Monsieur le président, C’est avec un cœur lourd que je m’adresse à vous.ces quelques phrases d’un condamné Etancheront peut-être la soif de certains individu opprimés.je m’adresse à vous avec une Langue empruntée, pour vous dire simplement et clairement, que l’état n’ jamais été la Patrie. Les masses populaires de tous les pays aiment profondément leur patrie, mais c’est Amour réel, naturel, pas une idée un fait. Et c’est pour cela que je me sens franchement Le patriote de toutes les patries opprimées. écrie par mon ami sofiane