Dans le champ en face du poète, les Américains avaient été surpris par les cris de la jument. Leurs radars avaient enregistré une activité suspecte comme si un appareil était passé au ras de leurs tentes. Ils ne comprenaient pas d'où venaient tous ces phénomènes. Ils avaient toujours l'écho d'une onde radio et ils soupçonnaient qu'un robot était non loin d'eux. Ils eurent des doutes sur eux même et chaque homme fut inspecté. Ils tentèrent à nouveau de faire fonctionner l'antenne qu'ils avaient monté, mais le résultat était toujours négatif. Ils ne savaient plus comment faire et appelèrent le pentagone qui leur disait de continuer de surveiller les phénomènes extraterrestres.
Devant le chalet la petite chatte robot, Ainos, dormait toujours. Devant elle, le Pépère était en train de l'admirer. Il avait envoyé ses amis au fond du terrain sous prétexte de surveillance de son maître. Il prit son chatmsung et coupa le son de l'appareil photo. Il prit ensuite des clichés de la minette. Il ne comprenait pas ce dont il lui arrivait, il avait des fourmis dans le ventre. Il n'oubliait pas la présence du petit chat et restait sur ses gardes. Il fit l'imprudence de monter sur le rebord du fauteuil pour regarder par la vitre ce que faisait le poète.
- Chérie, Pépère est de retour... Si, je viens de voir sa grosse tête. Oui, je lui ai mis des croquettes devant le chalet...
Furent les paroles qu'il entendit. Surpris d'avoir été repéré de suite, il recula et sentait qu'il glissait, alors, il s'agrippa sur le rebord de la fenêtre et retomba en arrière de tout son poids sur la minette qui poussa un long miaulement. Le Pépère prit peur et repartit en courant vers le fond du pré retrouver ses amis.
À Sancoins, le pape, ne se sentait pas bien et il répartit à la brasserie pour se changer. La sœur se proposa d'aller chercher le vin et la viande pour le barbecue. Le brigadier avait été couché sur un banc et il dormait en ronflant si fort que cela faisait vibrer le sol. Tout le monde s'était mis à la remise en état de l'estrade, mais le problème était de pouvoir la relever sur ses pilotis sans la faire tomber dans le vide. Une dépanneuse vint pour récupérer la voiture du brigadier qui était dans un très mauvais état. Fripouille et Elchatponne partirent avec un œil pour voir s'ils ne pouvaient pas donner un coup de patte.
Arrivés vers l'estrade Fripouille voyant la dépanneuse émis une idée.
- S'il attachait son câble sur le côté de la scène, avec le treuil, il pourrait redresser l'estrade et nous aurions le temps de caler chaque angle.
- Ça, c'est une sacrée trouvaille lui répondit Un œil.
Elchatponne prit alors l'initiative d'aller voir le dépanneur pour lui en parler. L'homme refusait de faire la manœuvre, car il était apprenti et avait peur de ne pas bien maîtriser le treuil. C'est alors que les chats partirent voir Mike pour qu'il convainque l'homme.
- Nous devrions la reposée sur des palettes, cette scène suggérait Elchatponne. Oui, mais où trouver des palettes. C'est alors que la sœur eut l'idée du supermarché Atac. Un riverain partit donc avec sa camionette. Elchatponne regardait la scène pour guider la manœuvre. Un œil accrocha le câble et Fripouille s'occupait de la télécommande du treuil. En un rien de temps la scène fut remise parfaitement droite. Mais les pilotis n'étaient pas bien stables. L'homme qui était parti chercher les palettes et la scène fut calée. L'édifice était encore plus solide qu'avant la collision. La foule soufflait et le tonnerre d'ovations se fit pour les trois héros du jour.
- Gloire à Fripouille, ouii, gloire à Elchatponne, ouii, gloire à Un œil, ouii.
Le pape était retourné à la brasserie et s'était changé. Il avait revêtit le cadeau de Pépère, c'est-à-dire la combinaison super Pépère avec sa tête dans le dos ornée de leds clignotantes. Le saint homme n'avait pas oublié de se remonter le moral en buvant de la bière du cul roux. C'est en titubant légèrement qu'il arriva vers la scène parfaitement réparé. Il s'exclama en regardant la foule, avant d'être hué.
- Ça, c'est grâce à Dieu, si je n'avais pas mis cette tenue, hic, je n'y serais jamais arrivé, hic. Dans ma Benz Benz Benz, hic.
Le Pépère qui était reparti vers le fond du terrain arriva dans un piteux état. Il faisait des arf, arf, arf, autant qu'il le pouvait, car il ne pouvait masquer son essoufflement.
- Toc toc toc, qu'est-ce qu'il t'est arrivé, toc toc toc, tu as l'air essoufflé, toc toc toc.
- Oui, qu'est-ce qu'il t'arrive mon copain ça n'a pas l'air de bien aller.
- Fle fle fle, tu as les moustaches toutes retournées, fle fle fle, et les yeux d'un chat qui a eu peur, fle fle fle.
Le Pépère avait repris sa respiration normale. Du moins, il essayait de s'y tenir et répondit à ses amis.
- Laissez-moi vous expliquer, arf, arf, arf, j'ai été pris à partie par le monstre du soûlard. Que, je vous explique et vous allez comprendre. Je suis donc allé voir ce que trifouillait mon Canadien anesthésié du troisième cheveu par un médecin iroquois, et je l'ai surpris au téléphone avec sa soûlarde. Il était à son bureau et il essayait d'ouvrir une bouteille de vinasse. Il a changé de marque, car à force d'en acheter, il a mis le stock en rupture. Donc, il a acheté de la cuvée du patron, une vinasse pour soûlard de son espèce. C'est-à-dire un moine poète qui écrit des messes noires pour des terroristes saoudiens. Écoute de la messe en boucle dans ma Chalauréanne et installe des postes à galène dans des voitures neuves. Donc, il essayait de déboucher la bouteille et n'y arrivait pas. Sa comparse lui expliquait comment faire et il y est enfin arrivé. Il a jeté le bouchon en liège devant la cabane, du moins les miettes, car il l'avait totalement mis en guenilles. C'est alors, qu'il m'a surpris derrière le carreau et s'est écrié, la grosse tête à Pépère. Oui moi, un chat de prestige qui aie la taille aussi svelte qu'un rat d'opéra, je me suis fait traiter de gros. Sur cette avanie, je lui ai répondu, occupe toi de ta vinasse et tu diras à ta soûlarde que je la remercie d'avoir essayé de m'assassiner alors que j'étais déguisé en mouche. Je n'avais pas vu qu'il y avait le monstre dans la cabane. Il était sur le plancher et il mangeait une salade de métal à la sauce uranium. Il a ouvert la porte et je l'ai vu sortir avec la gueule ouverte et ses dents en titane acérées comme des couteaux. Je me suis dit, là Pépère, il y a une cuisse de triceratops dans le potage. Il m'a pris en chasse et je me suis enfui vers le bois où j'ai neutralisé un œil. Il coupait les arbres avec ses dents pour qu'ils tombent sur moi et je suis quand même arrivé à le semer. C'est en revenant et en passant sur la plate-forme devant le gourbi du poète que j'ai avalé un morceau de liège qui a failli m'étouffer voilà les copains. Ça n'a rien à voir avec un essoufflement, Pépère n'a jamais été essoufflé de sa vie, arf art arf.
- Toc toc toc, attention au monstre en repartant avec ta voiture, toc toc toc, s'il mange les pneus, toc toc toc, on va s'accidenter et je vais casser mon bec, toc toc toc.
- Bon Pépère et ce poulet, lança Turbo.
- Aller mon copain à table !!
Devant le chalet la petite chatte robot, Ainos, dormait toujours. Devant elle, le Pépère était en train de l'admirer. Il avait envoyé ses amis au fond du terrain sous prétexte de surveillance de son maître. Il prit son chatmsung et coupa le son de l'appareil photo. Il prit ensuite des clichés de la minette. Il ne comprenait pas ce dont il lui arrivait, il avait des fourmis dans le ventre. Il n'oubliait pas la présence du petit chat et restait sur ses gardes. Il fit l'imprudence de monter sur le rebord du fauteuil pour regarder par la vitre ce que faisait le poète.
- Chérie, Pépère est de retour... Si, je viens de voir sa grosse tête. Oui, je lui ai mis des croquettes devant le chalet...
Furent les paroles qu'il entendit. Surpris d'avoir été repéré de suite, il recula et sentait qu'il glissait, alors, il s'agrippa sur le rebord de la fenêtre et retomba en arrière de tout son poids sur la minette qui poussa un long miaulement. Le Pépère prit peur et repartit en courant vers le fond du pré retrouver ses amis.
À Sancoins, le pape, ne se sentait pas bien et il répartit à la brasserie pour se changer. La sœur se proposa d'aller chercher le vin et la viande pour le barbecue. Le brigadier avait été couché sur un banc et il dormait en ronflant si fort que cela faisait vibrer le sol. Tout le monde s'était mis à la remise en état de l'estrade, mais le problème était de pouvoir la relever sur ses pilotis sans la faire tomber dans le vide. Une dépanneuse vint pour récupérer la voiture du brigadier qui était dans un très mauvais état. Fripouille et Elchatponne partirent avec un œil pour voir s'ils ne pouvaient pas donner un coup de patte.
Arrivés vers l'estrade Fripouille voyant la dépanneuse émis une idée.
- S'il attachait son câble sur le côté de la scène, avec le treuil, il pourrait redresser l'estrade et nous aurions le temps de caler chaque angle.
- Ça, c'est une sacrée trouvaille lui répondit Un œil.
Elchatponne prit alors l'initiative d'aller voir le dépanneur pour lui en parler. L'homme refusait de faire la manœuvre, car il était apprenti et avait peur de ne pas bien maîtriser le treuil. C'est alors que les chats partirent voir Mike pour qu'il convainque l'homme.
- Nous devrions la reposée sur des palettes, cette scène suggérait Elchatponne. Oui, mais où trouver des palettes. C'est alors que la sœur eut l'idée du supermarché Atac. Un riverain partit donc avec sa camionette. Elchatponne regardait la scène pour guider la manœuvre. Un œil accrocha le câble et Fripouille s'occupait de la télécommande du treuil. En un rien de temps la scène fut remise parfaitement droite. Mais les pilotis n'étaient pas bien stables. L'homme qui était parti chercher les palettes et la scène fut calée. L'édifice était encore plus solide qu'avant la collision. La foule soufflait et le tonnerre d'ovations se fit pour les trois héros du jour.
- Gloire à Fripouille, ouii, gloire à Elchatponne, ouii, gloire à Un œil, ouii.
Le pape était retourné à la brasserie et s'était changé. Il avait revêtit le cadeau de Pépère, c'est-à-dire la combinaison super Pépère avec sa tête dans le dos ornée de leds clignotantes. Le saint homme n'avait pas oublié de se remonter le moral en buvant de la bière du cul roux. C'est en titubant légèrement qu'il arriva vers la scène parfaitement réparé. Il s'exclama en regardant la foule, avant d'être hué.
- Ça, c'est grâce à Dieu, si je n'avais pas mis cette tenue, hic, je n'y serais jamais arrivé, hic. Dans ma Benz Benz Benz, hic.
Le Pépère qui était reparti vers le fond du terrain arriva dans un piteux état. Il faisait des arf, arf, arf, autant qu'il le pouvait, car il ne pouvait masquer son essoufflement.
- Toc toc toc, qu'est-ce qu'il t'est arrivé, toc toc toc, tu as l'air essoufflé, toc toc toc.
- Oui, qu'est-ce qu'il t'arrive mon copain ça n'a pas l'air de bien aller.
- Fle fle fle, tu as les moustaches toutes retournées, fle fle fle, et les yeux d'un chat qui a eu peur, fle fle fle.
Le Pépère avait repris sa respiration normale. Du moins, il essayait de s'y tenir et répondit à ses amis.
- Laissez-moi vous expliquer, arf, arf, arf, j'ai été pris à partie par le monstre du soûlard. Que, je vous explique et vous allez comprendre. Je suis donc allé voir ce que trifouillait mon Canadien anesthésié du troisième cheveu par un médecin iroquois, et je l'ai surpris au téléphone avec sa soûlarde. Il était à son bureau et il essayait d'ouvrir une bouteille de vinasse. Il a changé de marque, car à force d'en acheter, il a mis le stock en rupture. Donc, il a acheté de la cuvée du patron, une vinasse pour soûlard de son espèce. C'est-à-dire un moine poète qui écrit des messes noires pour des terroristes saoudiens. Écoute de la messe en boucle dans ma Chalauréanne et installe des postes à galène dans des voitures neuves. Donc, il essayait de déboucher la bouteille et n'y arrivait pas. Sa comparse lui expliquait comment faire et il y est enfin arrivé. Il a jeté le bouchon en liège devant la cabane, du moins les miettes, car il l'avait totalement mis en guenilles. C'est alors, qu'il m'a surpris derrière le carreau et s'est écrié, la grosse tête à Pépère. Oui moi, un chat de prestige qui aie la taille aussi svelte qu'un rat d'opéra, je me suis fait traiter de gros. Sur cette avanie, je lui ai répondu, occupe toi de ta vinasse et tu diras à ta soûlarde que je la remercie d'avoir essayé de m'assassiner alors que j'étais déguisé en mouche. Je n'avais pas vu qu'il y avait le monstre dans la cabane. Il était sur le plancher et il mangeait une salade de métal à la sauce uranium. Il a ouvert la porte et je l'ai vu sortir avec la gueule ouverte et ses dents en titane acérées comme des couteaux. Je me suis dit, là Pépère, il y a une cuisse de triceratops dans le potage. Il m'a pris en chasse et je me suis enfui vers le bois où j'ai neutralisé un œil. Il coupait les arbres avec ses dents pour qu'ils tombent sur moi et je suis quand même arrivé à le semer. C'est en revenant et en passant sur la plate-forme devant le gourbi du poète que j'ai avalé un morceau de liège qui a failli m'étouffer voilà les copains. Ça n'a rien à voir avec un essoufflement, Pépère n'a jamais été essoufflé de sa vie, arf art arf.
- Toc toc toc, attention au monstre en repartant avec ta voiture, toc toc toc, s'il mange les pneus, toc toc toc, on va s'accidenter et je vais casser mon bec, toc toc toc.
- Bon Pépère et ce poulet, lança Turbo.
- Aller mon copain à table !!
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