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Pépère le chat du poète. Suite. 31 décembre.

#1
À l'entrée de Mornay, la caravane brûlait toujours dans le fossé. Les nez rouges eux pendant ce temps faisaient cuire des grillades et des merguez dans les flammes du véhicule l'un des homme qui alimentait le feu en polystyrène affirmait que ça donnait du goût. Un autre groupe s'était mis en charge de donner du café aux automobilistes arrêtés. Ceux qui avaient un gilet dans la voiture s'en sortaient bien. Les autres par contre avaient un café additionné de laxatif. Cela amusait beaucoup les nez rouges et à chaque café pollué distribué, ils buvaient un verre de villageoise en criant, vas-y Lucien plus du plastique dans le barbecue, vas-y Lucien met un pneu dans le barbecue lol. Et ils mangeaient les merguez et les grillades avec appétit. Ils avaient décidé de fêter le trente et un décembre sur les lieux et ils étaient déjà à l'apéritif bien qu'il ne fut que onze heures. Les pauvres voyageurs de passage sur la route n'en pouvaient plus d'être dans les fumées du barbecue improvisé.
Les Américains dans le champ avec le vent récupéraient toutes les émanations de ce repas festif. Ils étaient extrêmement énervés et cela les perturbait dans le montage d'un deuxième pylône contre la cabane à Cookie. Ils avançaient doucement et le poète ayant entendu le bruit et l'agitation du barbecue était sorti pour voir ce qui se passait. Le Pépère qui avait disparu devant Sybage était en fait dans l'hélicoptère et il regardait le poète sur la plate-forme devant la cabane. Les Américains finirent par abandonner à cause de la fumée et partirent dans leurs tentes. Le poète tenta un dernier appel pour essayer de retrouver le Pépère. Gamin, tu es là, viens manger les bonnes croquettes. Le chat le regardant de l'appareil invisible à ses yeux finit par répondre.
- Tu n'as pas fini de me surveiller figure de crotte de nez mal peigné. Les croquettes de la mère gendarme qui a perdu sa drogue dedans, tu peux t'en faire des toasts pour l'apéritif espèce d'alcoolique. Tu veux que je te dise ce que font les gaillards en face. Ils sont en train d'analyser les crottes de la bougresse pour savoir si tu ne l'as pas trop polluée avec tes saloperies chimiques. Bon ce n'est pas tout ça pendant que certains descendent des fûts de vin d'autre sont en mission, salut poivrot, je vais à Paris, et bonjour à la villageoise.
Le Pépère disparut définitivement de Mornay et se retrouva derrière la voiture. Il claqua de la patte et le temps reprit son cours. Le poète n'en revenait pas que les hommes soient revenus un trente et un décembre. Il rentra dans sa cabane et reprit son écriture. Dans la cabane, Chatdore entendait les hommes derrière la cloison. Il se demandait ce qu'ils faisaient et il sortit pour regarder. C'est là qu'il vit la structure métallique. Il partit aussitôt en informer Cookie. Celle-ci se leva et partit voir. Elle était furieuse.
- Hiii ça recommence, hiii et ma tranquillité hiii. Je ne peux même pas prendre une douche ou me faire les ongles sans être dérangée hiii pirate hiii bandit, je vais détruire cet installation hiii.
C'est ainsi qu'elle se mit en colère et tapa sur la base des deux sabots arrières en ruant autant qu'elle le pouvait. Sous la force des coups, l'antenne se mit à pencher et finit par tomber au milieu des tentes. Les Américains couraient dans tous les sens en criant des, fucking horse Android...
Le Pépère arriva vers Pêcheur et lui dit.
- Le pneu est parfaitement gonflé repartons ensemble au commissariat récupérer Nicolas Sarkozy et Carla avec le Doc.
Pépère se rassit sur le siège et Pêcheur repris le volant.
- Toc toc toc, je conduis toc toc toc mon bec ne craint rien toc toc toc, c'est génial de rouler toc toc toc,toc toc toc, toc toc toc yesssss.
Tout le monde était pressé, car chacun devait allé préparé sont réveillon. Le président était inquiet de louper son avion pour.... Lolo et Turbo de ne pas avoir de dinde. Le Pépère dit au président.
- Vous serez à l'heure pour votre réveillon ne vous inquiétez pas monsieur Macron. Moi, ce soir, je mange du gigot avec mon soûlard et sa compagne lui a fait un fondant aux chocolats façons maisons. Elle l'a préparée dans son gourbi, il y a déjà dix jours, je ne vous raconte pas la tronche du moelleux.
- C'est un très bon désert, le fondant au chocolat. Pourquoi dites vous façon maison, elle eut un secret de préparation que personne ne connaît ?
- Oui laissez moi vous expliquer le déroulement. C'était un lundi, ce jour-là, il prétexte aller voir son psychologue. En fait, c'est un prétexte. Il va en Iran pour sa commande d'armes de destruction massive. Il s'y rend avec un avion privé que lui prête un émir saoudien en échange d'achat de bazooka à prix coûtant. Pour l'histoire, ces bazookas sont faits en Chine par des chiens de race saint-bernard. Donc, il s'en va là-bas et elle arrive dans le gourbi avec un casier de six bouteilles de villageoise. Moi, je me reposais d'une terrible mission où Fripouille m'avait sauvé de la noyade. Une heure après être arrivée, je l'entends se plaindre que le vin se serait évaporé tout seul des bouteilles. Elle me dit comme ça, mon gentil minet, tu vas venir en course avec moi. Prend le harnais pour m'aider à tirer le caddie dans le magasin, car je suis exténuée. Tu le mettras là-bas qu'elle me dit, tu n'en as pas besoin dans la voiture, ce à quoi, j'ai répondu, ça dépend soûlarde si tu couches la voiture au fossé, bref. Nous partons avec la chatlauréanne. Elle charge dans le chargeur de microsillons, des soixante-dix-huit tours de messe. Oui, c'est un autoradio fait maison par mon alcoolique. Une espèce de radio avec des tubes à galène et un chargeur de disque soixante-dix-huit tours. Nous partons à Sancoins en roulant en zigzag vous vous doutez bien. Elle met la musique et j'ai été content, car j'ai pensé au début qu'elle mettrait du rap. Hé bien, j'ai eu le droit à des chants grégoriens chantés en Allemand et en Japonais. Arrivé au magasin, je mets le harnais et tire le caddie comme un chien d'aveugle pour l'aider à marcher droit. Elle s'en va directement dans le rayon des vins et remplit le caddie. Ensuite, elle me dit, mon gentil minet, je vais faire un moelleux au chocolat pour le réveillon du premier de l'an. Je n'ai rien dit, elle a pris, de la moutardes, des radis noirs, du poivres et des biscottes et un pot de nuttela. Revenu dans le gourbi après avoir bu deux bouteilles en conduisant, elle s'affaire à sa préparation. Elle a écrasé dans le moulin à café de mon poivrot, les radis avec le poivre et la moutarde. Elle a disposé le tout dans un plat et à émietté les biscottes dessus avant de napper le tout avec le Nutella. Elle était embêtée, car elle n'avait pas de four. C'est là qu'elle a eu une idée. Elle a démarré la voiture et posé le plat sur le moteur après avoir ouvert le capot. Elle a refermé le capot sur le plat et le gâteau à cuit sur le moteur de ma pauvre chatlauréanne transformée en four. Voilà l'histoire donc, je pense qu'il va être fameux le gâteau après avoir cuit dans les valeurs de gasoil.
Le président le regardant lui dit.
- C'est à peine croyable, que pouvons nous faire ?

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#2
Hi hi je préfère ne pascanner de dessert que le fondant au chocolat que vous décrivez
Amicalement et a demain
Bonne fin d'année
Gaby