Sur Charnïa, un œil fut libéré avec empressement. Il fut introduit dans la pyramide et fut assis sur le trône de Pépère le Dieu chat. Il était fort surpris de cet événement et ne comprenait pas trop ce changement d'attitude de la part des Charnïens. En fait, ceux-ci, ayant eu un doute sur sa véritable origine, avaient procédé à un examen ADN en prélevant dans l'hélicoptère un de ses poils qui était sur le siège du pilote. Lorsque Chouânne avait transféré le chat dans la réplique de l'hélicoptère qu'il avait dérobé dans le champ, elle avait pensé si fort à Pépère que ses poils qui étaient dans l'appareil original avaient été transférés dans son double. Ce sont donc les poils de Pépère qui avaient été étudiés lors du séquençage ADN. Les Charnïens en avaient conclu que le Pépère avait le don d'ubiquité. Du moins, son âme avait cette faculté et qu'à l'époque de la création de Charnïa, Pépère et un œil étaient en fait un seul chat qui pouvait être à deux endroits en même temps pour contrôler les travaux qui avaient conduit l'empire de Charnïa jusqu'à s'étendre sur la terre. C'est ainsi que les écrits de cette époque immémoriale laissait transparaître que Pépère avait bâti les pyramides sur Terre pendant que Un œil était sur Charnïa en faisant la même mégapole. Donc le sacre de Dieu était célébré en ce grand jour sur Charnïa. Le monstre à trois têtes était près d'Un œil pour assurer sa protection. Il fut oint d'huiles divines et ensuite brossé avec une poudre d'or. Son poil était rutilant et il fut habillé des vêtements liturgiques de Pépère. Il fut ensuite célébré une messe à sa grandeur. À l'extérieur sous un mausolée immense, des chats tapaient sur une énorme cloche et le son résonnait à des kilomètres de la pyramide. Même sur la partie gelée, les chercheurs de diamants de glace avaient arrêté leurs activités et priaient le Dieu Pépère roi de l'univers. Les ateliers de fabrication d'étoiles étaient d'ailleurs en train de faire l'un des plus gros astres que l'univers n'avait jamais eu, pour la gloire de Pépère. Cette étoile vue du fin fond de l'univers par n'importes quels télescopes apparaîtrait sous la forme du visage du Dieu chat. La pyramide où il avait été introduit était le temple original et serait désormais la nouvelle résidence d'un œil.
Sur la route non loin du chalet, l'huissier avançait fébrilement vers la sœur et se demandait ce dont il lui était arrivé. Malgré les manipulations des Charnïens sur sa mémoire, il se souvenait de quelques bribes. Il voyait des êtres géants avec une tête allongée comme un œuf. Des machines étranges des bruits d'appareils de contrôle et c'était tout. La sœur vint à sa rencontre en invitant le brigadier qui partait dans l'autre sens.
- Hé bien Thomas où étais-tu, nous te cherchions avec la vielle enclume dépolie à l'acide nitrite. Nous avions aussi perdu le vieux rhinocéros dégarni des doigts de pied, mais le salopard est en train de boire des baignoires de bière à Sancoins. Nous allons d'ailleurs le rejoindre, si l'autre alcoolique veut bien aller chercher la voiture.
- Ma pauvre amie, c'est épouvantable. Après avoir été éloigné de vous, je me suis perdu dans un bois et j'ai du combattre des fourmis armées de cure dents et avec des gants de boxe au pied. Mais un huissier n'est jamais à cours, j'ai pris des trombones dans ma serviette et j'ai fabriqué une épée avec. Ensuite avec la batterie de mon téléphone et la Led d'une lampe torche que j'avais dans ma poche, j'en ai fait une épée laser. Comme Darkvador, j'ai combattu les monstres qui étaient des milliers. Ensuite, j'ai eu un coup de fatigue et me suis allongé par terre sous un arbre. J'avais démonté mon épée et l'avais rangé dans ma serviette au cas où une nouvelle invasion ne survienne. J'ai été réveillé par des extraterrestres qui m'ont emmené dans leur vaisseau. Ils m'ont ensuite emmené dans une salle où il y avait plein d'ordinateurs. J'ai été seul un long moment et cela m'a permis de remonter mon épée. Quand, ils sont revenus, je les ai combattus et j'ai pris le contrôle de la soucoupe. De peur de me faire repérer en me posant au sol, j'ai fabriqué un parachute avec les feuilles qui étaient dans la serviette et j'ai arraché les fils des ordinateurs pour l'attacher à mon corps. J'ai ensuite sauté et atterri vers l'endroit où nous avons délivré le chat Sybage. J'ai ensuite marché et je vous ai aperçu de loin et me voilà.
La sœur n'en revenait pas. Cet homme était vraiment un héros à ses yeux et elle dit au brigadier.
- Alors vieux chameau à quatre bosses remplies de vinasse, ce n'est pas toi qui l'aurais fait hein. Va donc chercher la voiture et de l'anti-peur nous avons soif nous autres.
- Écoute l'espèce de vieille brebis mal peignée des sabots, j'ai fait bien pire dans ma vie de gendarme. Un jour, j'ai suivi un gyrophare pendant deux cent kilomètres et je lui ai mis les menottes alors qu'il était encore sur le capot de la Dacia quand je me suis arrêté. Hé bien, pendant deux cent kilomètres, je ne me suis pas arrêté une seule fois dans un bar. Fais-en autant Playmobil de foire pour ânes philosophes.
- Effectivement, deux cent kilomètres sans boire, c'est énorme, franchement énorme, je n'en reviens pas.
Le Pépère était content d'avoir retrouvé Fripouille et plutôt que de lui laisser raconter son histoire, il continuait les siennes propres.
- Hé bien mon copain, je n'en reviens pas. Tu sais ce que je vais faire comme, je ne suis pas loin de chez Coin-coin et Pêcheur, je vais les faire apparaître dans l'hélicoptère avec ma magie pendant que Nicolas me remplace pour défendre la cause de François.
C'est ainsi que ses deux amis apparurent dans l'appareil et qu'il leur expliqua comment c'était possible. Il reprit son vol et répartit en direction de la marre de Coin-coin et vers le Canal pour que Pêcheur puisse voir le canal. Il avait besoin de crâner un peu et s'amusa à faire des loopings pour démonter sa dextérité à piloter un hélicoptère. Les pauvres avaient tous très peur.
- Fais attention à ce que tu fais Pépère, tu vas ecraser l'hélicoptère ,s'écriait Fripouille.
- Toc toc toc fait attention, tu vas fracturer mon bec toc toc toc vite le béquetier toc toc toc Pépère est devenu fou Toc toc toc.
- Fle fle fle j'ai peur aussi arrête Pépère fle fle fle tu décoiffes mes plumes fle fle fle.
Sous l'insistance de ses amis le Pépère reprit un pilotage normal et évoluait lentement en repassant au-dessus du collège pour que chacun voie le fruit de ses exploits. Qu'il raconta à nouveau à Pêcheur et Coin-coin. Qui répondirent, toc toc toc, tu es le meilleur Pépère, Ho oui, tu es un champion, fle fle fle.
J'arrête là, c'est trop tard désolé la suite demain.
Sur la route non loin du chalet, l'huissier avançait fébrilement vers la sœur et se demandait ce dont il lui était arrivé. Malgré les manipulations des Charnïens sur sa mémoire, il se souvenait de quelques bribes. Il voyait des êtres géants avec une tête allongée comme un œuf. Des machines étranges des bruits d'appareils de contrôle et c'était tout. La sœur vint à sa rencontre en invitant le brigadier qui partait dans l'autre sens.
- Hé bien Thomas où étais-tu, nous te cherchions avec la vielle enclume dépolie à l'acide nitrite. Nous avions aussi perdu le vieux rhinocéros dégarni des doigts de pied, mais le salopard est en train de boire des baignoires de bière à Sancoins. Nous allons d'ailleurs le rejoindre, si l'autre alcoolique veut bien aller chercher la voiture.
- Ma pauvre amie, c'est épouvantable. Après avoir été éloigné de vous, je me suis perdu dans un bois et j'ai du combattre des fourmis armées de cure dents et avec des gants de boxe au pied. Mais un huissier n'est jamais à cours, j'ai pris des trombones dans ma serviette et j'ai fabriqué une épée avec. Ensuite avec la batterie de mon téléphone et la Led d'une lampe torche que j'avais dans ma poche, j'en ai fait une épée laser. Comme Darkvador, j'ai combattu les monstres qui étaient des milliers. Ensuite, j'ai eu un coup de fatigue et me suis allongé par terre sous un arbre. J'avais démonté mon épée et l'avais rangé dans ma serviette au cas où une nouvelle invasion ne survienne. J'ai été réveillé par des extraterrestres qui m'ont emmené dans leur vaisseau. Ils m'ont ensuite emmené dans une salle où il y avait plein d'ordinateurs. J'ai été seul un long moment et cela m'a permis de remonter mon épée. Quand, ils sont revenus, je les ai combattus et j'ai pris le contrôle de la soucoupe. De peur de me faire repérer en me posant au sol, j'ai fabriqué un parachute avec les feuilles qui étaient dans la serviette et j'ai arraché les fils des ordinateurs pour l'attacher à mon corps. J'ai ensuite sauté et atterri vers l'endroit où nous avons délivré le chat Sybage. J'ai ensuite marché et je vous ai aperçu de loin et me voilà.
La sœur n'en revenait pas. Cet homme était vraiment un héros à ses yeux et elle dit au brigadier.
- Alors vieux chameau à quatre bosses remplies de vinasse, ce n'est pas toi qui l'aurais fait hein. Va donc chercher la voiture et de l'anti-peur nous avons soif nous autres.
- Écoute l'espèce de vieille brebis mal peignée des sabots, j'ai fait bien pire dans ma vie de gendarme. Un jour, j'ai suivi un gyrophare pendant deux cent kilomètres et je lui ai mis les menottes alors qu'il était encore sur le capot de la Dacia quand je me suis arrêté. Hé bien, pendant deux cent kilomètres, je ne me suis pas arrêté une seule fois dans un bar. Fais-en autant Playmobil de foire pour ânes philosophes.
- Effectivement, deux cent kilomètres sans boire, c'est énorme, franchement énorme, je n'en reviens pas.
Le Pépère était content d'avoir retrouvé Fripouille et plutôt que de lui laisser raconter son histoire, il continuait les siennes propres.
- Hé bien mon copain, je n'en reviens pas. Tu sais ce que je vais faire comme, je ne suis pas loin de chez Coin-coin et Pêcheur, je vais les faire apparaître dans l'hélicoptère avec ma magie pendant que Nicolas me remplace pour défendre la cause de François.
C'est ainsi que ses deux amis apparurent dans l'appareil et qu'il leur expliqua comment c'était possible. Il reprit son vol et répartit en direction de la marre de Coin-coin et vers le Canal pour que Pêcheur puisse voir le canal. Il avait besoin de crâner un peu et s'amusa à faire des loopings pour démonter sa dextérité à piloter un hélicoptère. Les pauvres avaient tous très peur.
- Fais attention à ce que tu fais Pépère, tu vas ecraser l'hélicoptère ,s'écriait Fripouille.
- Toc toc toc fait attention, tu vas fracturer mon bec toc toc toc vite le béquetier toc toc toc Pépère est devenu fou Toc toc toc.
- Fle fle fle j'ai peur aussi arrête Pépère fle fle fle tu décoiffes mes plumes fle fle fle.
Sous l'insistance de ses amis le Pépère reprit un pilotage normal et évoluait lentement en repassant au-dessus du collège pour que chacun voie le fruit de ses exploits. Qu'il raconta à nouveau à Pêcheur et Coin-coin. Qui répondirent, toc toc toc, tu es le meilleur Pépère, Ho oui, tu es un champion, fle fle fle.
J'arrête là, c'est trop tard désolé la suite demain.
