendre à un émir d'Arabie Saoudite pour se faire construire un complexe aquatique dans le désert. Il affirmait qu'il avait eu l'information par un des amis du cochon jaune qui le tenait d'un docteur ès maître en biologie moléculaire.
À la brasserie, s'était toujours la fête et chacun dégustait déjà des spécialités en attendant le Pépère et Turbo.
- Toc toc toc, ces poissons sont succulents, toc toc toc, vive la brigade des poètes, toc toc toc.
- Fle fle fle, qu'est-ce que tu dis Fripouille, fle fle fle, taisez vous un peu, fle fle fle, Fripouille est au téléphone, fle fle fle.
- Oui, mon copain, c'est Fripouille à la brasserie, qu'est-ce qui se passe ? Ha, bon, je dis aux autres que tu arrives.
- Fle fle fle, que se passe-t-il, ils ont voler ma marre, fle fle fle.
- Toc toc toc, ils ont prévu de faire tomber mon bec en dépression, toc toc toc.
- Non rien de tout ça, le Pépère s'arrête cinq minutes pour répondre à une annonce de voiture, je n'ai pas tout compris.
- Avec Pépère, c'est bizarre des fois.
- Ha bon pourquoi, Elchatponne ?
- C'est dans son tempérament, Isidore, chat, chat, chat.
Le long de la route le Pépère était toujours avec le téléphone en patte et regardait l'annonce et répondit.
- Je t'ai demandé quelque chose figure de peau de dessous pied.
- Hé, Pépère, pendant que tu remplis ton ventre, juste devant moi dans le champ à Coin-coin, il y a une troupe de foies jaunes qui déambule.
- Va te faire voir soûlard, je vais m'en occuper.
- Je te ramène des croquettes, hihi.
- Tu es où salopard à l'auberge des moines ?
- À la gendarmerie, c'est ta soûlarde qui te parle. Alors comme ça, tu manges comme une fourmi. Je t'aime mon Pépère, gros bisou sur tes grosses joues.
- Tu vas voir si j'ai des grosses joues, je t'aime ma soûlarde.
- Bon, alors qu'est-ce qui se passe, Pépère ?
- Rien, je parlais à mon soûlard. Depuis un an et demi qu'il écrit mes aventures, il ne m'a presque jamais adressé la parole. Nous vivons dans deux mondes parallèles, après, c'est un bon maître et il me caresse régulièrement. Je t'aime mon soûlard même si tu pus la vinasse. Nous devons aller au plus vite au canal, il se passe des choses graves. Prévient Fripouille.
- Allô, la brasserie, c'est fripouille ? Oui, c'est Turbo, ils faut nous rejoindre au canal de toute urgence. Je n'ai pas trop compris apparemment le Pépère à un problème avec ses alcooliques et une bande de foies jaune.
- Oui, ici la brasserie du cul roux, oui, c'est Fripouille, je préviens tout le monde.
Vite les copains, ils se passent des choses dans le champs à Coin-coin.
- Fle fle fle, vite allons y, fle fle fle, j'ai peur pour ma marre fle fle fle.
- Toc toc toc, vite ma gendarme poète est en danger, toc toc toc.
- Isidore monte sur le dos à Pêcheur, nous y allons.
- Oui Chouânne tout de suite, Elchatponne, laisse ce rôti.
- Oui, allons faire ce sauvetage.
- Toc toc toc, fle fle fle, tous au canal.

Afficher la pièce jointe 22601
Daniel je viens de lire ce nouvel épisode avec une grande attention et j"attends la suite demain avec curiosité
Amicalement
Gaby