Je n’ai jamais su t’écrire
J’ai essayé mais je ne sais comment finir,
Mes yeux sont restés ouvert,
J’ai envie de crier, ce lourd secret.
Je suis restée là dans mon lit,
J’avais un sourire au coin de mes lèvres,
Je faisais quelques rimes quelques vers,
Et mes yeux grands ouverts se sont
Injectés, de haine de colère.
Ma douleur, ma fureur, n’arrête pas de sortir,
Et si je ne regardais pas mes photos,
J’irai le chercher ce train, cette rame de métro,
Je ne veux plus de cette colère, qui surgit
Sans prévenir et souvent après une courte pause dans ma vie
Pourquoi depuis l’âge de 8 ans,
Je ne peux pas quitter ce personnage d’enfant,
Je connais la réponse,
Je me cache encore de ces traces de boues de hontes
Je me suis cousue mon déguisement d’adulte,
Dans le mensonge, je te rassure
Car la chance d’être mère n’a pas lavé,
Ce corps que tu as si souvent souillé
Plus mes enfants grandissent,
Plus mes douleurs, mes maux m’envahissent
Avant que je te détruise toi et ton monde,
De raconter tous ces gestes immondes
Je veux m’effacer,
Je n’ai plus d’énergie pour me battre,
Je les ai faites mes batailles,
Et leur seul sourire, vaut toutes les médailles,
Je t’offre ma vie,
Ne sois pas encore réjouit,
Car tu devras vivre avec la culpabilité,
De m’avoir fait souffrir et aujourd’hui saigner,
Je te promets qu’au cimetière tu n’entendras pas mes colères,
Car là où mes ailes me laisseront me poser,
Je resterais là pendant des heures à admirer,
Tous les costumes que tu pourras revêtir
Les explications les cauchemars, les insomnies,
Car ta vie, je te le souhaite sera ainsi.
Peut être que tout cela n’arrivera pas,
Tu ne pleureras peut être pas,
Mais je m’en fous,
Plus je me l’éloigne de ton monde
Et me rapproche de mon paradis
Plus je donne une belle fin à ma fausse vie.
J’ai essayé mais je ne sais comment finir,
Mes yeux sont restés ouvert,
J’ai envie de crier, ce lourd secret.
Je suis restée là dans mon lit,
J’avais un sourire au coin de mes lèvres,
Je faisais quelques rimes quelques vers,
Et mes yeux grands ouverts se sont
Injectés, de haine de colère.
Ma douleur, ma fureur, n’arrête pas de sortir,
Et si je ne regardais pas mes photos,
J’irai le chercher ce train, cette rame de métro,
Je ne veux plus de cette colère, qui surgit
Sans prévenir et souvent après une courte pause dans ma vie
Pourquoi depuis l’âge de 8 ans,
Je ne peux pas quitter ce personnage d’enfant,
Je connais la réponse,
Je me cache encore de ces traces de boues de hontes
Je me suis cousue mon déguisement d’adulte,
Dans le mensonge, je te rassure
Car la chance d’être mère n’a pas lavé,
Ce corps que tu as si souvent souillé
Plus mes enfants grandissent,
Plus mes douleurs, mes maux m’envahissent
Avant que je te détruise toi et ton monde,
De raconter tous ces gestes immondes
Je veux m’effacer,
Je n’ai plus d’énergie pour me battre,
Je les ai faites mes batailles,
Et leur seul sourire, vaut toutes les médailles,
Je t’offre ma vie,
Ne sois pas encore réjouit,
Car tu devras vivre avec la culpabilité,
De m’avoir fait souffrir et aujourd’hui saigner,
Je te promets qu’au cimetière tu n’entendras pas mes colères,
Car là où mes ailes me laisseront me poser,
Je resterais là pendant des heures à admirer,
Tous les costumes que tu pourras revêtir
Les explications les cauchemars, les insomnies,
Car ta vie, je te le souhaite sera ainsi.
Peut être que tout cela n’arrivera pas,
Tu ne pleureras peut être pas,
Mais je m’en fous,
Plus je me l’éloigne de ton monde
Et me rapproche de mon paradis
Plus je donne une belle fin à ma fausse vie.