La pauvre minette était arrivée à faire cette photo sans flash sans que son ravisseur ne s'en rende compte. Pépère s'écria.
- Turbo, que pouvons nous faire ??
Dans l'auto de sœur Mathilde, Fripouille s'était installé derrière et Lolo devant et il n'arrivait pas à bien voir la route. Il décida d'enlever sa ceinture de sécurité en regardant la sœur. Il posa ses pattes sur le tableau de bord et senti son téléphone vibré. Il fut surpris et dit tout haut.
- Attendez ma sœur, c'est sûrement Sybage ne partez pas, je lui réponds avant. Chat allô, ha Pépère alors que se passe-t-il. Comment ça son téléphone dans l'herbe. Quoi ? Un chat à un œil, qui est-ce, tu le connais ? Nous partons de sancoins avec sœur Mathilde et Fripouille m'accompagne. Oui, c'est ce que j'ai pensé à quatre, c'est mieux pour enquêter. Oui, sur la route, il y a un parking juste entre les deux, d'accord Pépère.
- Alors mon chat fils, nous partons vers mornay ?
- Oui ma sœur, c'est extrêmement inquiétant, car Pépère avec le cousin de ma chatmoureuse ont trouvé son téléphone abandonné dans l'herbe. Elle a eu le temps de faire une photo et derrière elle, il y a un chat menaçant avec un seul œil. Le pépère va nous rejoindre sur le grand parking le long de la nationale vous pouvez partir ma sœur.
À peine eut-il fini sa phrase que la sœur démarra comme une folle en coupant la route à une voiture qui venait dans l'autre sens. Elle regarda Lolo et lui dit.
- Vous ne voyez pas besoin de ceinture avec moi. Toi espèce de conducteur d'occasion va te faire cuire un œil d'autruche dans une poêle à crêpes. Aller de la bonne zic pour conduire lacrim à donff.
Elle prit la nationale et se mit à rouler à une vitesse hallucinante. Lolo regardait la route et vit l'entrée d'un rond-point limité à soixante-dix kilomètres heures. Il regarda le compteur de l'auto, il indiquait cent vingt kilomètres à l'heure. Le pauvre eut très peur et cria. Moins vite ma sœur. Il n'eut pas le temps de finir que la voiture fit un tête-à-queue complet avant de se retrouver dans le bon sens. La sœur avait un sourire jusqu'aux oreilles.
- Youpi, vous avez vu Lolo, les salopards ont mit des peaux de banane sur la route, mais c'était sans compter sur l'adresse de sœur Mathilde qui a donné des cours à Alain Prost dans sa jeunesse. Allez, ma cocotte fais moi plaisir fait moi rougir le capot, vite à mornay.
Fripouille avait fini par se rouler en boule et n'osait plus bouger. Il sentait la vitesse de la voiture et il était terrorisé.
À mornay dans le chalet, le poète après avoir mangé sa tarte aux pommes décida de se coucher. Le calme était revenu et il s'allongea à côté du petit chat qui faisait des ronrons. Il se demandait qui avait bien pu déposer ce chat devant sa porte. À côté dans le pré, la jument se reposait et elle entendit comme des bruits derrière sa maison, elle regardait si Lucie dormait et elle décida de sortir voir ce qui se passait. C'étaient les agents du pentagone qui étaient en train de mettre des caméras infrarouges, selon les ordres de leurs chefs. Cookie à peine sortie sentait comme une présence derrière la cabane. La première idée qui lui vint fut, Pépère. Elle se dépêcha d'aller voir qui s'était et surpris les agents. Sa colère fut terrible et elle se mit au galop derrière les hommes qui tentaient de courir plus vite que le cheval.
- Hiii fuyez bandit, hiii vous venez me filmer pendant mon sommeil, hiii brigand, vous vous croyez où, ici chez le cheval story, hiii, c'est Pépère qui vous envoie hiiii je vais vous corriger hiiii.
Les hommes n'eurent que le temps de franchir la clôture électrique et Cookie s'arrêta juste derrière. De son chalet, le poète qui commençait à peine de se rendormir, s'éveilla brusquement.
- Qu'est-ce qui se passe encore dehors. Ce n'est pas bientôt fini cette histoire. Rendors toi petit minet ne t'inquiète pas.
Devant la maison où un œil faisait déjà des plans sur la comète, les deux chats étaient toujours à scruter autour de la barrière à la recherche d'indice. Un œil vit par le carreau un faisceau de lumière et il en fut surpris. Il se dépêcha d'éteindre la lumière et se précipita vers Sybage pour lui donner l'ordre de se taire sous la menace de représailles. La pauvre minette était impuissante et n'eut que le choix de se taire. Devant la maison Pépère prit la parole.
- Écoute mon copain, nous avons besoin de renfort et nous allons rejoindre Lolo et Fripouille sur la nationale pour les retrouver et mettre ensemble un plan d'action et...
Il n'eut pas le temps de finir. Turbo écoutait la jument s'agiter et lui dit.
- Pépère que se passe-t-il, la bestiole elle s'agite, maman moi peur, et si s'était le monstre qui mangeait sa maison.
- Oui, tu as raison mon copain, il faut faire extrêmement attention. Surtout que le gozila vient de manger un ragoût de coussinets de bielles. Alors méfiance car, je me souviens la dernière fois l'autre monstre était arrivé à dévorer une habitation non loin de là et avait fini par décorer le camion des pompier qui avait été appelé pour secourir les pauvres bougres de l'habitation dévastée. Nous allons prendre ma voiture pour chercher mes deux meilleurs agents. Dépêchons-nous, car il y a urgence pour ta cousine en priorité et mes textes inestimables après heu, quoi que.
Selon les directives à Pépère, ils passèrent par la forêt pour rejoindre le terrain du poète. Très intrigué de voir qu'il y avait encore de la lumière dans le chalet, Pépère après avoir démarré l'auto et installé Turbo pour prendre la fuite au plus vite partit coller sa tête derrière le carreau. Il vit le chaton sur le lit et l'homme téléphone en main et se fit surprendre. Pépère perdit l'équilibre de sa chaise et se retrouva au sol et il entendit son maître dire.
- Si chérie des bruits dans le champ et... Non la grosse tête à Pépère derrière le carreau.
Lui, Pépère se précipita dans la voiture. Si bien que l'homme qui était sorti précipitamment avec une lampe torche le vit disparaître dans le faisceau étant donné que la voiture lui était invisible comme l'hélicoptère et les caisses à poulet.
- Vite mon copain, car le monstre est sur le point d'être lâché. J'ai vu ma soupière orléanaise décorer au ciment de Tombouctou qui était de lui affûter les dents avec une lime à métaux de trente centimètres de large.
La voiture partit à toute vitesse et arrivée à l'entrée du terrain, elle partit en glissade et passa à travers la haie pour finir proche de la maison à Cookie et le Pépère tomba dans son caca. Il partit en courant dans la cabane et prit de la paille pour s'essuyer et tomba devant Cookie. Il se tourna précipitamment et lâcha un énorme pet puant et répartit plein de Caca dans la voiture et répartit à toute vitesse vers la route en disant à Turbo.
- Je n'ai eu le temps que de m'essuyer et de présenter mes hommages à ma copine Cookie, je suis parfaitement propre, c'est parti attention chatmareur, est de retour.
- Turbo, que pouvons nous faire ??
Dans l'auto de sœur Mathilde, Fripouille s'était installé derrière et Lolo devant et il n'arrivait pas à bien voir la route. Il décida d'enlever sa ceinture de sécurité en regardant la sœur. Il posa ses pattes sur le tableau de bord et senti son téléphone vibré. Il fut surpris et dit tout haut.
- Attendez ma sœur, c'est sûrement Sybage ne partez pas, je lui réponds avant. Chat allô, ha Pépère alors que se passe-t-il. Comment ça son téléphone dans l'herbe. Quoi ? Un chat à un œil, qui est-ce, tu le connais ? Nous partons de sancoins avec sœur Mathilde et Fripouille m'accompagne. Oui, c'est ce que j'ai pensé à quatre, c'est mieux pour enquêter. Oui, sur la route, il y a un parking juste entre les deux, d'accord Pépère.
- Alors mon chat fils, nous partons vers mornay ?
- Oui ma sœur, c'est extrêmement inquiétant, car Pépère avec le cousin de ma chatmoureuse ont trouvé son téléphone abandonné dans l'herbe. Elle a eu le temps de faire une photo et derrière elle, il y a un chat menaçant avec un seul œil. Le pépère va nous rejoindre sur le grand parking le long de la nationale vous pouvez partir ma sœur.
À peine eut-il fini sa phrase que la sœur démarra comme une folle en coupant la route à une voiture qui venait dans l'autre sens. Elle regarda Lolo et lui dit.
- Vous ne voyez pas besoin de ceinture avec moi. Toi espèce de conducteur d'occasion va te faire cuire un œil d'autruche dans une poêle à crêpes. Aller de la bonne zic pour conduire lacrim à donff.
Elle prit la nationale et se mit à rouler à une vitesse hallucinante. Lolo regardait la route et vit l'entrée d'un rond-point limité à soixante-dix kilomètres heures. Il regarda le compteur de l'auto, il indiquait cent vingt kilomètres à l'heure. Le pauvre eut très peur et cria. Moins vite ma sœur. Il n'eut pas le temps de finir que la voiture fit un tête-à-queue complet avant de se retrouver dans le bon sens. La sœur avait un sourire jusqu'aux oreilles.
- Youpi, vous avez vu Lolo, les salopards ont mit des peaux de banane sur la route, mais c'était sans compter sur l'adresse de sœur Mathilde qui a donné des cours à Alain Prost dans sa jeunesse. Allez, ma cocotte fais moi plaisir fait moi rougir le capot, vite à mornay.
Fripouille avait fini par se rouler en boule et n'osait plus bouger. Il sentait la vitesse de la voiture et il était terrorisé.
À mornay dans le chalet, le poète après avoir mangé sa tarte aux pommes décida de se coucher. Le calme était revenu et il s'allongea à côté du petit chat qui faisait des ronrons. Il se demandait qui avait bien pu déposer ce chat devant sa porte. À côté dans le pré, la jument se reposait et elle entendit comme des bruits derrière sa maison, elle regardait si Lucie dormait et elle décida de sortir voir ce qui se passait. C'étaient les agents du pentagone qui étaient en train de mettre des caméras infrarouges, selon les ordres de leurs chefs. Cookie à peine sortie sentait comme une présence derrière la cabane. La première idée qui lui vint fut, Pépère. Elle se dépêcha d'aller voir qui s'était et surpris les agents. Sa colère fut terrible et elle se mit au galop derrière les hommes qui tentaient de courir plus vite que le cheval.
- Hiii fuyez bandit, hiii vous venez me filmer pendant mon sommeil, hiii brigand, vous vous croyez où, ici chez le cheval story, hiii, c'est Pépère qui vous envoie hiiii je vais vous corriger hiiii.
Les hommes n'eurent que le temps de franchir la clôture électrique et Cookie s'arrêta juste derrière. De son chalet, le poète qui commençait à peine de se rendormir, s'éveilla brusquement.
- Qu'est-ce qui se passe encore dehors. Ce n'est pas bientôt fini cette histoire. Rendors toi petit minet ne t'inquiète pas.
Devant la maison où un œil faisait déjà des plans sur la comète, les deux chats étaient toujours à scruter autour de la barrière à la recherche d'indice. Un œil vit par le carreau un faisceau de lumière et il en fut surpris. Il se dépêcha d'éteindre la lumière et se précipita vers Sybage pour lui donner l'ordre de se taire sous la menace de représailles. La pauvre minette était impuissante et n'eut que le choix de se taire. Devant la maison Pépère prit la parole.
- Écoute mon copain, nous avons besoin de renfort et nous allons rejoindre Lolo et Fripouille sur la nationale pour les retrouver et mettre ensemble un plan d'action et...
Il n'eut pas le temps de finir. Turbo écoutait la jument s'agiter et lui dit.
- Pépère que se passe-t-il, la bestiole elle s'agite, maman moi peur, et si s'était le monstre qui mangeait sa maison.
- Oui, tu as raison mon copain, il faut faire extrêmement attention. Surtout que le gozila vient de manger un ragoût de coussinets de bielles. Alors méfiance car, je me souviens la dernière fois l'autre monstre était arrivé à dévorer une habitation non loin de là et avait fini par décorer le camion des pompier qui avait été appelé pour secourir les pauvres bougres de l'habitation dévastée. Nous allons prendre ma voiture pour chercher mes deux meilleurs agents. Dépêchons-nous, car il y a urgence pour ta cousine en priorité et mes textes inestimables après heu, quoi que.
Selon les directives à Pépère, ils passèrent par la forêt pour rejoindre le terrain du poète. Très intrigué de voir qu'il y avait encore de la lumière dans le chalet, Pépère après avoir démarré l'auto et installé Turbo pour prendre la fuite au plus vite partit coller sa tête derrière le carreau. Il vit le chaton sur le lit et l'homme téléphone en main et se fit surprendre. Pépère perdit l'équilibre de sa chaise et se retrouva au sol et il entendit son maître dire.
- Si chérie des bruits dans le champ et... Non la grosse tête à Pépère derrière le carreau.
Lui, Pépère se précipita dans la voiture. Si bien que l'homme qui était sorti précipitamment avec une lampe torche le vit disparaître dans le faisceau étant donné que la voiture lui était invisible comme l'hélicoptère et les caisses à poulet.
- Vite mon copain, car le monstre est sur le point d'être lâché. J'ai vu ma soupière orléanaise décorer au ciment de Tombouctou qui était de lui affûter les dents avec une lime à métaux de trente centimètres de large.
La voiture partit à toute vitesse et arrivée à l'entrée du terrain, elle partit en glissade et passa à travers la haie pour finir proche de la maison à Cookie et le Pépère tomba dans son caca. Il partit en courant dans la cabane et prit de la paille pour s'essuyer et tomba devant Cookie. Il se tourna précipitamment et lâcha un énorme pet puant et répartit plein de Caca dans la voiture et répartit à toute vitesse vers la route en disant à Turbo.
- Je n'ai eu le temps que de m'essuyer et de présenter mes hommages à ma copine Cookie, je suis parfaitement propre, c'est parti attention chatmareur, est de retour.
