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Pépère le chat du poète. Suite 09 décembre

#1
Le poète revenait de Sancoins complètement abasourdi de la réaction et de l'ordre du gendarme. Il posa le pain sur la table, chez sa mère en passant. Il donna une caresse à chacun des animaux et partit vers sa cabane. Il voulait consulter la nouvelle loi en matière de co2. Ne regardant pas les informations fétides et nauséabondes de madame télévision, il n'en était pas informé. À peine arrivé dans l'entrée du chemin, il vit une voiture qui en sortait. C'était une jaguar assez récente et il se demandait qui avait bien pu le visiter. Suite à la liquidation de son ex entreprise, il était toujours plus où moins en maille avec la justice et s'attendait un jour à en avoir une visite. Il se gara et vit que la voiture avait fait demi-tour devant son portail. Il partit dans son chalet et consulta la nouvelle législation. Le gendarme avait raison. Il se gara et vit que la voiture avait fait demi-tour devant son portail. Il apprit par la même, que l'état avait passé le smic à 4000 euros et que les gens étaient sur le point de manifester, car cela ne leur permettait toujours pas de s'acheter des objets de luxe. Il ferma l'intérnet se disant avoir vu assez de sottises. Il se demandait bien qui était venu ici le voir et écoutait Cookie qui n'arrêtait pas de hennir.
La pauvre n'en pouvait plus. Le caca de la cabane avait été nettoyé, mais elle se rendit compte que le Pépère faisait aussi derrière sa maison contre la paroi. Le manège du nettoyage était ainsi reparti et Chatdore enlevait la terre polluée et Lucie et Cookie avec leurs sabots grattait le sol plus loin pour boucher le trou.
- Bandit, hiiii pirate, hiiii malfaiteur. Ça pue ton caca hiiii.
C'est donc ainsi que l'huissier et sœur Mathilde partirent sous les hennissements de Cookie et croisant le poète. Sœur Mathilde pensa reconnaître l'homme et pour cause, elle lui avait créé deux accidents à Sancoins.
- C'est bizarre brave homme, j'ai cru reconnaître le conducteur de la voiture que nous avons croisée. Sa tête me dit quelque chose.
- C'est étrange ma sœur, moi aussi ça m'a fait la même impression.
Cela était bonnement normal, car l'huissier avait vu la photo du poète dans son dossier de saisie. Il n'y pensa plus et continua de rouler en direction du parking pour redémarrer la voiture de sœur Mathilde. Il était inquiet, car il n'avait jamais démarré une voiture avec des pinces et regrettait presque son avance. Il se rassurait en se disant qu'il allait sûrement y arriver. La sœur était plutôt calme et avait le téléphone en main et répondant à ses messages elle dit tout haut sans même s'en rendre compte.
- C'est bien fait pour toi espèce de vieux Mohican. Si tu avais mis un bonnet sur ta canne à sucre, tu ne te serais pas attrapé un staphylocoque. Ça t'apprendra à traîner dans des boîtes gais lol.
- Hé bien, ma sœur de quoi parlez vous ?
- Rien de spécial, je réponds au père Dominique qui a la paille infectée et ça lui remonte jusqu'au nez, lol.
L'homme arrivait et son appréhension grandissait. Il gara sa voiture à côté de celle de sœur Mathilde et déjà, il ne savait même pas ouvrir le capot. En cherchant, il finit par trouver. La nonne avait le nez dans le téléphone et elle ne vit rien. Il partit ensuite faire de même sur l'autre voiture. Il prit les câbles dans sa voiture et arrivé entre les deux capots ouverts, se disait dans sa tête. Alors, rouge, noir, qu'est-ce que je fais, où vais-je mettre ces pinces. Il avait laissé le moteur de sa voiture tourner et réussi à mettre le câble rouge sur le plus. Il fit ça un peu au hasard. Il se baissa pour ramasser le câble noir et posa une main sur la carrosserie de chaque voiture. Il ne savait pas ce qu'il faisait par ignorance ( comme un joue rouge) et il établit le contact. Sœur Mathilde qui faisait sa curieuse était en train de manipuler le régulateur de vitesse et accélérera l'auto à fond. Le résultat fut instantané, elle vit la tête de l'homme avec les cheveux en épis qui lançaient des étincelles. Cela ne dura pas longtemps et il s'écroula au sol. La pauvre sœur était en pleine détresse et elle dit.
- notre père qui êtes aux cieux vite sortez de votre pieu et venez m'aider cet homme est électrocuté !
Le Pépère était impatient de partir. Le ministre le fit monter dans sa voiture à l'avant, mais Pépère lui dit.
- Nous allons faire autrement monsieur le ministre. Je vais prendre le volant et vous allez monter à côté de moi. Pêcheur, Coin-coin et Turbo, vous montez derrière. Bon saluons, Fripouille. Où est-il passé ?
- il est parti, maman moi peur, oups ma langue à fourché, déjà parti voir sa chatmoureuse.
- Ha bon, hé bien vite tous en voiture chatmareur est de retour.
Pêcheur toucha son bec avec sa griffe et dit tout haut.
- Toc toc toc, ne roule pas trop vite, toc toc toc, je ne veux pas fêler mon bec toc toc toc.
- Fle fle fle, oui soit prudent rajouta Coin-coin à qui le ministre prit la parole en disant à Pépère, surtout n'abîmez pas ma ds4, on me là livrée hier soir pour remplacer ma c6 hs.
Tout le monde s'installa et Pépère appuya sur le bouton start engine. Ses pattes étaient trop courtes, mais avec sa magie, il pouvait agir sur les pédales. Du moment qu'il puisse tenir le volant cela lui suffisait. Il partit comme un fou pour épater la galerie et Pêcheur se tenait le bec fermement. Turbo était contre lui tremblant.
- Poussez-vous les amateurs, attention le chat le plus doué de sa génération prend la route.
Arrivé sur la nationale, il accélérait comme un fou et le ministre était déjà paralysé de peur. Il prit la grande ligne droite de Bourges. Celle-ci était encombrée de bouchons pour tout le monde, sauf pour lui. Ça, c'était le travail de Chouânne qui les faisaient évoluer dans un univers parallèle. Donc la circulation était normale avec son flux coutumier de camion. Dès la sortie du village, le Pépère doubla une enfilade de camion sur plus de 600 mètres si bien qu'il roulait à 180 kmh. Du coup le Premier ministre était furax avec ses 80 à l'heure. Il était vert de colère et cria stopppppppp !!
- Que se passe-t-il Édouard, tu as la trouille en voiture lol.
Répondit pépère en ricanant. Cela n'amusait pas l'homme et il finit par faire arrêter Pépère sur le bord de la route et reprit le volant. Un kilomètre plus loin, il se faisait dépasser par la file de camion étant donné qu'il roulait à 75 à l'heure. C'est le Pépère qui à son tour cria stopppppppp. Et le ministre s'arrêta. Le pauvre Pêcheur reprit son bec entre ses griffes, car il subodorerait que ce fut encore Pépère qui allait conduire, d'ailleurs, il dit au ministre.
- Écoutez à cette vitesse nous ne sommes à Paris que demain et les nourrissons et les chats auront tout cassé. Le pauvre Pêcheur reprit son bec entre ses griffes, car il subodorerait que ce fut encore Pépère qui allait conduire, d'ailleurs, il dit au ministre. Si vous le permettez avec ma magie, je peux nous déposer instantanément sur le perron de l'élysée.
- Hé bien faite, lui invita le ministre.
Dans la seconde qui suivit la voiture, se retrouva aux pieds des marches. Devant eux, Emmanuel Macron qui avait le nez dans son iPhone, Doc Gyneco le bob de travers avec des feuilles OCB à la main et Nicolas Sarkozy écoutant du Johnny sur son MP3. Ce fut lui qui coupant la musique vint vers la voiture du ministre dont sortit Pépère. Il le vit et vint le voir avec empressement.
- Whaaaaa, Pépère, ça va mon pote, tu m'excuseras Carla n'est pas là, elle est partie faire brûler des radars pour la manifestation des joues rouges, la honte pour moi.
- Salut, Nicolas, hé oui, c'est Pépère, c'est moi le sauveur, que pouvons nous faire ?


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Cortisone

Maître Poète
#2
Le poète revenait de Sancoins complètement abasourdi de la réaction et de l'ordre du gendarme. Il posa le pain sur la table, chez sa mère en passant. Il donna une caresse à chacun des animaux et partit vers sa cabane. Il voulait consulter la nouvelle loi en matière de co2. Ne regardant pas les informations fétides et nauséabondes de madame télévision, il n'en était pas informé. À peine arrivé dans l'entrée du chemin, il vit une voiture qui en sortait. C'était une jaguar assez récente et il se demandait qui avait bien pu le visiter. Suite à la liquidation de son ex entreprise, il était toujours plus où moins en maille avec la justice et s'attendait un jour à en avoir une visite. Il se gara et vit que la voiture avait fait demi-tour devant son portail. Il partit dans son chalet et consulta la nouvelle législation. Le gendarme avait raison. Il se gara et vit que la voiture avait fait demi-tour devant son portail. Il apprit par la même, que l'état avait passé le smic à 4000 euros et que les gens étaient sur le point de manifester, car cela ne leur permettait toujours pas de s'acheter des objets de luxe. Il ferma l'intérnet se disant avoir vu assez de sottises. Il se demandait bien qui était venu ici le voir et écoutait Cookie qui n'arrêtait pas de hennir.
La pauvre n'en pouvait plus. Le caca de la cabane avait été nettoyé, mais elle se rendit compte que le Pépère faisait aussi derrière sa maison contre la paroi. Le manège du nettoyage était ainsi reparti et Chatdore enlevait la terre polluée et Lucie et Cookie avec leurs sabots grattait le sol plus loin pour boucher le trou.
- Bandit, hiiii pirate, hiiii malfaiteur. Ça pue ton caca hiiii.
C'est donc ainsi que l'huissier et sœur Mathilde partirent sous les hennissements de Cookie et croisant le poète. Sœur Mathilde pensa reconnaître l'homme et pour cause, elle lui avait créé deux accidents à Sancoins.
- C'est bizarre brave homme, j'ai cru reconnaître le conducteur de la voiture que nous avons croisée. Sa tête me dit quelque chose.
- C'est étrange ma sœur, moi aussi ça m'a fait la même impression.
Cela était bonnement normal, car l'huissier avait vu la photo du poète dans son dossier de saisie. Il n'y pensa plus et continua de rouler en direction du parking pour redémarrer la voiture de sœur Mathilde. Il était inquiet, car il n'avait jamais démarré une voiture avec des pinces et regrettait presque son avance. Il se rassurait en se disant qu'il allait sûrement y arriver. La sœur était plutôt calme et avait le téléphone en main et répondant à ses messages elle dit tout haut sans même s'en rendre compte.
- C'est bien fait pour toi espèce de vieux Mohican. Si tu avais mis un bonnet sur ta canne à sucre, tu ne te serais pas attrapé un staphylocoque. Ça t'apprendra à traîner dans des boîtes gais lol.
- Hé bien, ma sœur de quoi parlez vous ?
- Rien de spécial, je réponds au père Dominique qui a la paille infectée et ça lui remonte jusqu'au nez, lol.
L'homme arrivait et son appréhension grandissait. Il gara sa voiture à côté de celle de sœur Mathilde et déjà, il ne savait même pas ouvrir le capot. En cherchant, il finit par trouver. La nonne avait le nez dans le téléphone et elle ne vit rien. Il partit ensuite faire de même sur l'autre voiture. Il prit les câbles dans sa voiture et arrivé entre les deux capots ouverts, se disait dans sa tête. Alors, rouge, noir, qu'est-ce que je fais, où vais-je mettre ces pinces. Il avait laissé le moteur de sa voiture tourner et réussi à mettre le câble rouge sur le plus. Il fit ça un peu au hasard. Il se baissa pour ramasser le câble noir et posa une main sur la carrosserie de chaque voiture. Il ne savait pas ce qu'il faisait par ignorance ( comme un joue rouge) et il établit le contact. Sœur Mathilde qui faisait sa curieuse était en train de manipuler le régulateur de vitesse et accélérera l'auto à fond. Le résultat fut instantané, elle vit la tête de l'homme avec les cheveux en épis qui lançaient des étincelles. Cela ne dura pas longtemps et il s'écroula au sol. La pauvre sœur était en pleine détresse et elle dit.
- notre père qui êtes aux cieux vite sortez de votre pieu et venez m'aider cet homme est électrocuté !
Le Pépère était impatient de partir. Le ministre le fit monter dans sa voiture à l'avant, mais Pépère lui dit.
- Nous allons faire autrement monsieur le ministre. Je vais prendre le volant et vous allez monter à côté de moi. Pêcheur, Coin-coin et Turbo, vous montez derrière. Bon saluons, Fripouille. Où est-il passé ?
- il est parti, maman moi peur, oups ma langue à fourché, déjà parti voir sa chatmoureuse.
- Ha bon, hé bien vite tous en voiture chatmareur est de retour.
Pêcheur toucha son bec avec sa griffe et dit tout haut.
- Toc toc toc, ne roule pas trop vite, toc toc toc, je ne veux pas fêler mon bec toc toc toc.
- Fle fle fle, oui soit prudent rajouta Coin-coin à qui le ministre prit la parole en disant à Pépère, surtout n'abîmez pas ma ds4, on me là livrée hier soir pour remplacer ma c6 hs.
Tout le monde s'installa et Pépère appuya sur le bouton start engine. Ses pattes étaient trop courtes, mais avec sa magie, il pouvait agir sur les pédales. Du moment qu'il puisse tenir le volant cela lui suffisait. Il partit comme un fou pour épater la galerie et Pêcheur se tenait le bec fermement. Turbo était contre lui tremblant.
- Poussez-vous les amateurs, attention le chat le plus doué de sa génération prend la route.
Arrivé sur la nationale, il accélérait comme un fou et le ministre était déjà paralysé de peur. Il prit la grande ligne droite de Bourges. Celle-ci était encombrée de bouchons pour tout le monde, sauf pour lui. Ça, c'était le travail de Chouânne qui les faisaient évoluer dans un univers parallèle. Donc la circulation était normale avec son flux coutumier de camion. Dès la sortie du village, le Pépère doubla une enfilade de camion sur plus de 600 mètres si bien qu'il roulait à 180 kmh. Du coup le Premier ministre était furax avec ses 80 à l'heure. Il était vert de colère et cria stopppppppp !!
- Que se passe-t-il Édouard, tu as la trouille en voiture lol.
Répondit pépère en ricanant. Cela n'amusait pas l'homme et il finit par faire arrêter Pépère sur le bord de la route et reprit le volant. Un kilomètre plus loin, il se faisait dépasser par la file de camion étant donné qu'il roulait à 75 à l'heure. C'est le Pépère qui à son tour cria stopppppppp. Et le ministre s'arrêta. Le pauvre Pêcheur reprit son bec entre ses griffes, car il subodorerait que ce fut encore Pépère qui allait conduire, d'ailleurs, il dit au ministre.
- Écoutez à cette vitesse nous ne sommes à Paris que demain et les nourrissons et les chats auront tout cassé. Le pauvre Pêcheur reprit son bec entre ses griffes, car il subodorerait que ce fut encore Pépère qui allait conduire, d'ailleurs, il dit au ministre. Si vous le permettez avec ma magie, je peux nous déposer instantanément sur le perron de l'élysée.
- Hé bien faite, lui invita le ministre.
Dans la seconde qui suivit la voiture, se retrouva aux pieds des marches. Devant eux, Emmanuel Macron qui avait le nez dans son iPhone, Doc Gyneco le bob de travers avec des feuilles OCB à la main et Nicolas Sarkozy écoutant du Johnny sur son MP3. Ce fut lui qui coupant la musique vint vers la voiture du ministre dont sortit Pépère. Il le vit et vint le voir avec empressement.
- Whaaaaa, Pépère, ça va mon pote, tu m'excuseras Carla n'est pas là, elle est partie faire brûler des radars pour la manifestation des joues rouges, la honte pour moi.
- Salut, Nicolas, hé oui, c'est Pépère, c'est moi le sauveur, que pouvons nous faire ?


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Ça y est pépère est à Paris ue va t'il don se passer ?
Vive ment demain
Amicalement
Gaby