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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Qui répondirent, toc toc toc, tu es le meilleur Pépère, Ho oui, tu es un champion, fle fle fle.
- Oui, j'ai terrassé ce monstre en un rien de temps. Pourtant, j'ai assisté à un spectacle lamentable en ramenant les croquettes pourries du commissariat.
- Toc toc toc, qu'est-ce que tu as vu. Toc toc toc explique nous toc toc toc.
- Ho oui, fle fle fle, explique nous ce qui t'a bousculé l'esprit.
- Hé bien, j'ai vu mon alcoolique Irlandais tatoué du genou gauche par un écrivain saoudien, en train de picoler dans la cabane du chien avec la sœur et le gendarme. J'ai été discrètement pour voir et ils parlaient de moi en disant que j'inventais mes histoires vraies authentiques pas fausses. Je ne sais pas ce qui m'a retenu de ne pas aller les corriger à coup de moustache. Après, ils étaient en train de ramasser des morceaux de métal qu'ils donnaient à manger au monstre alors, je suis resté méfiant et j'étais pressé de revoir Fripouille.
- C'est gentil ça, chef vénéré, car je ne m'y attendais pas, je mangeais des catisfactions quand tu as envoyé le message et j'ai dû me dépêcher de manger, burp, oups pardon.
-Toc toc toc, tu as fait un méchant rot toc toc toc.
- Fle fle fle, tu as l'air songeur Pépère fle fle fle.
- Hé bien, c'est que cela me rappelle une vilaine histoire avec mon alcoolique. Vous vous souvenez, je vous ai dit qu'il m'avait fait creuser le sol comme un manant. Lui pendant ce temps était au téléphone avec sa poivrote et ensemble ils faisaient un concours de rot en buvant de la bière. Moi pendant ce temps, je creusais, creusais, comme un pauvre diable. D'un coup, il raccroche, je me dis enfin, il va m'aider, pas du tout, il restait dans son bouge. Alors, je regarde par le carreau en agrippant mes griffes aux rebords et je le vois toujours le téléphone à la main. Hé, tu veux un coup de main, je viens de voir la grosse tête du Pépère par la vitre, attends, je vais voir. Sont les seules paroles qu'ils aient dites. Il ouvre son taudis et dans l'entrebâillement je vois sur le bureau de délicieuses friandises, des Catisfactions et des Félix-bombom. Tu vois mon gentil minet qu'il me dit, c'est pour Pépère ça. Puis confiant, je retourne creuser, creuser. Ma tâche finie, je vais à la porte qui était restée ouverte et la stupéfaction à côté du bol les sachets vides et l'autre la main dans le sac la bouche encore pleine de croquettes, ils me dit. Achend mon chentil minet, gloup, gloup, tiens des bonnes croquettes. Confiant, j'y vais et la désillusion à été totale, les croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne, qu'il avait en gardées en stock depuis au moins trois ans dans un coin de son gourbi. Ensuite, il sort et commence à préparer une potence avec de la ficelle. J'ai eu peur et je suis parti voir une autre maison où l'on me secourt. La brave femme de cette maison comprenant ma détresse m'offre un poulet. Je m'en vais vers chez mon alcoolique dans un coin tranquille pour ne pas susciter la jalousie du minet de la dame. Malheureusement, j'ai croisé sur ma route le sale individu qui me dit, hey Pépère viens mon gentil minet que je te caresse. Moi pauvre souffreteux en manque d'affection, j'y vais et là, il me saisit le poulet de la gueule et s'en fait une bouchée, il l'a mangé avec les os, je n'ai eu le droit qu'à la ficelle qui tenait les cuisses que j'ai longtemps gardé dans mes affaires par désespoir et dans l'espoir de lui faire manger un jour.
Disant cela, il ouvrit son chatventre et sortit une petite boite en carton. De celle-ci, il extirpa un long morceau de ficelle à poulet toute jaunie par le temps. En fait, c'était une ficelle de poulet qu'il avait gardé en souvenir d'une minette qui lui avait offert un poulet et dont il était le chat love. Il fit donc passer cette ficelle pour celle de son histoire.
- Regardez mes copains voilà la fameuse ficelle qui me fait encore pleurer de désespoir aujourd'hui.
Pendant ce temps-là, le pape à la brasserie buvait sa bière et n'arrêtait pas d'essayer d'appeler la sœur. Malheureusement, le réseau était si mauvais qu'il n'y avait pas de réponse. La sœur était avec Thomas et le gendarme Tatouvu était parti chercher la voiture, il marchait en parlant tout seul. Dans un premier temps, il s'était trompé de chemin et s'était retrouvé dans le camp des Américains qu'il avait pris pour des ennemis extraterrestre. Il avait fui vers le champ à Cookie qu'il avait retrouvé derrière lui. Pris de panique, il avait traversé le terrain du poète et il était à présent dans la pinède. Il marchait depuis un moment quand il entendit derrière lui un homme arrivé en courant.
- Hé bien, vous avez fait vite, justement, je viens d'appeler l'Élysée pour les micros dans ma chambre et ils m'ont dit qu'ils envoyaient la police immédiatement.
- Ha bon qu'est-ce que c'est que cette histoire. Oui, je suis gendarme et le meilleur des meilleur que vous ont-ils dit à l'Élysée ?
- Je ne suis pas fou quoi, j'ai fait des études. Ils m'ont dit, François si t'as tout vu, il faut faire un portrait-robot des agents du FBI.
- Tatouvu, oui, c'est moi. Bon où sont les malfaiteurs. Et ne soit pas imprécis dans la description sinon tu verras comment je m'appelle ! J'ai des yeux dans le dos.
- Ha, bon, toi aussi, tu as tu vu, oui, je suis passé les voir, ils sont derrière la jument en fasse du capot blanc que j'ai tagué pour m'en rappeler.
- Oui, c'est moi Tatouvu, je viens de te le dire. Alors comme ça le capot blanc, c'est toi, ton compte est bon mon gaillard.
Pendant que le brigadier perdait son temps avec le fils de son voisin, qui n'avait pas toute sa raison, la sœur et l'huissier étaient repartis vers la voiture et Thomas n'ayant pas la patience d'attendre avait démarré son auto et il était déjà en direction de Sancoins avec la sœur.
Le Pépère lui était intarissable et continuait sa progression vers le canal. À l'approche de celui-ci, Pépère vit dans un arbre un énorme nid et dit à Pépère.
- Toc toc toc c'est là que je suis né toc toc toc c'est la maison de ma maman toc toc toc. Je l'aime ma maman héron toc toc toc.
- Fle fle, c'est en dessous que mes petits frères vont pour s'amuser fle, c'est adorable de revoir sa région fle fle fle.
Le Pépère était ému et répondit à ses amis.
- Moi c'est ma maman fée Chouânne qui me manque et la fée Leïlanne. Je t'aime maman fée, je t'aime, je t'aime, je l'aime la fée Leïlanne, je vous aime.
Disait-il en envoyant des bisous chat avec sa patte en direction de l'horizon. Puis, il regarda Fripouille et lui dit.
- Et toi fripouille, tu ne nous as pas raconté ton sauvetage avec le pape..
 

Pièces jointes

Cortisone

Maître Poète
#2
Qui répondirent, toc toc toc, tu es le meilleur Pépère, Ho oui, tu es un champion, fle fle fle.
- Oui, j'ai terrassé ce monstre en un rien de temps. Pourtant, j'ai assisté à un spectacle lamentable en ramenant les croquettes pourries du commissariat.
- Toc toc toc, qu'est-ce que tu as vu. Toc toc toc explique nous toc toc toc.
- Ho oui, fle fle fle, explique nous ce qui t'a bousculé l'esprit.
- Hé bien, j'ai vu mon alcoolique Irlandais tatoué du genou gauche par un écrivain saoudien, en train de picoler dans la cabane du chien avec la sœur et le gendarme. J'ai été discrètement pour voir et ils parlaient de moi en disant que j'inventais mes histoires vraies authentiques pas fausses. Je ne sais pas ce qui m'a retenu de ne pas aller les corriger à coup de moustache. Après, ils étaient en train de ramasser des morceaux de métal qu'ils donnaient à manger au monstre alors, je suis resté méfiant et j'étais pressé de revoir Fripouille.
- C'est gentil ça, chef vénéré, car je ne m'y attendais pas, je mangeais des catisfactions quand tu as envoyé le message et j'ai dû me dépêcher de manger, burp, oups pardon.
-Toc toc toc, tu as fait un méchant rot toc toc toc.
- Fle fle fle, tu as l'air songeur Pépère fle fle fle.
- Hé bien, c'est que cela me rappelle une vilaine histoire avec mon alcoolique. Vous vous souvenez, je vous ai dit qu'il m'avait fait creuser le sol comme un manant. Lui pendant ce temps était au téléphone avec sa poivrote et ensemble ils faisaient un concours de rot en buvant de la bière. Moi pendant ce temps, je creusais, creusais, comme un pauvre diable. D'un coup, il raccroche, je me dis enfin, il va m'aider, pas du tout, il restait dans son bouge. Alors, je regarde par le carreau en agrippant mes griffes aux rebords et je le vois toujours le téléphone à la main. Hé, tu veux un coup de main, je viens de voir la grosse tête du Pépère par la vitre, attends, je vais voir. Sont les seules paroles qu'ils aient dites. Il ouvre son taudis et dans l'entrebâillement je vois sur le bureau de délicieuses friandises, des Catisfactions et des Félix-bombom. Tu vois mon gentil minet qu'il me dit, c'est pour Pépère ça. Puis confiant, je retourne creuser, creuser. Ma tâche finie, je vais à la porte qui était restée ouverte et la stupéfaction à côté du bol les sachets vides et l'autre la main dans le sac la bouche encore pleine de croquettes, ils me dit. Achend mon chentil minet, gloup, gloup, tiens des bonnes croquettes. Confiant, j'y vais et la désillusion à été totale, les croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne, qu'il avait en gardées en stock depuis au moins trois ans dans un coin de son gourbi. Ensuite, il sort et commence à préparer une potence avec de la ficelle. J'ai eu peur et je suis parti voir une autre maison où l'on me secourt. La brave femme de cette maison comprenant ma détresse m'offre un poulet. Je m'en vais vers chez mon alcoolique dans un coin tranquille pour ne pas susciter la jalousie du minet de la dame. Malheureusement, j'ai croisé sur ma route le sale individu qui me dit, hey Pépère viens mon gentil minet que je te caresse. Moi pauvre souffreteux en manque d'affection, j'y vais et là, il me saisit le poulet de la gueule et s'en fait une bouchée, il l'a mangé avec les os, je n'ai eu le droit qu'à la ficelle qui tenait les cuisses que j'ai longtemps gardé dans mes affaires par désespoir et dans l'espoir de lui faire manger un jour.
Disant cela, il ouvrit son chatventre et sortit une petite boite en carton. De celle-ci, il extirpa un long morceau de ficelle à poulet toute jaunie par le temps. En fait, c'était une ficelle de poulet qu'il avait gardé en souvenir d'une minette qui lui avait offert un poulet et dont il était le chat love. Il fit donc passer cette ficelle pour celle de son histoire.
- Regardez mes copains voilà la fameuse ficelle qui me fait encore pleurer de désespoir aujourd'hui.
Pendant ce temps-là, le pape à la brasserie buvait sa bière et n'arrêtait pas d'essayer d'appeler la sœur. Malheureusement, le réseau était si mauvais qu'il n'y avait pas de réponse. La sœur était avec Thomas et le gendarme Tatouvu était parti chercher la voiture, il marchait en parlant tout seul. Dans un premier temps, il s'était trompé de chemin et s'était retrouvé dans le camp des Américains qu'il avait pris pour des ennemis extraterrestre. Il avait fui vers le champ à Cookie qu'il avait retrouvé derrière lui. Pris de panique, il avait traversé le terrain du poète et il était à présent dans la pinède. Il marchait depuis un moment quand il entendit derrière lui un homme arrivé en courant.
- Hé bien, vous avez fait vite, justement, je viens d'appeler l'Élysée pour les micros dans ma chambre et ils m'ont dit qu'ils envoyaient la police immédiatement.
- Ha bon qu'est-ce que c'est que cette histoire. Oui, je suis gendarme et le meilleur des meilleur que vous ont-ils dit à l'Élysée ?
- Je ne suis pas fou quoi, j'ai fait des études. Ils m'ont dit, François si t'as tout vu, il faut faire un portrait-robot des agents du FBI.
- Tatouvu, oui, c'est moi. Bon où sont les malfaiteurs. Et ne soit pas imprécis dans la description sinon tu verras comment je m'appelle ! J'ai des yeux dans le dos.
- Ha, bon, toi aussi, tu as tu vu, oui, je suis passé les voir, ils sont derrière la jument en fasse du capot blanc que j'ai tagué pour m'en rappeler.
- Oui, c'est moi Tatouvu, je viens de te le dire. Alors comme ça le capot blanc, c'est toi, ton compte est bon mon gaillard.
Pendant que le brigadier perdait son temps avec le fils de son voisin, qui n'avait pas toute sa raison, la sœur et l'huissier étaient repartis vers la voiture et Thomas n'ayant pas la patience d'attendre avait démarré son auto et il était déjà en direction de Sancoins avec la sœur.
Le Pépère lui était intarissable et continuait sa progression vers le canal. À l'approche de celui-ci, Pépère vit dans un arbre un énorme nid et dit à Pépère.
- Toc toc toc c'est là que je suis né toc toc toc c'est la maison de ma maman toc toc toc. Je l'aime ma maman héron toc toc toc.
- Fle fle, c'est en dessous que mes petits frères vont pour s'amuser fle, c'est adorable de revoir sa région fle fle fle.
Le Pépère était ému et répondit à ses amis.
- Moi c'est ma maman fée Chouânne qui me manque et la fée Leïlanne. Je t'aime maman fée, je t'aime, je t'aime, je l'aime la fée Leïlanne, je vous aime.
Disait-il en envoyant des bisous chat avec sa patte en direction de l'horizon. Puis, il regarda Fripouille et lui dit.
- Et toi fripouille, tu ne nous as pas raconté ton sauvetage avec le pape..

Merci Daniel pour ce nouvel épisode que je viens de finir de lire et je me suis régalée ; tant par votre créativité que par pépères.

Amicalement
Gaby