Sur Charnïa, la nuit se terminait tranquillement. Les trois soleils étaient sur le point d'accoucher de l'aurore. Leurs lumières prêtent à Inonder le sol d'une pluie de frais pétales de gemme. Franïadus à l'opposé des trois astres était aussi sur le point de naître comme chaque jour à la même heure. Ce satellite naturel de Charnïa avait la particularité de s'éclairer et de cesser de luire à heures fixes, sans qu'aucun astronome ne s'en soucie sur la planète. C'était une planète aussi vénérée que les trois soleils. Une légende racontait que Pépère l'avait fait en une seule nuit. C'était une offrande pour la douce Bastet qui était venue le visiter sur terre quand il était en train de construire l'empire Égyptien. La déesse ayant sanctifiée toutes les constructions érigées par le Pépère lui-même, était repartie dans la constellation de Céphée. Un soir, elle rendit les astres extrêmement brillants pour qu'ils parent de merveilles les cheveux de la constellation. Le Pépère qui était sur Charnïa et regardant, l'espace vit ces lumières céphéides et décida de créer Franïadus pour que celle-ci inonde de douceur la jolie déesse Bastet qui était en train de danser comme une légère ballerine sur les étoiles posées en diadème sur les cheveux de Céphée. Le Dieu Amon ayant assisté à la scène, offrit à la planète Charnïa deux soleils qu'il disposa à côté de l'unique astre des rois à l'époque. Ceci forma un triangle qui protégeait Charnïa de la lumière des ténèbres que L'Érèbe versait régulièrement à l'époque. Ceci endormit l'infernal Dieu fleuve qui ne se réveilla qu'à l'ordre du Chaos en Grèce après une terrible colère contre Nyx son épouse. Le Pépère avait enchanté Bastet et tous les enfants sur Charnïa connaissaient cette légende qui était enseignée.
Ainsi, les fées et Un-œil profitaient du calme de la nuit qui s'achevait.
D'un seul coup, quelqu'un arriva à toute vitesse. Il y avait un terrible vent d'univers qui semblait perturber la renaissance de Franïadus.
La fée Leïlanne, fort heureusement était déjà réveillé. Deux Charnïens entrèrent précipitamment et virent Un-œil sortir des draps avant d'être instantanément Pépère. La fée avait juste eu le temps d'intervenir avec sa magie. Il s'en fut à peine de deux secondes qu'ils risquèrent d'être découvert...
Le long de la nationale, pour le brigadier Tatouvu, c'était la catastrophe. Non seulement en le rasant le Pépère avait mis en guenilles son pantalon et maintenant les Américains voulaient l'arrêter et le prenait pour un extraterrestre. Le pauvre homme avait beau se justifier rien n'y faisait.
Thomas sortit de sa poche sa carte professionnelle d'huissier de justice et là montra aux agents du pentagone. Ceux-ci s'en moquaient éperdument et la scène était ubuesque.
- Écoutez, nous vous assurons cet homme est gendarme. Il est un peu étrange, c'est vrai, il boit aussi énormément, mais cela fait partie de son tempérament. De quel droit voulez-vous l'arrêter. Vous voyez bien qu'il n'est pas extraterrestre pas plus qu'il ne sait se servir de son arme de service. Et la sœur, vous remarquerez qu'elle est bien religieuse, car elle a un chapelet autour du cou.
- Merci, mon ami Thomas de prendre ma défense. Quant à l'autre caribou de Polynésie bretonne, mon ami a raison, c'est un soûlard, mais c'est bien un gendarme.
Le brigadier n'en pouvait plus que l'on parle mal de lui comme ça et devint rouge écarlate.
- Vous voyez, votre policeman est de couleur du soleil de matin. Vous mentir, vous trois extraterrestres et buveurs de l'alcool, vous êtes en arrestation d'état donnez...
Le brigadier ne laissa pas l'homme finir, il était furax de se faire insulter.
- Bon écoutez moi espèce de ketchup Coca-Cola hot-dog, vous allez me laisser tranquille maintenant. N'écoutez pas cet huissier qui n'y connaît rien, je sais tirer. Je suis un excellent tireur de vin, au fut, et même au cubitainer en plastique. Toi, espèce de vielle chèvre élever par les curés de Lourdes, tu vas voir si je suis alcoolique...
À son tour, le brigadier fut stoppé par un bruit de freinage. Une voiture s'arrêta, puis deux, puis trois, et descendirent des foies jaunes. De la première automobile sortit le pape avec son gilet. Il s'avança vers les Américains qui se demandaient qui était ce Terrien avec des cheveux rose. Il s'approcha et se mit à danser.
- Dans ma Benz, Benz, Benz...
Chouânne remontait le cœur ravi vers la brasserie du cul roux et les animaux la suivaient calmement, ils parlaient entre eux de l'exploit de Pépère.
- Toc toc toc, c'est vraiment un costaud le Pépère, toc toc toc. Il a terrassé le cochon jaune, toc toc toc.
- Fle fle fle, et il a sauvé madame poète gendarme, fle fle fle, les petits oiseaux auront encore des miettes le long du canal, fle fle fle.
- Oui, je n'en revient pas, TV chatchat parle de l'exploit de Pépère, ma siamoise vient de me le dire en message.
- C'est quand même un as ce Pépère quand je pense qu'en prison, je lui en voulais et grâce à lui, je suis devenu honnête et j'ai sauvé le père Noël.
- Moi grâce à lui, j'ai trouvé de nouveau ami, quand je pense qu'il m'avait pris pour une minette devant Atac, chat, chat, chat.
Le Pépère était près à monter dans sa petite auto quand l'un des gendarmes lui dit.
- Vous lui avez donné une bonne leçon Pépère. Pourquoi avez-vous parlé de t-rex, vous en avez déjà vu ?
- Oui parfaitement et mon coéquipier Lolo pourrait vous le dire, en forêt de Fontainebleau, j'en ai terrassé des centaines.
Voilà, j'étais parti à Paris pour récupérer mes alcooliques qui étaient partis à Disneyland. Pour l'histoire, la veille, sa comparse avait eu l'idée de faire de la soupe au potiron. Bon, ce sont eux qui étaient ronds, bref. Elle me dit Pépère, tu vas venir avec moi chercher des potirons au marché de Sancoins. Je prends le harnais que je lui demande. Oui me dit-elle, car le marché, c'est une institution. Le mercredi, les gens se garent n'importe comment alors, elle dresse des procès-verbaux. Elle s'arrange avec les contrevenants et ça finit au bistrot où elle dresse des pichets très hauts. En général, elle finit cramée. Donc nous arrivons et comme par hasard regarde les voitures mal garés devant l'auberge des moines où était déjà mon asperge transgénique poussée dans l'uranium. Il y était depuis l'ouverture et avait déjà bu trois litres de vin et mangé trente-deux crêpes au sucre. Donc, elle repère les voitures en stationnement gênant et attend les contrevenants et elle se retrouve au bar avec lui. Ils ont picolé toute la matinée. Moi pendant ce temps-là j'attendais devant la porte sous prétexte que je vole de la nourriture alors que je mange comme une fourmi. Pour finir, elle sort et me dit, allons chercher les potirons. Elle a acheté des pamplemousses. Elle était totalement cramée. On rentre directement à Mornay avec une halte au fossé en rentrant et la mise en service du harnais. Arrivé dans le gourbi de mon moine préhistorique qui se gave de messe, je m'aperçois qu'il est déjà là. Je ne sais pas comment, il a fait pour arriver avant. Quoi qu'il en soit, j'ai vu ma pauvre chalauréanne amputé d'un phare et d'une aile. Il me dit mon gentil minet, j'ai un service à te demander. Ce à quoi, j'ai répondu, laisse tomber, soûlard, je dois opérer à métal ouvert ma pauvre voiture. Là, elle se rend compte que ce n'est pas des potirons. Lui, il lui dit, attend en les plongeant dans de l'uranium enrichi en azote nucléaire ça fera des potirons. Le soir, ils avaient des potirons nucléaires. Ils ont bu deux litres de soupe chacun. Le lendemain, ils partaient vers Marnes la Vallée soit disant chez Disney. C'était une couverture pour une livraison d'arme, bref. Le résultat, ils ont fait la parade, car les saloperies chimiques les avaient transformés en Ratatouille et Plutôt.
Donc, je survolais la forêt de Fontainebleau et j'ai été appelé par la fée Chouânne. C'est ma maman fée que j'aime. Elle voulait me voir pour une mission dans l'espace. Elle a été attaquée par un clan de t-rex en titane échappé d'un jeu vidéo auquel joue ma soûlarde. Les radiations qu'elles avaient en elle à cause de la soupe nucléaire les ont fait naître du téléphone. Oui, ils s'étaient arrêtés en forêt pour un arrêt vinasse et elle a joué durant cette halte. J'ai donc terrassé les deux cents t-rex en titane qui ont attaqué ma maman fée que j'aime à coup de moustache et à coup de queue.
Ensuite, j'ai été récupéré mes deux soûlards nucléarisés, chat chat, chat.
Ainsi, les fées et Un-œil profitaient du calme de la nuit qui s'achevait.
D'un seul coup, quelqu'un arriva à toute vitesse. Il y avait un terrible vent d'univers qui semblait perturber la renaissance de Franïadus.
La fée Leïlanne, fort heureusement était déjà réveillé. Deux Charnïens entrèrent précipitamment et virent Un-œil sortir des draps avant d'être instantanément Pépère. La fée avait juste eu le temps d'intervenir avec sa magie. Il s'en fut à peine de deux secondes qu'ils risquèrent d'être découvert...
Le long de la nationale, pour le brigadier Tatouvu, c'était la catastrophe. Non seulement en le rasant le Pépère avait mis en guenilles son pantalon et maintenant les Américains voulaient l'arrêter et le prenait pour un extraterrestre. Le pauvre homme avait beau se justifier rien n'y faisait.
Thomas sortit de sa poche sa carte professionnelle d'huissier de justice et là montra aux agents du pentagone. Ceux-ci s'en moquaient éperdument et la scène était ubuesque.
- Écoutez, nous vous assurons cet homme est gendarme. Il est un peu étrange, c'est vrai, il boit aussi énormément, mais cela fait partie de son tempérament. De quel droit voulez-vous l'arrêter. Vous voyez bien qu'il n'est pas extraterrestre pas plus qu'il ne sait se servir de son arme de service. Et la sœur, vous remarquerez qu'elle est bien religieuse, car elle a un chapelet autour du cou.
- Merci, mon ami Thomas de prendre ma défense. Quant à l'autre caribou de Polynésie bretonne, mon ami a raison, c'est un soûlard, mais c'est bien un gendarme.
Le brigadier n'en pouvait plus que l'on parle mal de lui comme ça et devint rouge écarlate.
- Vous voyez, votre policeman est de couleur du soleil de matin. Vous mentir, vous trois extraterrestres et buveurs de l'alcool, vous êtes en arrestation d'état donnez...
Le brigadier ne laissa pas l'homme finir, il était furax de se faire insulter.
- Bon écoutez moi espèce de ketchup Coca-Cola hot-dog, vous allez me laisser tranquille maintenant. N'écoutez pas cet huissier qui n'y connaît rien, je sais tirer. Je suis un excellent tireur de vin, au fut, et même au cubitainer en plastique. Toi, espèce de vielle chèvre élever par les curés de Lourdes, tu vas voir si je suis alcoolique...
À son tour, le brigadier fut stoppé par un bruit de freinage. Une voiture s'arrêta, puis deux, puis trois, et descendirent des foies jaunes. De la première automobile sortit le pape avec son gilet. Il s'avança vers les Américains qui se demandaient qui était ce Terrien avec des cheveux rose. Il s'approcha et se mit à danser.
- Dans ma Benz, Benz, Benz...
Chouânne remontait le cœur ravi vers la brasserie du cul roux et les animaux la suivaient calmement, ils parlaient entre eux de l'exploit de Pépère.
- Toc toc toc, c'est vraiment un costaud le Pépère, toc toc toc. Il a terrassé le cochon jaune, toc toc toc.
- Fle fle fle, et il a sauvé madame poète gendarme, fle fle fle, les petits oiseaux auront encore des miettes le long du canal, fle fle fle.
- Oui, je n'en revient pas, TV chatchat parle de l'exploit de Pépère, ma siamoise vient de me le dire en message.
- C'est quand même un as ce Pépère quand je pense qu'en prison, je lui en voulais et grâce à lui, je suis devenu honnête et j'ai sauvé le père Noël.
- Moi grâce à lui, j'ai trouvé de nouveau ami, quand je pense qu'il m'avait pris pour une minette devant Atac, chat, chat, chat.
Le Pépère était près à monter dans sa petite auto quand l'un des gendarmes lui dit.
- Vous lui avez donné une bonne leçon Pépère. Pourquoi avez-vous parlé de t-rex, vous en avez déjà vu ?
- Oui parfaitement et mon coéquipier Lolo pourrait vous le dire, en forêt de Fontainebleau, j'en ai terrassé des centaines.
Voilà, j'étais parti à Paris pour récupérer mes alcooliques qui étaient partis à Disneyland. Pour l'histoire, la veille, sa comparse avait eu l'idée de faire de la soupe au potiron. Bon, ce sont eux qui étaient ronds, bref. Elle me dit Pépère, tu vas venir avec moi chercher des potirons au marché de Sancoins. Je prends le harnais que je lui demande. Oui me dit-elle, car le marché, c'est une institution. Le mercredi, les gens se garent n'importe comment alors, elle dresse des procès-verbaux. Elle s'arrange avec les contrevenants et ça finit au bistrot où elle dresse des pichets très hauts. En général, elle finit cramée. Donc nous arrivons et comme par hasard regarde les voitures mal garés devant l'auberge des moines où était déjà mon asperge transgénique poussée dans l'uranium. Il y était depuis l'ouverture et avait déjà bu trois litres de vin et mangé trente-deux crêpes au sucre. Donc, elle repère les voitures en stationnement gênant et attend les contrevenants et elle se retrouve au bar avec lui. Ils ont picolé toute la matinée. Moi pendant ce temps-là j'attendais devant la porte sous prétexte que je vole de la nourriture alors que je mange comme une fourmi. Pour finir, elle sort et me dit, allons chercher les potirons. Elle a acheté des pamplemousses. Elle était totalement cramée. On rentre directement à Mornay avec une halte au fossé en rentrant et la mise en service du harnais. Arrivé dans le gourbi de mon moine préhistorique qui se gave de messe, je m'aperçois qu'il est déjà là. Je ne sais pas comment, il a fait pour arriver avant. Quoi qu'il en soit, j'ai vu ma pauvre chalauréanne amputé d'un phare et d'une aile. Il me dit mon gentil minet, j'ai un service à te demander. Ce à quoi, j'ai répondu, laisse tomber, soûlard, je dois opérer à métal ouvert ma pauvre voiture. Là, elle se rend compte que ce n'est pas des potirons. Lui, il lui dit, attend en les plongeant dans de l'uranium enrichi en azote nucléaire ça fera des potirons. Le soir, ils avaient des potirons nucléaires. Ils ont bu deux litres de soupe chacun. Le lendemain, ils partaient vers Marnes la Vallée soit disant chez Disney. C'était une couverture pour une livraison d'arme, bref. Le résultat, ils ont fait la parade, car les saloperies chimiques les avaient transformés en Ratatouille et Plutôt.
Donc, je survolais la forêt de Fontainebleau et j'ai été appelé par la fée Chouânne. C'est ma maman fée que j'aime. Elle voulait me voir pour une mission dans l'espace. Elle a été attaquée par un clan de t-rex en titane échappé d'un jeu vidéo auquel joue ma soûlarde. Les radiations qu'elles avaient en elle à cause de la soupe nucléaire les ont fait naître du téléphone. Oui, ils s'étaient arrêtés en forêt pour un arrêt vinasse et elle a joué durant cette halte. J'ai donc terrassé les deux cents t-rex en titane qui ont attaqué ma maman fée que j'aime à coup de moustache et à coup de queue.
Ensuite, j'ai été récupéré mes deux soûlards nucléarisés, chat chat, chat.
