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Pépère le chat du poète. Suite. 31 août

#1
Les deux créatures à Mornay étaient à présent persuadés que Pépère était celui qu'ils cherchaient. Turbo n'en revenait pas et il était impatient du départ des deux extraterrestres pour aller voir sa cousine et lui en parler à sa façon propre.
- Savez-vous où nous pouvons trouver Pépère premier monsieur Lolo ?
Dit l'un d'eux.
-Il est actuellement avec le pape sur la commune voisine. Il est avec ses coéquipiers Fripouille et Lolo dont je suis actuellement avec en contact. Il doit protéger l'homme qui a reçu des menaces de la part des terroristes irakiens, c'est ce qu'il me dit.
- Tu as entendu Trakyl, il est avec un usurpateur. Bon, j'espère que ce n'est pas trop grave et qu'il n'a pas été contaminé par les fadaises de ses saintes paroles pour cerveaux plats. Monsieur Turbo, nous allons vous laisser et partir rejoindre notre vaisseau.
Les deux créatures reprirent le chemin du bois et disparurent dans la brume du soir qui déjà comme une couverture de soie pleuvait du ciel. Turbo resta un moment immobile et repartit l'air songeur vers la maison espérant voir sa cousine. Dans le pré, les juments de leur peur retinrent un rapprochement intime et maintenant elles étaient amies et se promenaient dans le pré et regardaient la soucoupe.
- Hii tu vois Lucie, je suis sûr que cet objet va vers le paradis des chevaux hii. Ces deux extraterrestres sont gentils, tu vois plus que nos humains hii.
- Dit Cookie, tu crois que mon petit qui est décédé est au paradis des chevaux ?
- Hii oui Lucie. Écoute, tu vas hennir très fort et si les nuages te répondent par un écho, c'est qu'il est bien là-bas.
Lucie émit un long hennissement et le silence du ciel lui renvoya l'écho de son cri. Les deux juments comprirent le message céleste et leurs yeux devinrent mouillés.
Sur le parking à Sancoins l'alcool aidant sœur Mathilde était de plus en plus agacée contre le brigadier Tatouvu. Elle avait beaucoup de mal à comprendre ce qu'il disait. Elle vit passer derrière elle une xsara grise et rouge. Elle se dit dans sa tête.
- Hé bien, c'est du joli, il est déjà libre celui-ci. J'ai compris, il va faire le plein si j'avais su j'aurais tout pris le whisky. C'est malin si j'en ai besoin d'une autre bouteille, il n'y en aura plus. Puis tout haut. Bon alors brigadier t'a tout bu, j'ai l'impression que tu es complètement cramé et pour débusquer l'autre tordu là-haut, il faut que je compte sur sœur Mathilde.
- Écoute la bonne, hic, j'ai dix ans d'expérience dans l'agrégation des mars au chocolat. Tes infections, tu peux te les garer ou je France jusqu'aux oreilles. Non mais culbute d'un gendarme dans l'atrocité de ses végétations. Ma gaillarde ton compte est bon.
- Bon, écoute face de betterave épilée au ciseau à bois d'occasion. Gendarme où pas, je vais te dresser la couenne sévère. Non mais parler à sœur Mathilde de cette façon je vais te faire manger tes crottes de nez avec du Nutella en toast au petit-déjeuner et tu feras moins le malin non mais face de képi mal brossé !!!!
À la brasserie, les ronflements du pape étaient à nouveau de retour et le ministre soufflait en regardant le Pépère.
- Oui, je sais mon pauvre, je n'ai pas toujours une vie facile, j'en conviens.
Lui dit le Pépère, et le ministre lui répondit.
- Oui je vois ça et après cette histoire de parabolapépère avez-vous été un peu tranquille au moins.
- Hé bien malheureusement non mon pauvre, j'ai été utilisé comme mécanicien pour réparer sa poubelle montée sur roue. Je cite une créno taguna *.
- Ha bon mécanicien hé bien dites donc. Lui dit le ministre.
- Oui mon pauvre que voulez vous. Voilà pour fêter la cabane du chien avec sa poivrote il décide d'aller en course. Ses amis boit-sans-soif étaient tous invité et il est reparti de Sancoins après avoir chargé l'équivalent en alcool des habitants d'une ville moyenne. Ce n'est pas compliqué sa poivrote n'a même pas pu monter dans la voiture. Elle m'avait gardé à la brigade et elle m'a dit. Tiens mon joli minet, tu veux des croquettes de toutous ? Et elle m'a servie des espèce de fèves desséchées et complètement moisies. Résultat, j'ai vomi partout et contraint de nettoyer de fond en comble la gendarmerie pendant qu'elle buvait de la villageoise en cubitainer acheté chez neto à 2 euros les 5 litres. Pour l'anecdote, elle a bu le bidon en une seule gorgée. Que voulez-vous, c'est des alcooliques. Puis son téléphone a sonné. C'était mon poivrot d'URSS bourré de rhum, en panne sur le bord de la route. Ho mon joli minet qu'elle me dit, tu vas nous rendre un service. Et voilà comment je me suis retrouvé avec un harnais et contraint de tirer sa poubelle qui contenait un village de boisson sur 10 kilomètres sans boire et sans un arrêt. Eux, assis sur le capot, en train de vider des centaines de canettes de bière. Arrivé sur le terrain, j'ai eu le droit à un dé à coudre d'eau et des rogatons de nourriture. J'ai ensuite été utilisé pour ma force pour remplacer le moteur pendant que sa poivrote et lui en buvant des verres de vinasse me commandaient. Voilà et encore attendez la suite.
- Ha bon mon pauvre, que pouvons nous faire ?

* nom d'empreint

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