Le poète s'en alla à la maison pour préparer le panier pour la petite minette. Il passa avant chez ses voisins pour les avertir qu'il la prendrait après manger vers treize heures. Il était content et en passant chez eux avait fait une petite photo pour la montrer aux autres. Elle était couché dans un panier et sur le cliché on voyait qu'elle avait déjà de jolies petites griffes et de longues pattes.
En arrivant il surprit Pépère sous la table couché sur le dos et junk en fasse de lui. En fait il était en plein délire et son copain le prenait en photo sous tous les angles. Il se dirigea à côté et Pépère n'y prêta pas attention tellement il était occupé à ses photos. Il entendit néanmoins le poète parler avec Mimine et Momo.
- Alors les enfants ça dors, regarder ce que je vous ramène tout à l'heure.
Il était en train de leur montrer la petite qu'il avait décidé d'appeler Noisette. Momo regarda Mimine il était content.
- Diantre que cela est plaisant ma chère Mimine nous allons avoir une nouvelle amie de jeux. Je le subodore cela ce voit à son œil malicieux. Si seulement elle pouvait nous remettre le cerveau du schizophréne mythomane en place, qu'elle nous sorte l'épine de la patte il n'en ait nul conteste.
- Oui c'est vraiment super on va bien s'amuser avec elle. Tu la protégeras Momo dit moi.
- Ne vous en souciez pas très chère il n'en fait demeure d'aucun ombrage.
L'homme répartit à côté sa mère commençait à râler de la venue d'un nouveau chat. Elle s'y ferra pensait il.
- Au fait à midi ouvrez le bocal de coq au vin ;
Dit-il tous haut en entrant dans la cuisine.
- Alors mon Pépère que fais tu là tu te rôtis sous la table devant la cuisinière avec ton copain.
- Du coq au vin, comme par hasard, puis après tu nous donneras les rogatons et nous finirons tous alcooliques. Tu vois mon copain nous sommes tombés dans une famille de soûlard.
- Je ne sais pas mon copain regarde la photo de la petite chatte.
Pépère regardait sur l'écran du téléphone et se mit à trembler de tous ses membres.
- Elle arrive quand ?
- Il te l'a dit tout à l'heure tu n'écoutes pas, lâche un peu ton iPhone Leïlânne ne va pas se perdre.
Le poète était déjà ressortit avec un panier en osier à la main.
- tiens il emmene la cage où on a pratiqué sur moi des expériences.
- Qu'est-ce qu'il t'arrive mon copain tu as froid tu trembles ?
- c'est à cause du bois qui craque dans la cuisinière ça met en résonnance un minuscule morceau de bambou que j'ai dans le dos suite aux retombés que j'ai subi pour avoir voulu arrêté la bombe d'Hiroshima. J'avais été contacté par les Japonais pour souffler l'explosion après le largage. J'y suis parfaitement arrivé, un détail pour Pépère. Mais un micro morceaux de bambou m'est tombé sur le dos. Je n'ai pas pu être opéré car le morceau est radio actif mais comme j'ai le sang le plus résistant au monde ça ne me dérange pas. Malgré tout quand il y a du feu proche de moi les vibration de la combustion font des vibrations dessus qui produisent les tremblements de mon corps que tu as constaté. J'ai atténué l'explosion par mille sans pépère la terre n'existerait plus et nous ne serions pas la en train de parler.
- Whaaaaaa mon copain tu as été décoré pour ça.
- Non j'ai préféré le faire anonymement pour aider le Japon.
Leïlânne était dans sa soucoupe et Pépère lui avait tellement envoyé de photos que ses écrans de contrôle en avaient tous disjonctés. Elle lui envoya un message pour lui dire qu'elle serait en retard elle devait se mettre en stationnaire pour faire un reset de ses instruments. Elle regarda sur la mémoire Pépère lui avait envoyé plus de cent vingt photos de lui.
La suite très prochainement
En arrivant il surprit Pépère sous la table couché sur le dos et junk en fasse de lui. En fait il était en plein délire et son copain le prenait en photo sous tous les angles. Il se dirigea à côté et Pépère n'y prêta pas attention tellement il était occupé à ses photos. Il entendit néanmoins le poète parler avec Mimine et Momo.
- Alors les enfants ça dors, regarder ce que je vous ramène tout à l'heure.
Il était en train de leur montrer la petite qu'il avait décidé d'appeler Noisette. Momo regarda Mimine il était content.
- Diantre que cela est plaisant ma chère Mimine nous allons avoir une nouvelle amie de jeux. Je le subodore cela ce voit à son œil malicieux. Si seulement elle pouvait nous remettre le cerveau du schizophréne mythomane en place, qu'elle nous sorte l'épine de la patte il n'en ait nul conteste.
- Oui c'est vraiment super on va bien s'amuser avec elle. Tu la protégeras Momo dit moi.
- Ne vous en souciez pas très chère il n'en fait demeure d'aucun ombrage.
L'homme répartit à côté sa mère commençait à râler de la venue d'un nouveau chat. Elle s'y ferra pensait il.
- Au fait à midi ouvrez le bocal de coq au vin ;
Dit-il tous haut en entrant dans la cuisine.
- Alors mon Pépère que fais tu là tu te rôtis sous la table devant la cuisinière avec ton copain.
- Du coq au vin, comme par hasard, puis après tu nous donneras les rogatons et nous finirons tous alcooliques. Tu vois mon copain nous sommes tombés dans une famille de soûlard.
- Je ne sais pas mon copain regarde la photo de la petite chatte.
Pépère regardait sur l'écran du téléphone et se mit à trembler de tous ses membres.
- Elle arrive quand ?
- Il te l'a dit tout à l'heure tu n'écoutes pas, lâche un peu ton iPhone Leïlânne ne va pas se perdre.
Le poète était déjà ressortit avec un panier en osier à la main.
- tiens il emmene la cage où on a pratiqué sur moi des expériences.
- Qu'est-ce qu'il t'arrive mon copain tu as froid tu trembles ?
- c'est à cause du bois qui craque dans la cuisinière ça met en résonnance un minuscule morceau de bambou que j'ai dans le dos suite aux retombés que j'ai subi pour avoir voulu arrêté la bombe d'Hiroshima. J'avais été contacté par les Japonais pour souffler l'explosion après le largage. J'y suis parfaitement arrivé, un détail pour Pépère. Mais un micro morceaux de bambou m'est tombé sur le dos. Je n'ai pas pu être opéré car le morceau est radio actif mais comme j'ai le sang le plus résistant au monde ça ne me dérange pas. Malgré tout quand il y a du feu proche de moi les vibration de la combustion font des vibrations dessus qui produisent les tremblements de mon corps que tu as constaté. J'ai atténué l'explosion par mille sans pépère la terre n'existerait plus et nous ne serions pas la en train de parler.
- Whaaaaaa mon copain tu as été décoré pour ça.
- Non j'ai préféré le faire anonymement pour aider le Japon.
Leïlânne était dans sa soucoupe et Pépère lui avait tellement envoyé de photos que ses écrans de contrôle en avaient tous disjonctés. Elle lui envoya un message pour lui dire qu'elle serait en retard elle devait se mettre en stationnaire pour faire un reset de ses instruments. Elle regarda sur la mémoire Pépère lui avait envoyé plus de cent vingt photos de lui.
La suite très prochainement