- Tu as quand même un métier à risque Pépère.
- Ne m'en parle pas, encore là, je ne suis plus appelé en mission quand c'est un pays en guerre. Si c'était à refaire, je travaillerais à la SNCF.
- Dans les trains, comme chauffeur, chat chat chat.
- Non à la (Sncf) société nationale des chats fainéant. C'est une société que j'ai créé en Norvège pour la firme ikea. Les chats y sont employés pour tester le confort des matelas et des fauteuils où canapés. C'est très bien payé, deux poulets par jour.
- Moi ça me plairait comme métier.
- Tu es déjà le coéquipier de l'agent le plus célèbre au monde que veux tu de plus.
- Oui c'est vrai et j'ai beaucoup de chance de t'avoir rencontré, quand je pense que tu connais Macronche, c'est énorme.
Fripouille ne s'était toujours pas remis de sa découverte dans le téléphone il eut envie d'en savoir plus sur ce héros. Il retourna dans l'album photo. Il choisit l'onglet je les aime. Des photos de Leïlânne et de choûanne. Sur chaque image il avait mis des petits cœurs. Il choisit après, elles ont fondues sous mes crocs. Des centaines de photos de côtes de porc des escalopes et des paupiettes. Il consulta après poème pour mon amour. Une photo de Leïlânne avec marqué dessus i love you. Il y avait un lien dessous il l'ouvrit.
Il lut ce poême.
C'est toi.
Dans ma cité il y a lilianne
La rouquine que je kiffais
Et dans l'univers frais
Il y a ma Leïlânne,
Ô oui c'est sur c'est la plus belle
Elle l'a compris je suis un dieu
Pour elle depuis j'ai les yeux bleus
Et je n'fouille plus dans les poubelles,
Elle est gentille comme maman fée
Et aussi douce qu'une jolie fleur
Qui fleurirait sur un d'mes pleurs
Sa jolie robe est parfumée
De fleurs de mars et de l'automne
Qui n'ont que mes regrets
J'suis qu'un minet
Et elle la fée et ça m'étonne,
Mais c'est comme ça
Y'a mes copains, joli Fripouille
Et mon Lolo cuisses de grenouille
Ils sont supers c'est déjà ça,
J'ai trop d'amour dans mon cœur
Malheureusement j'sais pas le dire
Alors tant pis je dois l'écrire
Ma fée mes potes c'est mon bonheur,
Oui ma jolie parfois je ments
Mais ça efface bien des malheurs
Et c'est la tout mon bonheur,
Je t'aime Leïlânne et c'est dément...
Pépère pour tous ceux que j'aime...
Fripouille était touché par le texte de Pépère car il parlait de lui.
Choûanne était enfin reposée. Elle envoya un message à Leïlânne qui était aussi inquiète qu'elle de n'avoir de nouvelles de pépère. Elle lui disait de se tenir prête pour vingt et une heure pour parler avec Pépère, Lolo, Fripouille, et peut-être Chatdore et Cookie.
Pépère de son côté avait abandonné toutes recherches dans la haie, repensant avoir fait un besoin pressent le long du canal, il lui avait semblé que quelques choses avait glissé de son chatventre. Il avait failli être repéré par la chatdarmerie qui passait le long du canal et il s'était relevé et remonté dans son auto alors qu'il avait à peine fini.
Le poète arrivant devant la maison vit dans une assiette des poissons. C'est étrange se dit-il. Il entra et se dirigea vers le poêle pour voir la petite à côté. Sa mère qui avait râlé de son arrivée n'arrêtait pas de dire qu'elle était magnifique et douce. Le pauvre Momo quelque peu jaloux était parti dans la cuisine sur le frigo. Il partit le caresser et il se mit à ronronner tout en dormant. Il prit ensuite dans le hall d'entrée une laisse qui avait appartenue à un autre chien qui était maintenant dans le terrain sous un magnifique parterre de fleur.
- Bibou, vient mon garçon on va se promener et voir ta maison de l'après midi quand tu seras avec moi. Tu vas voir ton copain Pépère.
Le chien arriva en courant et le poète lui mit un collier qu'il avait acheté tout spécialement pour lui. Ils partirent ensemble vers le terrain.
De la haie Pépère vit l'homme arriver. Le pauvre bibou n'avait pas l'habitude de la laisse et il tirait dessus de toutes ses forces. Cela avait pour effet de faire tituber le poète qui avait une infirmité du pied gauche. Pépère le regardant dit à Lolo.
- Écoute mon loulou c'est trop grave je vais appeler les pompiers, il va accidenter Junk c'est évident, il ne doit pas avoir le permis pour les chiens. Conduite en état d'ivresse ton compte est bon mon gaillard tu n'es pas près de reconduire pour rejoindre ta soûlarde à Sancoins. Oui c'est vrai que tu n'as plus de permis j'avais oublié.
L'homme arrivait à son niveau et, il le regardait.
- Hé sac à vin tu ferais mieux de regarder ta route. Au fait j'attends toujours ma révérence salopard. Fais attention mon copain, il est complètement cramé ton guide, il risque de te tomber dessus.
- Ça va Pépère, ne t'inquiète pas, en tout cas je suis heureux qu'on me promène.
La suite bientôt.
- Ne m'en parle pas, encore là, je ne suis plus appelé en mission quand c'est un pays en guerre. Si c'était à refaire, je travaillerais à la SNCF.
- Dans les trains, comme chauffeur, chat chat chat.
- Non à la (Sncf) société nationale des chats fainéant. C'est une société que j'ai créé en Norvège pour la firme ikea. Les chats y sont employés pour tester le confort des matelas et des fauteuils où canapés. C'est très bien payé, deux poulets par jour.
- Moi ça me plairait comme métier.
- Tu es déjà le coéquipier de l'agent le plus célèbre au monde que veux tu de plus.
- Oui c'est vrai et j'ai beaucoup de chance de t'avoir rencontré, quand je pense que tu connais Macronche, c'est énorme.
Fripouille ne s'était toujours pas remis de sa découverte dans le téléphone il eut envie d'en savoir plus sur ce héros. Il retourna dans l'album photo. Il choisit l'onglet je les aime. Des photos de Leïlânne et de choûanne. Sur chaque image il avait mis des petits cœurs. Il choisit après, elles ont fondues sous mes crocs. Des centaines de photos de côtes de porc des escalopes et des paupiettes. Il consulta après poème pour mon amour. Une photo de Leïlânne avec marqué dessus i love you. Il y avait un lien dessous il l'ouvrit.
Il lut ce poême.
C'est toi.
Dans ma cité il y a lilianne
La rouquine que je kiffais
Et dans l'univers frais
Il y a ma Leïlânne,
Ô oui c'est sur c'est la plus belle
Elle l'a compris je suis un dieu
Pour elle depuis j'ai les yeux bleus
Et je n'fouille plus dans les poubelles,
Elle est gentille comme maman fée
Et aussi douce qu'une jolie fleur
Qui fleurirait sur un d'mes pleurs
Sa jolie robe est parfumée
De fleurs de mars et de l'automne
Qui n'ont que mes regrets
J'suis qu'un minet
Et elle la fée et ça m'étonne,
Mais c'est comme ça
Y'a mes copains, joli Fripouille
Et mon Lolo cuisses de grenouille
Ils sont supers c'est déjà ça,
J'ai trop d'amour dans mon cœur
Malheureusement j'sais pas le dire
Alors tant pis je dois l'écrire
Ma fée mes potes c'est mon bonheur,
Oui ma jolie parfois je ments
Mais ça efface bien des malheurs
Et c'est la tout mon bonheur,
Je t'aime Leïlânne et c'est dément...
Pépère pour tous ceux que j'aime...
Fripouille était touché par le texte de Pépère car il parlait de lui.
Choûanne était enfin reposée. Elle envoya un message à Leïlânne qui était aussi inquiète qu'elle de n'avoir de nouvelles de pépère. Elle lui disait de se tenir prête pour vingt et une heure pour parler avec Pépère, Lolo, Fripouille, et peut-être Chatdore et Cookie.
Pépère de son côté avait abandonné toutes recherches dans la haie, repensant avoir fait un besoin pressent le long du canal, il lui avait semblé que quelques choses avait glissé de son chatventre. Il avait failli être repéré par la chatdarmerie qui passait le long du canal et il s'était relevé et remonté dans son auto alors qu'il avait à peine fini.
Le poète arrivant devant la maison vit dans une assiette des poissons. C'est étrange se dit-il. Il entra et se dirigea vers le poêle pour voir la petite à côté. Sa mère qui avait râlé de son arrivée n'arrêtait pas de dire qu'elle était magnifique et douce. Le pauvre Momo quelque peu jaloux était parti dans la cuisine sur le frigo. Il partit le caresser et il se mit à ronronner tout en dormant. Il prit ensuite dans le hall d'entrée une laisse qui avait appartenue à un autre chien qui était maintenant dans le terrain sous un magnifique parterre de fleur.
- Bibou, vient mon garçon on va se promener et voir ta maison de l'après midi quand tu seras avec moi. Tu vas voir ton copain Pépère.
Le chien arriva en courant et le poète lui mit un collier qu'il avait acheté tout spécialement pour lui. Ils partirent ensemble vers le terrain.
De la haie Pépère vit l'homme arriver. Le pauvre bibou n'avait pas l'habitude de la laisse et il tirait dessus de toutes ses forces. Cela avait pour effet de faire tituber le poète qui avait une infirmité du pied gauche. Pépère le regardant dit à Lolo.
- Écoute mon loulou c'est trop grave je vais appeler les pompiers, il va accidenter Junk c'est évident, il ne doit pas avoir le permis pour les chiens. Conduite en état d'ivresse ton compte est bon mon gaillard tu n'es pas près de reconduire pour rejoindre ta soûlarde à Sancoins. Oui c'est vrai que tu n'as plus de permis j'avais oublié.
L'homme arrivait à son niveau et, il le regardait.
- Hé sac à vin tu ferais mieux de regarder ta route. Au fait j'attends toujours ma révérence salopard. Fais attention mon copain, il est complètement cramé ton guide, il risque de te tomber dessus.
- Ça va Pépère, ne t'inquiète pas, en tout cas je suis heureux qu'on me promène.
La suite bientôt.