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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Dans la pyramide, Un-œil, Leïlanne et Liettuje reprirent leur apparence normales. Il n'y avait aucun risque, car la pyramide était close et personne ne pouvait les apercevoir.
Un-œil était le plus heureux des chats, il faisait le Pépère aussi bien que s'il l'eut été en ce lieu.
Les fées étaient fières de son travail.
- Tu as parfaitement joué ton rôle mon loulou, Leïlanne et moi-même sommes fières de toi. Demain, tu vas finir de construire la centrale électrique. Ensuite, nous dirons repartir vers Franïadus pour voir ce qui se passe au niveau des perturbations sur cette planète. Mais nous prétexterons y aller seuls pour observer le phénomène et te le rapporter. Ainsi, les habitants ne verront partir que Praxtor et Grégor, cela les mettra en confiance. Bien entendu, tu seras avec nous, mais nous laisserons un hologramme à ta place qui te substituera mon loulou. Une fois dans l'espace, nous récupérons notre soucoupe et nous repartirons en direction la Terre. Les deux Charnïens reviendront à eux au bout de deux jours et ton hologramme disparaîtra aussi. Les deux créatures penserons être toujours au moment où nous les avons endormies.
- C'est un plan astucieux, mais avec la nouvelle centrale, ils pourront communiquer et vite revenir vers la Terre, qu'en penses-tu, toi, Leïlanne.
- Écoute mon loulou, Liettuje ne t'a pas préciser que la centrale tombera en panne quelques heures après que les Charnïens soient revenus sur leur planète. Nous durant deux jours, avant que tout se découvre allons faire en sorte que les habitants ne puissent plus revenir vers la Terre pendant un très long moment. Voilà mon doudou, tu sais tout ce que nous allons faire, reposons nous à présent.
Une superbe couche était en évidence avec un dais cousu d'or. C'était le lit du dieu chat. Les deux serviteurs avaient aussi deux lits extrêmement moelleux à côté du chat dieu. Les habitants avaient pensé à tout, du moins c'est ce qu'ils croyaient.
À Mornay, les Américains étaient partis vers la nationale et se dépechèrent, car ils étaient persuadés de trouver la soucoupe dans les bois.
Momo vit passer la jeep alors qu'il était devant la porte. Il n'en revenait pas de la vitesse à laquelle elle roulait.
- Diantre, qu'est-ce donc que ces fous qui cherchent à nous mutiler de la queue ou d'une patte, en passant ainsi comme des coureurs automobiles. Je subodore, que ce soient des complices au Pépère et qu'il eut fait un sale tour dans les environs et qu'ils soient partis lui porter assistance. Hé bien, que je pensais que le calme fut revenu, je m'étais égaré, c'est certain maintenant. Bon, que fait ma maîtresse, morbleu, c'est agaçant, Mimine à besoin de mon secours pour être rassurée. Qu'ils repassent et ils auront à faire à Momo ces olibrius, chat, chat, chat.
La jeep fonçait vers le bois et le long de la route le brigadier Tatouvu était en train de se disputer avec les automobilistes qui s'étaient arrêtés derrière le poète avant qu'il ne reparte à toute vitesse.
L'homme qui conduisait la jeep avait l'ordre d'ouvrir la route. Il doubla la file et le brigadier le voyant arrivé se poussa sur l'herbe. L'homme descendit de la jeep et ordonna aux automobilistes de dégager la route au plus vite.
- Police fédérale, dégagez la route, vous n'êtes plus limités en vitesse, quick, quick, partez de l'endroit.
Les gens ravis d'être libérés partirent à toute allure, surtout que l'homme avait dit qu'il n'y avait plus de limitation.
Le brigadier n'était pas bien content et râlait tout seul dans son coin quand le véhicule où ils y avaient les hommes arriva. Leur chef avait un détecteur et pour lui, c'était évident, les trois personnes étaient des extraterrestres.
Les Charnïens en leur volant la voiture les avaient aspergés d'un réactif pour qu'ils émettent des radiations extraterrestre.
- Vous suivez nous, dites nous où vous avez posé votre soucoupe vous êtes des Martiens.
Le brigadier n'était pas très content de se faire traiter ainsi et il sauta à la gorge de l'homme.
- Écoute espèce de chewing-gum décoloré au ketchup Macdonald, je vais te faire manger tes frites et te nettoyer les oreilles avec la saucisse de ton hot-dog. Non mais tu sais qui tu as devant toi, l'un des plus grands gendarmes de France, qu'est-ce que je dis comme bêtise, le meilleur gendarme de France plutôt c'est bien différent. Tu ferais mieux d'arrêter ce salopard de capot blanc et son chat qui a essayé de m'écraser. Tu parles d'une histoire pour un gendarme, se faire écraser par un chat dans un conte fantastique pour enfants et adultes, bref.
Sœur Mathilde était énervée après le brigadier, elle se disait que ça allait mal tourner par sa faute, le regardant méchamment et lui dit.
- Hé pinard camembert, tu vas fermer ton sifflet de gendarme alcoolique, nous allons nous faire arrêter par ta faute. Espèce de soûlard d'occasion élevé au pinard des magasins u.
Plus haut vers le rond-point Pépère était toujours en train de régler le problème du cochon jaune, téléphone en poche, haut parleur ouvert.
Le long du canal, Coin-coin appela Fripouille et Elchatponne qu'ils les rejoignent proche de Pêcheur, Isidore et Chouânne.
Ils arrivent très vite et il leur expliqua le problème.
- Fle fle fle, l'heure est grave, le Pépère secourt actuellement madame gendarme poète, fle fle fle.
- Toc toc toc, Isidore est en ligne avec Pépère, toc toc toc, il va vous expliquer ce qui se passe.
- Oui les amis, j'ai Pépère en ligne et il a mis le haut-parleur, écoutons ce sauvetage.
- C'est bien ce que tu fais mon Lolou, dit Chouânne.
- Oui, taisons-nous pour écouter, Isidore.
Et ils se retrouvèrent comme s'ils étaient à côté du Pépère.
- Hé bien madame le camionneur, venez et je vous terrasserai comme j'ai déjà terrassé des milliers de t-rex.
- Toi tu ne me fais pas peur avec tes Nike pourries et ton gros ventre, viens mon Enrich que je te console, mon pauvre garçon, mon petit-enfant, mon petit bébé si mignon.
L'un des gendarmes prit la parole et interpella la femme.
- Bon, la mère, Drurërette, vous allez baisser d'un ton, je vous verbalise.
- Fuck, la police, ton verbe à lit d'action, je m'en fous, tu n'as pas de motif.
- Hé bien, si, je vous verbalise pour le fait d'avoir mis au monde une telle monstruosité.
Le Pépère en avait assez entendu et avec sa magie fit en sorte que ses assaillants aient des hallucinations. C'est ainsi qu'Enrich Drulër et sa mère virent un terrifiant t-rex en titane. La réaction fut immédiate et ils remontèrent dans le camion qui repartit. Dans la cabine, on entendit la mère dire à son fils.
- Mon Enrich appelle Maurine Lapeine et Merdenchon, on va porter plainte.
Le Pépère était heureux et une femme gendarmes vint le remercier, de l'autre côté du téléphone au bord du canal, c'était l'explosion de joie.
- Toc toc toc, c'est un héros le Pépère, toc toc toc.
- Fle fle fle, madame poète gendarme est saine et sauvé, fle fle fle, je l'ai écouté, fle fle fle, vive Pépère.
- Mon tigrou a été génial, bravo.
- Elchatponne, Fripouille et Isidore s'écrièrent en cœur.
Vive Pépère, est un héros, vive notre copain...
Toc toc toc, ouiii
Fle fle fle, hourra.





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Cortisone

Maître Poète
#2
Dans la pyramide, Un-œil, Leïlanne et Liettuje reprirent leur apparence normales. Il n'y avait aucun risque, car la pyramide était close et personne ne pouvait les apercevoir.
Un-œil était le plus heureux des chats, il faisait le Pépère aussi bien que s'il l'eut été en ce lieu.
Les fées étaient fières de son travail.
- Tu as parfaitement joué ton rôle mon loulou, Leïlanne et moi-même sommes fières de toi. Demain, tu vas finir de construire la centrale électrique. Ensuite, nous dirons repartir vers Franïadus pour voir ce qui se passe au niveau des perturbations sur cette planète. Mais nous prétexterons y aller seuls pour observer le phénomène et te le rapporter. Ainsi, les habitants ne verront partir que Praxtor et Grégor, cela les mettra en confiance. Bien entendu, tu seras avec nous, mais nous laisserons un hologramme à ta place qui te substituera mon loulou. Une fois dans l'espace, nous récupérons notre soucoupe et nous repartirons en direction la Terre. Les deux Charnïens reviendront à eux au bout de deux jours et ton hologramme disparaîtra aussi. Les deux créatures penserons être toujours au moment où nous les avons endormies.
- C'est un plan astucieux, mais avec la nouvelle centrale, ils pourront communiquer et vite revenir vers la Terre, qu'en penses-tu, toi, Leïlanne.
- Écoute mon loulou, Liettuje ne t'a pas préciser que la centrale tombera en panne quelques heures après que les Charnïens soient revenus sur leur planète. Nous durant deux jours, avant que tout se découvre allons faire en sorte que les habitants ne puissent plus revenir vers la Terre pendant un très long moment. Voilà mon doudou, tu sais tout ce que nous allons faire, reposons nous à présent.
Une superbe couche était en évidence avec un dais cousu d'or. C'était le lit du dieu chat. Les deux serviteurs avaient aussi deux lits extrêmement moelleux à côté du chat dieu. Les habitants avaient pensé à tout, du moins c'est ce qu'ils croyaient.
À Mornay, les Américains étaient partis vers la nationale et se dépechèrent, car ils étaient persuadés de trouver la soucoupe dans les bois.
Momo vit passer la jeep alors qu'il était devant la porte. Il n'en revenait pas de la vitesse à laquelle elle roulait.
- Diantre, qu'est-ce donc que ces fous qui cherchent à nous mutiler de la queue ou d'une patte, en passant ainsi comme des coureurs automobiles. Je subodore, que ce soient des complices au Pépère et qu'il eut fait un sale tour dans les environs et qu'ils soient partis lui porter assistance. Hé bien, que je pensais que le calme fut revenu, je m'étais égaré, c'est certain maintenant. Bon, que fait ma maîtresse, morbleu, c'est agaçant, Mimine à besoin de mon secours pour être rassurée. Qu'ils repassent et ils auront à faire à Momo ces olibrius, chat, chat, chat.
La jeep fonçait vers le bois et le long de la route le brigadier Tatouvu était en train de se disputer avec les automobilistes qui s'étaient arrêtés derrière le poète avant qu'il ne reparte à toute vitesse.
L'homme qui conduisait la jeep avait l'ordre d'ouvrir la route. Il doubla la file et le brigadier le voyant arrivé se poussa sur l'herbe. L'homme descendit de la jeep et ordonna aux automobilistes de dégager la route au plus vite.
- Police fédérale, dégagez la route, vous n'êtes plus limités en vitesse, quick, quick, partez de l'endroit.
Les gens ravis d'être libérés partirent à toute allure, surtout que l'homme avait dit qu'il n'y avait plus de limitation.
Le brigadier n'était pas bien content et râlait tout seul dans son coin quand le véhicule où ils y avaient les hommes arriva. Leur chef avait un détecteur et pour lui, c'était évident, les trois personnes étaient des extraterrestres.
Les Charnïens en leur volant la voiture les avaient aspergés d'un réactif pour qu'ils émettent des radiations extraterrestre.
- Vous suivez nous, dites nous où vous avez posé votre soucoupe vous êtes des Martiens.
Le brigadier n'était pas très content de se faire traiter ainsi et il sauta à la gorge de l'homme.
- Écoute espèce de chewing-gum décoloré au ketchup Macdonald, je vais te faire manger tes frites et te nettoyer les oreilles avec la saucisse de ton hot-dog. Non mais tu sais qui tu as devant toi, l'un des plus grands gendarmes de France, qu'est-ce que je dis comme bêtise, le meilleur gendarme de France plutôt c'est bien différent. Tu ferais mieux d'arrêter ce salopard de capot blanc et son chat qui a essayé de m'écraser. Tu parles d'une histoire pour un gendarme, se faire écraser par un chat dans un conte fantastique pour enfants et adultes, bref.
Sœur Mathilde était énervée après le brigadier, elle se disait que ça allait mal tourner par sa faute, le regardant méchamment et lui dit.
- Hé pinard camembert, tu vas fermer ton sifflet de gendarme alcoolique, nous allons nous faire arrêter par ta faute. Espèce de soûlard d'occasion élevé au pinard des magasins u.
Plus haut vers le rond-point Pépère était toujours en train de régler le problème du cochon jaune, téléphone en poche, haut parleur ouvert.
Le long du canal, Coin-coin appela Fripouille et Elchatponne qu'ils les rejoignent proche de Pêcheur, Isidore et Chouânne.
Ils arrivent très vite et il leur expliqua le problème.
- Fle fle fle, l'heure est grave, le Pépère secourt actuellement madame gendarme poète, fle fle fle.
- Toc toc toc, Isidore est en ligne avec Pépère, toc toc toc, il va vous expliquer ce qui se passe.
- Oui les amis, j'ai Pépère en ligne et il a mis le haut-parleur, écoutons ce sauvetage.
- C'est bien ce que tu fais mon Lolou, dit Chouânne.
- Oui, taisons-nous pour écouter, Isidore.
Et ils se retrouvèrent comme s'ils étaient à côté du Pépère.
- Hé bien madame le camionneur, venez et je vous terrasserai comme j'ai déjà terrassé des milliers de t-rex.
- Toi tu ne me fais pas peur avec tes Nike pourries et ton gros ventre, viens mon Enrich que je te console, mon pauvre garçon, mon petit-enfant, mon petit bébé si mignon.
L'un des gendarmes prit la parole et interpella la femme.
- Bon, la mère, Drurërette, vous allez baisser d'un ton, je vous verbalise.
- Fuck, la police, ton verbe à lit d'action, je m'en fous, tu n'as pas de motif.
- Hé bien, si, je vous verbalise pour le fait d'avoir mis au monde une telle monstruosité.
Le Pépère en avait assez entendu et avec sa magie fit en sorte que ses assaillants aient des hallucinations. C'est ainsi qu'Enrich Drulër et sa mère virent un terrifiant t-rex en titane. La réaction fut immédiate et ils remontèrent dans le camion qui repartit. Dans la cabine, on entendit la mère dire à son fils.
- Mon Enrich appelle Maurine Lapeine et Merdenchon, on va porter plainte.
Le Pépère était heureux et une femme gendarmes vint le remercier, de l'autre côté du téléphone au bord du canal, c'était l'explosion de joie.
- Toc toc toc, c'est un héros le Pépère, toc toc toc.
- Fle fle fle, madame poète gendarme est saine et sauvé, fle fle fle, je l'ai écouté, fle fle fle, vive Pépère.
- Mon tigrou a été génial, bravo.
- Elchatponne, Fripouille et Isidore s'écrièrent en cœur.
Vive Pépère, est un héros, vive notre copain...
Toc toc toc, ouiii
Fle fle fle, hourra.





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Désolée Daniel, je finirai de lire demain
Amicalement
Gaby