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Pépère le chat du poète. Suite. 23 octobre

#1
- Merci mon ami, tu m'as sauvé la vie alors si tu as besoin d'un téléphone, je t'offre l'ipomme, j'ai déjà un Chatmsung. Laisse-moi simplement le temps de récupérer mes fichiers et les photos de mes amours.... Leïlanne était contente de son intervention auprès de Turbo. Sans elle, le pauvre chat n'aurait pas pu manœuvrer l'hélicoptère et se serait sûrement écrasé, sur la cabane à la pauvre Cookie qui était totalement exaspérée de l'attitude de Pépère. Liettuje, continuait sa route en direction de Sancoins et furetait en même temps sur ses écrans l'activité d'Elchatponne dans sa prison. Le chat le plus recherché par la police était maintenant rendu à l'évidence qu'il ne voulait plus continuer cette vie d'errance. Malgré tout, il voulait faire un coup d'éclat avant de partir en Italie. Pour le moment, il continuait d'envoyer des messages à un œil comme si de rien n'était. Il savait maintenant qu'il ne se vengerait pas sur Pépère. En plus sa rancœur qui datait depuis déjà un moment pour une minette que lui avait soufflé Pépère n'avait plus de raison pour lui. Ce brusque changement de ses opinions était dû à l'intervention de Liettuje pour la sécurité de Pépère. Elle se dit que tout allait bien et continua vers la ville rejoindre Leïlanne qu'elle n'avait pas revue depuis son voyage avec elle et le poète dans les sous-sols de Mercure. À la casse de Mornay, l'ambiance était à l'orage. La pauvre sœur ne savait plus où donner de la tête. Le chien qui était dans la camionnette des gendarmes avait fini par mettre le tableau de bord en morceaux après avoir démonté à coup de crocs les portables des gendarmes qui étaient dedans. La sirène s'était mise en marche avec les gyrophares et cela excitait l'animal qui avait vraisemblablement décidé de mettre la voiture en pièces détachées pour corriger les auteurs de s'être permis de rentrer chez lui. Le brigadier vint demander assistance à la sœur pour se mettre à l'abri.
- Madame, Laissez-moi entrer dans votre voiture avec mes hommes si le t-rex ressort de la voiture nous sommes morts, vite madame.
- Tu as de la chance pied de veau caramélisé à la moutarde australienne que sœur Mathilde a un bon cœur. Tu vas rentrer, mais surtout, tu ne me parles pas trop près du visage, car je sens déjà ton haleine de chameau du pôle Sud.
La brave nonne, ouvrit les portes et les hommes entrèrent dans l'auto. Le brigadier devant et les deux hommes derrière. Les deux agents claquaient si fort des dents qu'ils étaient arrivés à faire pleuvoir toutes les feuilles d'un noyer qui était sur le parterre à côté du parking à cause des vibrations. Ils étaient toujours dans le même état et aussi bleus que leurs uniformes. La vibration de leurs mâchoires faisait trembler tout l'habitacle. Le brigadier prit la parole.
- Hé, je vous reconnais vous êtes sœur Mathilde. Je vous remercie, brave femme de nous avoir sauvé et de votre salut amical le long du canal tout à l'heure. Avez-vous un téléphone ? Pour prévenir, les CRS, le GIPN, la BRB pour faire déclencher le plan épervier et la menace terroriste pour neutraliser le monstre derrière nous. Avez-vous aussi, à tout hasard, de l'anti-peur ?
- Écoute l'espèce de navet anglais poussé dans le kérosène, je suis peut-être une bonne sœur de 82 ans, mais je suis branchée alors, j'ai un mp3, un ipomme, un GPS, un pc portable, Twitter, Facebook, Snapchat, Kik, treize boîtes mail, alors, je peux prévenir qui tu veux OK men. Deuxièmement, le geste amical, comme tu le supposes était un doigt d'honneur qui disait, fuck la police. Troisièmement, j'ai de l'anti-peur, de bonnes bouteilles de villageoise dans la boîte à gants.
Disant ceci, elle l'ouvrit et fit la distribution.
Un œil était toujours dans la haie. Il écoutait la sirène des gendarmes. Les Américains étaient dans un état de surexcitation hallucinante et la pauvre Cookie avait fini par se lever et elle hennissait tant qu'elle le pouvait. Les Américains étaient dans un état de surexcitation hallucinante et la pauvre Cookie avait fini par se lever et elle hennissait tant qu'elle le pouvait. L'appareil était muni de caméras infrarouges et il pouvait scruter le sol comme en plein jour. Il vit le poète qui était sorti pour voir ce qui se passait dehors.
- Tiens min ivrogne saturnien de Colombie occidentale trafiqué à la peinture d'Irak, est levé pour voir si ce sont ses hallucinations qui le reprennent ou si les événements sont réels. Regarde des phares dans le fossé, c'est sa soûlarde. Le harnais est dans l'avion direction Tahitie, alors, vas te faire cuire un œuf de cochon Ukrainien irradié à la l'alcool de fraise transgénique OK.
En fait, s'était un des Américains qui était stationné avec sa jeep dans le fossé et scrutait le ciel en direction de l'hélicoptère qui était invisible pour lui. Le Pépère avait laissé le hublot ouvert et par moment dans ses jumelles thermiques, il voyait la grosse tête du Pépère flotter dans les nuages. Il était totalement désorienté par ce spectacle. Ce sacré chat, continuait sa prospection.
- Impossible de retrouver ce sacré chat ce n'est pas possible comment allons nous faire.
- Au fait, qui sont tes amours, Pépère ? Je peux regarder ?
- Oui, si tu veux mon copain.
Turbo ouvrit le fichier et Pépère à côté de lui ne pouvait plus piloter normalement. Sous ses yeux défilaient, des poulets, des côtelettes, des rôtis, des cuisses de dinde...
- Stop!!! Nous allons manquer d'énergie vite atterrissons et nous en profiterons, pour aller manger, j'ai faim, j'ai faim.
Screenshot_20181023_193814.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Merci Daniel pour ce nouvel épisode de votre pépère.
Je suis friande de cette histoire et j'attends demain avec impatience.
Amicalement
Gaby