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Pépère le chat du poète. Suite. 27 novembre

#1
Cookie et Lucie avaient enfin retrouvé la tranquillité des lieux. Le fait que le Pépère était avec les Américains les avait calmés. Chatdore était reparti vers sa maison pour aller manger. Turbo suivi les juments dans la cabane sous les yeux de l'homme qu'avait croisé Sybage et qui était revenu voir le campement. Il avait emporté avec lui des jumelles et il observait les évènements. Par l'entrebâillement de la tente, il vit le Pépère pattes croisées qui avait un verre à côté de lui une paille dedans. Il parlait tout bas et s'écria.
- J'ai compris le chat là-bas, c'est un agent du fbi déguisé en chat et c'est lui que j'ai croisé dans le bois l'autre jour. Je le savais bien, donc le cheval marron doit être un complice et c'est lui qui est venu poser des micro dans ma chambre. Bon fume une cigarette pour te calmer François. Je vais rechercher le numéro de l'élysée pour prévenir Macronche du danger pour le pays. Je suis sûr qu'il prépare un attentat.
De la cabane, Turbo voyait l'homme et le dit aux juments.
- Hiii qui c'est encore hiii un cacateux sûrement hiii. Bandit, pirate hiii.
Turbo qui avait entendu ses paroles répondit.
- C'est un chat déguisé en humain et je lui est parlé tout à l'heure. Il est un agent du fbi et travaille avec lui sur le dossier du poivrot d'à côté. D'après ce que je comprends l'homme d'à côté terrorise la population et s'est fait arrêter récemment et il a été relâché.
En fait Turbo avait lu sur l'internet les informations régionales et il rapportait les événements à son histoire.
- C'est Pépère qui en parle sur sa chaîne de télévision. Son maître, est un trafiquant international, d'armes de destruction massives. L'homme en face est un chat sous les ordres de Pépère.
Et lui le Pépère pendant ce temps...
Moi pendant ce temps, j'attendais dans la chatlauréanne avec la messe dans les oreilles. Attendez la suite, c'est l'horreur, vous verrez.
Après avoir expédié le monstre à la brigade de gendarmerie. Ne vous leurrez pas, si sa soûlarde l'a envoyé là-bas ce n'est pas pour la mettre en dégrisement. C'est parce que c'est une poivrote comme eux et elle doit avoir un carnet d'adresses pour de l'alcool pas cher. Et puis sa comparse a du là retrouver après pour boire avec elle. Donc, après avoir expédié le monstre vers la brigade, ils se sont mis, plutôt mon soûlard s'est mis à manger des crêpes, car sa comparse a picolé et s'est fait payer le coup gratuit sous prétexte que le bar avait servi le monstre alors qu'il était ivre. J'ai compté les crêpes, là d'où j'étais à part écouter la messe, c'est tout ce que j'avais à faire, mon irradié de Tchernobyl enrichi au dégrippant pour soupapes, en a manger trente-sept, oui vous entendez bien trente-sept. Ensuite, sa comparse est sortie et repartie vers la brigade, je précise en marche arrière, je ne vous fais pas de dessin, complètement imbibée. Elle a même prise le rond-point à l'envers ce n'est pas pour dire, bref. Lui, est arrivé à la voiture la bouche encore pleine de crêpe. Après avoir expédié le monstre à la brigade de gendarmerie. Ensuite, j'ai eu les fils du ventilateur à tenir en attendant que ça démarre. Il s'est énervé, car le démarreur ne marchait pas, il me dit, viens mon gentil minet, tu vas tourner la clef et tenir les fils sous le neman en même temps pendant que je tape sur le démarreur pour le décoller. Il est descendu et a pris dans le coffre une espèce de marteau d'au moins 20 kilos. Je me suis dit, mon Loulou, tu as de la chance, il va finir de la mettre en panne et tu n'iras pas chez le nesal, et il hurlait actionne la clef, vas-y Pépère, vas-y pépère. J'ai été écœuré, la voiture a démarré. Oui, mais elle raclait le sol en roulant. Mon sagouin, décoloré au liquide de refroidissement, avait cassé le bocal d'huile hydraulique et la suspension était hs. Il me dit ne t'inquiète pas mon gentil minet un ami va me dépanner. Ne pas m'inquiéter, que je lui aie dit, en le regardant méchamment, tu as massacré ma chatlauréanne espèce d'ivrogne. Vingt minutes plus tard, un type est arrivé et a remorqué ma pauvre voiture qu'il avait mise en guenilles. Nous arrivons et le gars lui dit, pas de problème, je vais te monter deux essieux provisoires. Rentre à la maison boire un verre, ma sœur va te payer le canon. Moi, j'ai attendu dans la cuisine le regardant manger et boire. Son ami, est revenu et lui a dit, c'est bon, passe dans la grange, je vais te prêter un escabeau pour monter dedans. Le gars avait monté dessous deux essieux de diligence, oui monsieur de diligence. C'est ainsi que nous sommes parti chez le nesal. Il fut très content mon soûlard, car sa voiture était plus haute et il m'a dit. Tu vois mon gentil minet nous passons au-dessus des autres donc nous serrons arrivé très vite. Et il s'est mis à rouler comme un fou par-dessus les autres voitures, j'avais envie de vomir, car la voiture sautait sur la route. Arrivé chez le nesal, il avait oublié la hauteur et il est tombé de la voiture se facturant le nez. C'est ainsi que j'ai attendu une heure dans la voiture avec le chant grégorien en boucle pendant que le nesal lui reparaît le nez. Il m'a ensuite descendu avec l'escabeau et m'a laissé au soit disant médecin du nez qui avait un accent allemand très prononcé et m'a dit. Ha grosse minet, son nez sabotage eee, une terr roriste l'a sûrement agress ssé. Et l'autre est parti me laissant avec mon désespoir et attendez la suite, c'est horrible.

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