Cookie était curieuse de savoir ce que Momo, avait à lui annoncer. Elle réveilla Lucie qui ne comprenait pas trop ce qui se passait.
- Qu'est-ce qu'il se passe encore, nous ne pouvons pas dormir à la fin !!
- Momo à quelque chose d'important à nous dire, hiii, je crois que c'est par rapport au cacateux, hiii.
- Non mon amie, il n'en est rien, c'est entre nous, une affaire de kidnapping. Voilà, j'ai été fureté vers la maison qui loge au bout de la rue. Il y avait de la lumière en ses murs et cela ne m'a pas paru habituelle. En effet, le résident de cet endroit est actuellement dans un établissement pour personnes âgées. J'ai donc été jeter un œil à travers les vitre afin d'y voir un peu ce qu'il s'y tenait. Hé bien, mes amis, c'est une catastrophe. Une jolie minette qui je pense être la chatmoureuse de Lolo est séquestrée. Diantre, je ne vous parle pas de mon inconfort sur le rebord de la fenêtre quand, j'ai vu la pauvre chatte attachée après un radiateur. Malgré la diligence et le pragmatisme dont je sais tempérer, j'ai eu peur et me suis enfui comme un truand de grand chemin. Voilà ce que j'avais à vous annoncer. Nous devons faire prévenir Lolo.
- Hiii, il faut appeler la police des chats, hiii, que fait Pépère, hiii il ferait mieux d'enquêter au lieu de faire des cacas hiii.
- Écoutez, voilà moi, je connais le numéro à Lolo alors, trouvons quelqu'un pour l'appeler. Rajouta Lucie.
- Hiii, chatdore n'est pas là, hiii comment va-t-on faire hiii. Essayons de trouver Rookie pour qu'il essaie de le prévenir, hiii.
Dans la cabane entre les trois animaux, c'était un peu la panique. Personne ne connaissait ce chat qu'avait décrit Momo avait. C'est ainsi qu'il était désigné pour essayer de trouver l'écureuil dans les parages.
La minette, elle, n'avait pas perdu son temps et elle était arrivée à graver son message pour Lolo dans le bois. Pendant ce temps, un œil, répondait aux messages d'Elchatponne comme si de rien n'était. Malgré tout, il avait prévu de partir dans l'heure qui suivit avec sa prisonnière afin de ne pas être surpris par son chef dans ses projets. Il décida d'aller dans la rue pour voir si personne n'était dans les parages. Il avait repéré beaucoup plus loin un réduit qui était le long d'un étang et il comptait l'emmener là-bas. Arrivé dans la rue, il ne vit rien d'anormal. Il prit son téléphone pour répondre à des offres pour certains des poèmes de Pépère qu'il avait proposés. Il lâcha la route des yeux et fut surpris par une voix qui disait.
- Regarde petit minet, il y a un chat là-bas. Tiens, il a eu peur, tu vois, il s'enfuit.
C'était le poète qui ramenait le petit chat chez sa mère. Il regardait en même temps les tentes et fut étonné de ne pas voir d'activité.
Coin-coin continuait de suivre la route pour rejoindre le parking où était Pépère afin de le prévenir que sœur Mathilde avait enfoncée sa voiture dans la boue. Ne connaissant pas cet endroit pour n'y être jamais venu, il était parti dans le mauvais sens et s'éloignait de l'endroit où, il devait aller.
- Fle fle fle, que cette route est longue, fle fle fle, je me demande, si je ne suis pas encore égaré, fle fle fle.
Et dans le chemin pendant ce temps-là, Lolo et Pêcheur attendaient toujours son retour. Sœur Mathilde se réveilla en sursaut d'un cauchemar. Elle était à l'auberge des moine devant le comptoir. Devant, elle, étaient alignés des verres pleins de vin. Elle tendit la main et se fit mal. Elle s'aperçut alors qu'elle était prisonnière dans une énorme bouteille vide. Devant-elle, Pêcheur trempait son long bec dans les verres qu'il buvait rien derrière l'autre. Il la regardait et Lolo était sur le comptoir et dansait avec son téléphone en pattes en chantant, patronne, on a soif, patronne, on a soif. La tenancière arrivait alors et regardant sœur Mathilde, elle lui faisait un bras d'honneur en lui disant. Tu n'as qu'à aller voir le pape pour te faire servir. Pêcheur continuait et buvait les verres à nouveau pleins en disant, tu n'en auras pas, toc toc toc, tu n'en auras pas toc toc toc, tu n'en auras... C'est à ce moment-là qu'elle se réveilla en criant.
- Où qu'elle est la patronne, j'ai soif, j'ai soif, où qu'elle est la patronne. Mon Dieu, quel cauchemar, qui est-ce qui m'a mis ça en tête. C'est ce salopard de pape où le pouilleux barbu. N'empêche que j'aie soif bon sang, j'ai soif.
Elle ouvrit la boîte à gants et prit une bouteille de villageoise de cinquante centilitres qu'elle but d'un trait. Encore hagarde de son rêve, elle avait oublié où elle était et descendit de la voiture et s'enfonça dans la boue jusqu'aux genoux.
- Au secours, à l'aide, on m'aspire les pieds au secours...
Sur le parking, Pépère était dans un état dément. Turbo buvait ses paroles comme du petit-lait. Du coup, il avait mis la lumière led de ses Nike au maximum de leurs puissances et il avait revêtu son costume super-Pépère avec la mention éclairé aussi avec des leds dans le dos. Et il dansait sur le parking devant Turbo et l'homme qui le regardait dans le rétroviseur de sa voiture juste devant lui.
- Écoute ça Turbo, et là, tu en auras les moustaches qui frisent.
Je suis pépère, j'suis une affaire
Je suis l'plus beau, pas un corbeau
Des chats comme moi il y'en à guère
Qu'aient vu l'Irak et fait la guerre
Y'a pas d'galère, y'a pas d'misère
Quand j'pose un flow, et quelques mots
Pour la plus belle des p'tite minette
Et le Momo ferme sa pipelette
Je viens d'la ville et c'est sérieux
Suis pas nanar un p'tit curieux
Qui connaît rien à tout mon art
Et qui s'nourrit à l'épinard
Alors Mimine tu l'as compris
Ton amour c'est du sursis
Je suis pépère, j'suis une affaire
Je suis l'plus beau, pas un corbeau...
- Alors mon copain, tu as vu comme j'assure. C'est simple même Oreille Chan n'aurait pas fait mieux, et je l'affirme sans prétention. Tu comprends maintenant mon inquiétude, tu vois un peu la qualité artistique de mes textes, sans me vanter, je suis l'un des meilleurs, c'est évident mon loulou.
L'homme qui était dans la voiture n'en revenait pas. Le Pépère avec sa magie volait dans les airs. Dans le noir, lui et Turbo ne voyaient que les leds de ses Nike et l'inscription super-Pépère de sa tenue. L'huissier finit par descendre et vint voir Turbo et il lui demanda.
- Comment faut-il ça ? Il vole dans les airs, c'est impressionnant, je n'ai jamais vu une telle chose, moi aussi, je vole, mais je reste au sol.
- Vous volez ? Vous monsieur, mais qui êtes vous pour faire cela lui dit Turbo.
- Dans mon métier, j'aide des pauvres gens qui ne savent pas vendre des objets divers et je les sauve de la ruine. Alors pour me remercier, il me laisse parfois prendre des objets pour les revendre et garder l'argent. Voyez cette Bentley qui est ma voiture, c'est ainsi que l'on me l'a offert. Oui, je suis un travailleur social de l'extrême et je suis dans la bienfaisance.
Turbo l'écoutait et pendant ce temps, Pépère faisait son show en l'air pour enfin revenir et danser devant Turbo et l'homme un moonwalk lamentable en chantant.
Je suis pépère, j'suis une affaire
Je suis l'plus beau, pas un corbeau
Des chats comme moi il y'en à guère Qu'aient vu l'Irak et fait la guerre
Et l'huissier reprit..
Je suis monsieur, je prends tout.
Un bienfaisant pas un picsou
Des gens comme moi, il y en a guère
Qui serait capable de saisir sa mère...
- Qu'est-ce qu'il se passe encore, nous ne pouvons pas dormir à la fin !!
- Momo à quelque chose d'important à nous dire, hiii, je crois que c'est par rapport au cacateux, hiii.
- Non mon amie, il n'en est rien, c'est entre nous, une affaire de kidnapping. Voilà, j'ai été fureté vers la maison qui loge au bout de la rue. Il y avait de la lumière en ses murs et cela ne m'a pas paru habituelle. En effet, le résident de cet endroit est actuellement dans un établissement pour personnes âgées. J'ai donc été jeter un œil à travers les vitre afin d'y voir un peu ce qu'il s'y tenait. Hé bien, mes amis, c'est une catastrophe. Une jolie minette qui je pense être la chatmoureuse de Lolo est séquestrée. Diantre, je ne vous parle pas de mon inconfort sur le rebord de la fenêtre quand, j'ai vu la pauvre chatte attachée après un radiateur. Malgré la diligence et le pragmatisme dont je sais tempérer, j'ai eu peur et me suis enfui comme un truand de grand chemin. Voilà ce que j'avais à vous annoncer. Nous devons faire prévenir Lolo.
- Hiii, il faut appeler la police des chats, hiii, que fait Pépère, hiii il ferait mieux d'enquêter au lieu de faire des cacas hiii.
- Écoutez, voilà moi, je connais le numéro à Lolo alors, trouvons quelqu'un pour l'appeler. Rajouta Lucie.
- Hiii, chatdore n'est pas là, hiii comment va-t-on faire hiii. Essayons de trouver Rookie pour qu'il essaie de le prévenir, hiii.
Dans la cabane entre les trois animaux, c'était un peu la panique. Personne ne connaissait ce chat qu'avait décrit Momo avait. C'est ainsi qu'il était désigné pour essayer de trouver l'écureuil dans les parages.
La minette, elle, n'avait pas perdu son temps et elle était arrivée à graver son message pour Lolo dans le bois. Pendant ce temps, un œil, répondait aux messages d'Elchatponne comme si de rien n'était. Malgré tout, il avait prévu de partir dans l'heure qui suivit avec sa prisonnière afin de ne pas être surpris par son chef dans ses projets. Il décida d'aller dans la rue pour voir si personne n'était dans les parages. Il avait repéré beaucoup plus loin un réduit qui était le long d'un étang et il comptait l'emmener là-bas. Arrivé dans la rue, il ne vit rien d'anormal. Il prit son téléphone pour répondre à des offres pour certains des poèmes de Pépère qu'il avait proposés. Il lâcha la route des yeux et fut surpris par une voix qui disait.
- Regarde petit minet, il y a un chat là-bas. Tiens, il a eu peur, tu vois, il s'enfuit.
C'était le poète qui ramenait le petit chat chez sa mère. Il regardait en même temps les tentes et fut étonné de ne pas voir d'activité.
Coin-coin continuait de suivre la route pour rejoindre le parking où était Pépère afin de le prévenir que sœur Mathilde avait enfoncée sa voiture dans la boue. Ne connaissant pas cet endroit pour n'y être jamais venu, il était parti dans le mauvais sens et s'éloignait de l'endroit où, il devait aller.
- Fle fle fle, que cette route est longue, fle fle fle, je me demande, si je ne suis pas encore égaré, fle fle fle.
Et dans le chemin pendant ce temps-là, Lolo et Pêcheur attendaient toujours son retour. Sœur Mathilde se réveilla en sursaut d'un cauchemar. Elle était à l'auberge des moine devant le comptoir. Devant, elle, étaient alignés des verres pleins de vin. Elle tendit la main et se fit mal. Elle s'aperçut alors qu'elle était prisonnière dans une énorme bouteille vide. Devant-elle, Pêcheur trempait son long bec dans les verres qu'il buvait rien derrière l'autre. Il la regardait et Lolo était sur le comptoir et dansait avec son téléphone en pattes en chantant, patronne, on a soif, patronne, on a soif. La tenancière arrivait alors et regardant sœur Mathilde, elle lui faisait un bras d'honneur en lui disant. Tu n'as qu'à aller voir le pape pour te faire servir. Pêcheur continuait et buvait les verres à nouveau pleins en disant, tu n'en auras pas, toc toc toc, tu n'en auras pas toc toc toc, tu n'en auras... C'est à ce moment-là qu'elle se réveilla en criant.
- Où qu'elle est la patronne, j'ai soif, j'ai soif, où qu'elle est la patronne. Mon Dieu, quel cauchemar, qui est-ce qui m'a mis ça en tête. C'est ce salopard de pape où le pouilleux barbu. N'empêche que j'aie soif bon sang, j'ai soif.
Elle ouvrit la boîte à gants et prit une bouteille de villageoise de cinquante centilitres qu'elle but d'un trait. Encore hagarde de son rêve, elle avait oublié où elle était et descendit de la voiture et s'enfonça dans la boue jusqu'aux genoux.
- Au secours, à l'aide, on m'aspire les pieds au secours...
Sur le parking, Pépère était dans un état dément. Turbo buvait ses paroles comme du petit-lait. Du coup, il avait mis la lumière led de ses Nike au maximum de leurs puissances et il avait revêtu son costume super-Pépère avec la mention éclairé aussi avec des leds dans le dos. Et il dansait sur le parking devant Turbo et l'homme qui le regardait dans le rétroviseur de sa voiture juste devant lui.
- Écoute ça Turbo, et là, tu en auras les moustaches qui frisent.
Je suis pépère, j'suis une affaire
Je suis l'plus beau, pas un corbeau
Des chats comme moi il y'en à guère
Qu'aient vu l'Irak et fait la guerre
Y'a pas d'galère, y'a pas d'misère
Quand j'pose un flow, et quelques mots
Pour la plus belle des p'tite minette
Et le Momo ferme sa pipelette
Je viens d'la ville et c'est sérieux
Suis pas nanar un p'tit curieux
Qui connaît rien à tout mon art
Et qui s'nourrit à l'épinard
Alors Mimine tu l'as compris
Ton amour c'est du sursis
Je suis pépère, j'suis une affaire
Je suis l'plus beau, pas un corbeau...
- Alors mon copain, tu as vu comme j'assure. C'est simple même Oreille Chan n'aurait pas fait mieux, et je l'affirme sans prétention. Tu comprends maintenant mon inquiétude, tu vois un peu la qualité artistique de mes textes, sans me vanter, je suis l'un des meilleurs, c'est évident mon loulou.
L'homme qui était dans la voiture n'en revenait pas. Le Pépère avec sa magie volait dans les airs. Dans le noir, lui et Turbo ne voyaient que les leds de ses Nike et l'inscription super-Pépère de sa tenue. L'huissier finit par descendre et vint voir Turbo et il lui demanda.
- Comment faut-il ça ? Il vole dans les airs, c'est impressionnant, je n'ai jamais vu une telle chose, moi aussi, je vole, mais je reste au sol.
- Vous volez ? Vous monsieur, mais qui êtes vous pour faire cela lui dit Turbo.
- Dans mon métier, j'aide des pauvres gens qui ne savent pas vendre des objets divers et je les sauve de la ruine. Alors pour me remercier, il me laisse parfois prendre des objets pour les revendre et garder l'argent. Voyez cette Bentley qui est ma voiture, c'est ainsi que l'on me l'a offert. Oui, je suis un travailleur social de l'extrême et je suis dans la bienfaisance.
Turbo l'écoutait et pendant ce temps, Pépère faisait son show en l'air pour enfin revenir et danser devant Turbo et l'homme un moonwalk lamentable en chantant.
Je suis pépère, j'suis une affaire
Je suis l'plus beau, pas un corbeau
Des chats comme moi il y'en à guère Qu'aient vu l'Irak et fait la guerre
Et l'huissier reprit..
Je suis monsieur, je prends tout.
Un bienfaisant pas un picsou
Des gens comme moi, il y en a guère
Qui serait capable de saisir sa mère...
