Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète. Suite. 09 juin

#1
- Oui mon fils je suis un génie et l'inventeur de tas de choses.
- Mais dite moi mon père vous parlez combien de langue ?
- Des centaines mon fils et je parle aussi couramment la côtelette le rôti le poulet les lasagnes les sushis.
- Vous n'êtes pas le créateur pour rien mon père...
Cookie n'en pouvait plus et derrière elle il règnait une agitation hors du commun. Les hommes étaient derrière la clôture avec d'étranges machines pointées sur elle. En fait avec des canons micros ils essayaient les pointant sur elle d'enregistrer les activités de son corps sur le plan des vibrations. Ils finirent par se demander d'où venait cette émission d'ondes extraterrestres qu'ils enregistraient depuis plus de 10 minutes. Lolo n'en démordait pas et il répétait à Chatdore ce qu'il voyait.
- Le poète vole dans le ciel et une fée est derrière lui. Elle a un tatouage sur le bras je t'assure Chatdore. Le poète semble intéressé par ce que font les gendarmes. Bon moi je sais ce qu'il se demande. Si les gendarmes n'ont pas trouvé son stock d'armes de destruction massive et ses saloperie chimiques. Ma pauvre Cookie il va sûrement falloir démonter ta maison pour creuser et chercher nous n'y pouvons rien.
La pauvre n'en pouvait plus et elle se positionna devant les hommes le long de la barrière d'un air menaçant et revint vers la cabane. Eux de l'autre côté était retourné dans leurs campements. Elle regarda Lolo et elle ne fut pas tendre.
- Hiii tais toi chat toxicomane hiii c'est toi oui qui trafique des saloperies chimiques hiii bandit, renégat, destructeur de tranquillité hiii.
Plus haut dans la maison inhabitée où était la bande à la poursuite du Pépère, Elchatponne n'en pouvait plus. Il hurlait de colère.
- Chat alors c'est insensé encore arrêté mais qu'est ce qu'ils font ce n'est pas possible. Chat m'énerve chat me porte sur les nerfs.
Le chauffeur s'était encore arrêté pour aider le ministre qui à force de bouger dans tous les sens était tombé plié en deux entre les deux sièges avants et arrières. L'effort qu'il avait fait pour se dégager seul ne l'avait pas aider à retenir une envie presente et son chauffeur s'en rendit compte à l'odeur. Il était encore arrêté en warning le long de l'autoroute.
- Si seulement vous pouviez pousser sur vos bras pour m'aider à vous soulever. Franchement ce n'est pas possible vous avez l'intestin en décomposition bhaaa ça pue.
- Je t'ai demandé l'heure qu'il était tic tac que tu te balance tout le temps. Tire moi de là c'est tout ce que je te demande.
Après 10 minutes d'effort le ministre était enfin assis sur son siège.
- Vous avez mis les sièges chauffants où quoi c'est chaud sous mon derrière.
- Bin oui monsieur vous êtes assis sur vos déjections. Faut-il que je m'arrête vers un lavage auto. Si je m'arrêtait au supermarché acheter du febrezz j'ai vu qu'il y a un super u plus loin.
- Triple coui.... Pourquoi pas acheter des couches et dire c'est pour Mr le ministre pour que toute la presse soit au courant. Qu'est ce que j'ai mal au ventre j'ai vraiment le cul comme un obus de 45 mer... Arrêtez vous sur un air de repos et je vais dormir 1h00 on verra après...
Le poète pendant ce temps là volait au dessus des hommes dans le champ et comme il se savait invisible il se posa. Il écouta les conversations et compris ce qui se passait. Ces hommes étaient des militaires et ils cherchaient des Martiens. Qu'est ce que c'est que cette histoire se disait-il.
À la brasserie c'était assez étrange il y avait un bruit similaire à un grincement de tissu. C'est les Nike du Pépère qui étaient sur le point d'exploser pour cause de chevilles comme des pastèques. Le pape continuait de boire sa bière et demanda au Pépère.
- Avez vous des nouvelles de notre ministre au fait ?
- Non mon fils pas plus que ça je regarde ma chaîne TV j'ai vraiment une super classe quand même.
- Oui ça va déclencher un orage de fan cette nouvelle chaîne c'est évident.
- Oui c'est ça quand on à la classe, oui un orage, c'est l'alarme dans mon langage.
- L'alarme, l'orage je ne comprends pas.
- L'orage est un signal d'alarme que j'ai inventé pour éviter que l'on se fasse voler les nuages par des planètes extraterrestres.
- Je ne comprends pas mon père.
- Je vais vous l'expliquez. Voilà il faut savoir que les nuages sont les gaz de l'intestin de la terre. Et que des planètes extraterrestres les volaient pour se droguer figurez vous. À l'époque j'ai découvert ça quand j'étais en Égypte. Je travaillais au ministère et j'aidais le ministre de l'agriculture pour des maïs d'exception. On nourrissait la terre avec des flageolets pour qu'elle fasse des nuages pour arroser nos plantations. Mais nous avons eu la désagréable surprise de voir qu'elle n'en faisait pas assez. Bon que je dis au ministre double dose de flageolets. Rien à faire, alors on lui a fait passer un scanner des intestins. Tout était normal j'ai demandé à Freud de l'examiner et il a conclu qu'elle était saine psychologiquement. Alors j'ai mené mon enquête et j'ai trouvé des planètes extérieures au système solaire venaient sniffer les nuages. Le ministre me dit, Pépère gloire de l'Égypte le seul à parler le lasagne que pouvons nous faire ? Alors j'ai intégré un système d'alarme dans l'intestin de la terre avec des capteurs sur les planètes voisines. Des qu'une planète étrangère vient trop près ça lui envoie des décharges électriques et la terre grogne et l'ennemi s'en va. Voilà mon père pour l'anecdote.