Sous la lune blafarde
S’étendent les ombres désunies
Des capes et des pensées
De ces hommes qui se fardent
Ils marchent dans les bois
Quéttant qu’elques clients
En quête, de rapports déments
Où d’histoires de sexes aux abois
Dans leurs vêtements d’empruntés
Ils déambulent tordant du cul
Attendant qu’ont les acculent
A des caresses recherchées et cachées
De mépris par leur roture
On les désignent comme contre-nature
Hypocrisie qui fait sourire
Aigrement défaits ils soupirent
De ces êtres, vraies énigmes
Pour qui sont soi-disant
Les purs de la société unanime
A jouir de leurs corps, comme les amants
Et ceux-ci, qui après les dénigres
Les montres du doigt de justice
De probité pire que des tigres
Sous une peau blanche factice
Ceux qui frayent et jouissent
Mal impur de leurs âmes
Et de leur phalus qu’ils enfouissent
Sous le couvert, de ces dames
Danses de la nuit
Travelos et putains
Ombres qui fuient
Vers leurs homes de puritains
S’étendent les ombres désunies
Des capes et des pensées
De ces hommes qui se fardent
Ils marchent dans les bois
Quéttant qu’elques clients
En quête, de rapports déments
Où d’histoires de sexes aux abois
Dans leurs vêtements d’empruntés
Ils déambulent tordant du cul
Attendant qu’ont les acculent
A des caresses recherchées et cachées
De mépris par leur roture
On les désignent comme contre-nature
Hypocrisie qui fait sourire
Aigrement défaits ils soupirent
De ces êtres, vraies énigmes
Pour qui sont soi-disant
Les purs de la société unanime
A jouir de leurs corps, comme les amants
Et ceux-ci, qui après les dénigres
Les montres du doigt de justice
De probité pire que des tigres
Sous une peau blanche factice
Ceux qui frayent et jouissent
Mal impur de leurs âmes
Et de leur phalus qu’ils enfouissent
Sous le couvert, de ces dames
Danses de la nuit
Travelos et putains
Ombres qui fuient
Vers leurs homes de puritains