Parfois il arrive que souffle sur notre esprit un petit vent de folie, c’est que qui m’a inspiré le poème suivant :
Mon zoiseau
J’ai fermé ma braguette,
oui, j’ai clos ma fenêtre
puisque la grippe aviaire
nous pendait au derrière
Je tremblais de terreur
tellement j’avais peur
d'une contamination
pour mon petit zoiseau
laissé sans protection
car privé de fourreau.
Tout se termine bien
il ne risque plus rien.
mon zoiseau dans son nid
il s’est fait tout petit.
oui, j’ai clos ma fenêtre
puisque la grippe aviaire
nous pendait au derrière
Je tremblais de terreur
tellement j’avais peur
d'une contamination
pour mon petit zoiseau
laissé sans protection
car privé de fourreau.
Tout se termine bien
il ne risque plus rien.
mon zoiseau dans son nid
il s’est fait tout petit.
extrait de "Heureusement que le ridicule ne tue pas"