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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le poète qui était parti vers Sancoins ne comprenait plus rien. Il avait pourtant demandé au brigadier de l'attendre à l'entrée de la ville. Il venait de le croiser et il lui avait semblé que l'homme était plutôt rouge de visage, comme la sœur. Il lui semblait avoir aperçu, assis à l'arrière, le Pape et une autre personne. Tant pis se dit-il, tant que j'y suis, je finis la route jusqu'à Sancoins et je vais aller boire un café et manger un bout par là. Il continua donc sa route par le contournement de la ville et repensait à la grosse tête à Pépère. Il était presque sûr de l'avoir vu le long de la route à côté du stop. Puis, il repensa à l'événement d'avant et se disait qu'il avait dû s'arrêter et rêver de cette situation improbable.
Le long du canal, Fripouille était avec Elchatponne et un œil devant l'estrade. Ils ne comprenaient pas ce qui s'était passé et virent que le canal était totalement vide. Ils regardaient les répétitions quand l'incident arriva et un des hommes qui préparait les barbecues leur avait donné des restes de poulet pour les remercier d'avoir réparé l'estrade. Ils avaient bien entendu, ho la soucoupe, le canal se vide ! Que font-ils ? Puis relevant le nez de la gamelle, ils constatèrent la désolation. Du coup, les gens qui préparaient le barbecue, s'étaient arrêtés et regardaient cette fosse béante tarie entièrement. Chacun se demandait comment cela était possible. Sur l'autre berge, Chouânne savait de quoi, il en retournait et elle était inquiète pour les chats. Leïlanne, venait de l'entretenir de la conversation qu'elle avait écouté par télépathe dans la soucoupe des Charnïens. Chacune des fées devait rester sur ses gardes. Le barbecue et la décoration de Pépère étaient compromis pour le soir venant. Déjà, que la sœur qui était partie chercher les victuailles ne revenait pas et maintenant cette catastrophe. En plus, il fallait préparer une table à la brasserie du cul roux pour Monsieur le président de la République et le Premier ministre qui l'accompagnait. Un espace Renault emmènerait des amis à Pépère un peu plus tard. Parmi ceux-ci, Nicolas et le Doc et certainement Carla qui avait promis de visiter Mike dont elle était fan de sa chaîne YouTube et désirait faire un duo avec lui.
Pendant ce temps, sœur Mathilde finissait sa route et arrivait vers la cour du poète. Les Américains avaient fini de monter l'antenne et sous un auvent trois hommes faisaient les raccordements électriques. Derrière la fenêtre de la maison de la maman du poète, le pauvre Momo était revenu, pour contempler le désastre. Il ne savait plus quoi dire à Bouillette de son état de désolation, lui qui aimait tant le calme.
- Arrête-toi ici, l'hirondelle du Vatican au bec d'occasion. C'est là que nous allons, tu ne vois donc pas l'antenne de l'homme au capot blanc qui m'a demandé d'urgence tout à l'heure.
- Écoute moi espèce de vieux ragondin addicte au smartphone plein de saloperies, comment veux-tu que je sache que c'est ici. Tu aurais mieux fait d'aller sur mon Dropbox récupérer mon pauvre Johnny qui s'est retrouvé probablement écrasé sous une roue de camion.
La sœur arrêta la voiture et le brigadier en descendit de mauvaise humeur à cause de ses réflexions. Les hommes sous l'auvent le regardaient bizarrement.
Le poète arriva au rond-point qui menait vers le canal. Il dut s'arrêter, car la gendarmerie barrait la route. Il pensa à un accident de la circulation dans la rue plus bas. Il en profita pour appeler son amoureuse et tomba sur le répondeur. Il lui laissa un message en essayant brièvement de lui expliquer ce dont il était arrivé. Elle le rappela dans la minute qui suivit, il finit son explication plus profondément et conclu par dire ; c'est quand même bizarre que je vois la grosse tête du Pépère partout. Il lui dit s'être arrêté déjà depuis dix minutes sur la nationale et qu'il allait demander aux gendarmes ce qui se passait.
- Je mets le téléphone dans la poche, reste en ligne chérie.
Il partit vers les gendarmes et leur demanda si la route serait libérée prochainement.
- Écoutez monsieur, nous allons remettre en route la circulation, car nous n'avons pas encore trouvé de responsable aux phénomènes qui viennent d'avoir lieu un peu plus bas. Remontez dans votre voiture ça ne sera pas long.
- Un événement plus bas, mais de quoi en retourne-t-il au fait.
- Nous ne savons pas trop la raison, mais une personne venue de l'espace a bu l'eau du canal et il est totalement tari.
L'homme repartit vers sa voiture en sortant le téléphone de sa poche et une fois assis dans la voiture lui dit.
- Oui chérie, je ne comprends pas, les gendarmes me disent qu'un être venu du ciel a bu toute l'eau du canal. C'est totalement incompréhensible. Dans le rétroviseur, j'ai encore vu la grosse tête du Pépère.
- Si chéri, au contraire, c'est très clair, tu habites vraiment dans une région d'alcooliques.
Quelques voitures plus en avant le long de la route le Pépère s'était arrêté et regardait ce qui se passait. Il n'avait pas pensé que l'homme pouvait le voir dans son rétro. Il tapait de la patte, car il était pressé que Coin-coin retrouve sa marre.
- Qu'est qu'il fabrique mon squelette d'arbre végétarien nourri au protoxyde d'azote, il doit bloquer la route, ce n'est pas possible.
- Toc toc toc, c'est bizarre, il y a un drôle de bruit, toc toc toc, qu'est-ce que c'est, toc toc toc.
- Fle fle fle, ça ressemble au clapotis de ma marre, fle fle fle, j'ai l'impression d'y être.
- Mais non les amis, c'est Pépère qui tape de la patte et il a les deux Nike dans une marre d'eau et ça fait ce bruit d'eau secouée. Bon, Pépère, tu penses que ça va être long.
- Écoute Turbo, je n'en sais rien. Tiens, c'est marrant ton histoire d'eau secouée, ça me fait penser à une aventure qui est arrivée à mon pygmée Argentin bourré de trichloréthylène. Une fois, il a imité le bruit de l'eau brassée pendant une semaine et faisait ses besoins par l'oreille.
- Toc toc toc, ses besoins par l'oreille, toc toc toc, comment, c'est possible, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est encore une histoire de ma mare, fle fle fle.
- Non sûrement, pas, Coin-coin, mais Pépère va nous le dire.
- Oui turbo écoute l'histoire de mon soûlard Afghanistan débroussailleur de coton du Sahara et sa gourmandise de la tarte à la courgette nucléaire. Je vous ai dit, faire pour lui des citrouilles avec des graines imbibées de thorium et bien, il trouve ça tellement bon qu'il a décidé de faire de la courgette de la même manière. Bon, je vous passe le labourage, l'arrosage et la cueillette sous les fameux, vas-y Pépère, vas-y Pépère, tu auras les bonnes croquettes du commissariat, bref. Donc, un soir, il décide de manger de la tarte à la courgette. Ne sachant que la recette du pain à la vinasse arrosé de rhum, il s'en va demander à sa soûlarde qui se propose de lui préparer dans son gourbi. Oui, mon brontosaure édenté de l'artère du foie du milieu à une cuisinière à côté pour ses orgies alimentaires, bref. Donc, elle vient dans son capharnaüm avec les fameuses courgettes nucléaires de la dernière saison. Elle les fait cuire pendant que lui buvait de la vinasse. Il s'endort à côté de la cuisinière et se réveille et elle lui dit, les courgettes sont cuites. Lui, il ne réfléchit pas et en prend une pleine cuillère dans sa bouche. Le résultat a été qu'il a fallu l'emmener aux urgences et moi, j'ai été avec mon ami le harnais les récupérer. Oui, pendant qu'on le soignait, elle se remontait le moral avec de la vinasse et la Dacia à fini sur le toit, bref. Donc, ils lui ont cousu la bouche pour le temps de la cicatrisation. Il avait la bouche brûlée au deuxième degré.
- Toc toc toc, ça n'existe pas à ce point-là, toc toc toc, ça fait beaucoup.
- Fle fle fle, quel rapport avec ma marre, fle fle fle.
- Oui, c'est étrange au dixième degré.
- non, non, pas du tout les amis les alcooliques ne sentent pas la douleur avant le dixième degré. Donc, bouche cousue et au lit en arrivant. Il lui écrit dans la nuit avoir soif. Elle lui répond de boire par le nez. Bien chérie, qu'il lui dit, mais, j'en mets plein le lit. Prends un entonnoir qu'elle lui répond. Moi, je suis parti le lendemain pour aller chercher un camion qu'il devait récupérer à Paris. Je reviens deux jours plus tard et il me parlait par gestes en dodelinant de la tête. Ça faisait, floc, floc, floc, d'une façon hors du commun. Puis, je le vois faire pipi par l'oreille, c'était rouge comme de la vinasse.
- Toc toc toc, c'est une drôle de bizarrerie, toc toc toc,
- fle fle fle, floc floc floc, comme ma marre, fle fle fle.
- Oui, c'est étrange ce qu'il avait ?
- Hé bien, voilà, il a essayé de boire par le nez. Malheureusement, l'entonnoir ne pouvait par rentrer, car il avait une dent qui lui avait poussé dans le nez. Oui, c'est à cause des réactions nucléaires du thorium dans la courgette.
- Toc toc toc, une dent dans le nez, toc toc toc, c'est comme un bec sur le dos d'un héron, toc toc toc.
- Fle fle fle, quel rapport avec l'oreille, fle fle fle.
- Oui, c'est bizarre mon copain quand même.
- Hé bien, non, pas du tout, vu que le nez était bouché par la dent et lui laissait juste la possibilité de respirer, il s'est mis l'entonnoir dans l'oreille et a bu par celle-ci. Le problème, c'est que son cerveau baignait dans la vinasse, d'où le floc floc floc. Son cerveau était heureux, car il était immédiatement en contact de l'alcool. Voilà mes amis l'histoire qu'elle est vraie réelle et authentiquement pas fausse et avérée médicalement.
- Toc toc toc, floc floc floc.
- Fle fle fle, floc floc floc.
- Chat, chat, chat, chat...


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Cortisone

Maître Poète
#2
Le poète qui était parti vers Sancoins ne comprenait plus rien. Il avait pourtant demandé au brigadier de l'attendre à l'entrée de la ville. Il venait de le croiser et il lui avait semblé que l'homme était plutôt rouge de visage, comme la sœur. Il lui semblait avoir aperçu, assis à l'arrière, le Pape et une autre personne. Tant pis se dit-il, tant que j'y suis, je finis la route jusqu'à Sancoins et je vais aller boire un café et manger un bout par là. Il continua donc sa route par le contournement de la ville et repensait à la grosse tête à Pépère. Il était presque sûr de l'avoir vu le long de la route à côté du stop. Puis, il repensa à l'événement d'avant et se disait qu'il avait dû s'arrêter et rêver de cette situation improbable.
Le long du canal, Fripouille était avec Elchatponne et un œil devant l'estrade. Ils ne comprenaient pas ce qui s'était passé et virent que le canal était totalement vide. Ils regardaient les répétitions quand l'incident arriva et un des hommes qui préparait les barbecues leur avait donné des restes de poulet pour les remercier d'avoir réparé l'estrade. Ils avaient bien entendu, ho la soucoupe, le canal se vide ! Que font-ils ? Puis relevant le nez de la gamelle, ils constatèrent la désolation. Du coup, les gens qui préparaient le barbecue, s'étaient arrêtés et regardaient cette fosse béante tarie entièrement. Chacun se demandait comment cela était possible. Sur l'autre berge, Chouânne savait de quoi, il en retournait et elle était inquiète pour les chats. Leïlanne, venait de l'entretenir de la conversation qu'elle avait écouté par télépathe dans la soucoupe des Charnïens. Chacune des fées devait rester sur ses gardes. Le barbecue et la décoration de Pépère étaient compromis pour le soir venant. Déjà, que la sœur qui était partie chercher les victuailles ne revenait pas et maintenant cette catastrophe. En plus, il fallait préparer une table à la brasserie du cul roux pour Monsieur le président de la République et le Premier ministre qui l'accompagnait. Un espace Renault emmènerait des amis à Pépère un peu plus tard. Parmi ceux-ci, Nicolas et le Doc et certainement Carla qui avait promis de visiter Mike dont elle était fan de sa chaîne YouTube et désirait faire un duo avec lui.
Pendant ce temps, sœur Mathilde finissait sa route et arrivait vers la cour du poète. Les Américains avaient fini de monter l'antenne et sous un auvent trois hommes faisaient les raccordements électriques. Derrière la fenêtre de la maison de la maman du poète, le pauvre Momo était revenu, pour contempler le désastre. Il ne savait plus quoi dire à Bouillette de son état de désolation, lui qui aimait tant le calme.
- Arrête-toi ici, l'hirondelle du Vatican au bec d'occasion. C'est là que nous allons, tu ne vois donc pas l'antenne de l'homme au capot blanc qui m'a demandé d'urgence tout à l'heure.
- Écoute moi espèce de vieux ragondin addicte au smartphone plein de saloperies, comment veux-tu que je sache que c'est ici. Tu aurais mieux fait d'aller sur mon Dropbox récupérer mon pauvre Johnny qui s'est retrouvé probablement écrasé sous une roue de camion.
La sœur arrêta la voiture et le brigadier en descendit de mauvaise humeur à cause de ses réflexions. Les hommes sous l'auvent le regardaient bizarrement.
Le poète arriva au rond-point qui menait vers le canal. Il dut s'arrêter, car la gendarmerie barrait la route. Il pensa à un accident de la circulation dans la rue plus bas. Il en profita pour appeler son amoureuse et tomba sur le répondeur. Il lui laissa un message en essayant brièvement de lui expliquer ce dont il était arrivé. Elle le rappela dans la minute qui suivit, il finit son explication plus profondément et conclu par dire ; c'est quand même bizarre que je vois la grosse tête du Pépère partout. Il lui dit s'être arrêté déjà depuis dix minutes sur la nationale et qu'il allait demander aux gendarmes ce qui se passait.
- Je mets le téléphone dans la poche, reste en ligne chérie.
Il partit vers les gendarmes et leur demanda si la route serait libérée prochainement.
- Écoutez monsieur, nous allons remettre en route la circulation, car nous n'avons pas encore trouvé de responsable aux phénomènes qui viennent d'avoir lieu un peu plus bas. Remontez dans votre voiture ça ne sera pas long.
- Un événement plus bas, mais de quoi en retourne-t-il au fait.
- Nous ne savons pas trop la raison, mais une personne venue de l'espace a bu l'eau du canal et il est totalement tari.
L'homme repartit vers sa voiture en sortant le téléphone de sa poche et une fois assis dans la voiture lui dit.
- Oui chérie, je ne comprends pas, les gendarmes me disent qu'un être venu du ciel a bu toute l'eau du canal. C'est totalement incompréhensible. Dans le rétroviseur, j'ai encore vu la grosse tête du Pépère.
- Si chéri, au contraire, c'est très clair, tu habites vraiment dans une région d'alcooliques.
Quelques voitures plus en avant le long de la route le Pépère s'était arrêté et regardait ce qui se passait. Il n'avait pas pensé que l'homme pouvait le voir dans son rétro. Il tapait de la patte, car il était pressé que Coin-coin retrouve sa marre.
- Qu'est qu'il fabrique mon squelette d'arbre végétarien nourri au protoxyde d'azote, il doit bloquer la route, ce n'est pas possible.
- Toc toc toc, c'est bizarre, il y a un drôle de bruit, toc toc toc, qu'est-ce que c'est, toc toc toc.
- Fle fle fle, ça ressemble au clapotis de ma marre, fle fle fle, j'ai l'impression d'y être.
- Mais non les amis, c'est Pépère qui tape de la patte et il a les deux Nike dans une marre d'eau et ça fait ce bruit d'eau secouée. Bon, Pépère, tu penses que ça va être long.
- Écoute Turbo, je n'en sais rien. Tiens, c'est marrant ton histoire d'eau secouée, ça me fait penser à une aventure qui est arrivée à mon pygmée Argentin bourré de trichloréthylène. Une fois, il a imité le bruit de l'eau brassée pendant une semaine et faisait ses besoins par l'oreille.
- Toc toc toc, ses besoins par l'oreille, toc toc toc, comment, c'est possible, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est encore une histoire de ma mare, fle fle fle.
- Non sûrement, pas, Coin-coin, mais Pépère va nous le dire.
- Oui turbo écoute l'histoire de mon soûlard Afghanistan débroussailleur de coton du Sahara et sa gourmandise de la tarte à la courgette nucléaire. Je vous ai dit, faire pour lui des citrouilles avec des graines imbibées de thorium et bien, il trouve ça tellement bon qu'il a décidé de faire de la courgette de la même manière. Bon, je vous passe le labourage, l'arrosage et la cueillette sous les fameux, vas-y Pépère, vas-y Pépère, tu auras les bonnes croquettes du commissariat, bref. Donc, un soir, il décide de manger de la tarte à la courgette. Ne sachant que la recette du pain à la vinasse arrosé de rhum, il s'en va demander à sa soûlarde qui se propose de lui préparer dans son gourbi. Oui, mon brontosaure édenté de l'artère du foie du milieu à une cuisinière à côté pour ses orgies alimentaires, bref. Donc, elle vient dans son capharnaüm avec les fameuses courgettes nucléaires de la dernière saison. Elle les fait cuire pendant que lui buvait de la vinasse. Il s'endort à côté de la cuisinière et se réveille et elle lui dit, les courgettes sont cuites. Lui, il ne réfléchit pas et en prend une pleine cuillère dans sa bouche. Le résultat a été qu'il a fallu l'emmener aux urgences et moi, j'ai été avec mon ami le harnais les récupérer. Oui, pendant qu'on le soignait, elle se remontait le moral avec de la vinasse et la Dacia à fini sur le toit, bref. Donc, ils lui ont cousu la bouche pour le temps de la cicatrisation. Il avait la bouche brûlée au deuxième degré.
- Toc toc toc, ça n'existe pas à ce point-là, toc toc toc, ça fait beaucoup.
- Fle fle fle, quel rapport avec ma marre, fle fle fle.
- Oui, c'est étrange au dixième degré.
- non, non, pas du tout les amis les alcooliques ne sentent pas la douleur avant le dixième degré. Donc, bouche cousue et au lit en arrivant. Il lui écrit dans la nuit avoir soif. Elle lui répond de boire par le nez. Bien chérie, qu'il lui dit, mais, j'en mets plein le lit. Prends un entonnoir qu'elle lui répond. Moi, je suis parti le lendemain pour aller chercher un camion qu'il devait récupérer à Paris. Je reviens deux jours plus tard et il me parlait par gestes en dodelinant de la tête. Ça faisait, floc, floc, floc, d'une façon hors du commun. Puis, je le vois faire pipi par l'oreille, c'était rouge comme de la vinasse.
- Toc toc toc, c'est une drôle de bizarrerie, toc toc toc,
- fle fle fle, floc floc floc, comme ma marre, fle fle fle.
- Oui, c'est étrange ce qu'il avait ?
- Hé bien, voilà, il a essayé de boire par le nez. Malheureusement, l'entonnoir ne pouvait par rentrer, car il avait une dent qui lui avait poussé dans le nez. Oui, c'est à cause des réactions nucléaires du thorium dans la courgette.
- Toc toc toc, une dent dans le nez, toc toc toc, c'est comme un bec sur le dos d'un héron, toc toc toc.
- Fle fle fle, quel rapport avec l'oreille, fle fle fle.
- Oui, c'est bizarre mon copain quand même.
- Hé bien, non, pas du tout, vu que le nez était bouché par la dent et lui laissait juste la possibilité de respirer, il s'est mis l'entonnoir dans l'oreille et a bu par celle-ci. Le problème, c'est que son cerveau baignait dans la vinasse, d'où le floc floc floc. Son cerveau était heureux, car il était immédiatement en contact de l'alcool. Voilà mes amis l'histoire qu'elle est vraie réelle et authentiquement pas fausse et avérée médicalement.
- Toc toc toc, floc floc floc.
- Fle fle fle, floc floc floc.
- Chat, chat, chat, chat...


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Encore de nouvelle aventures inouïes. .
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby