Nous avons à la saint-glinglin triomphant,
Eté l’élite et le vernis.
Ensemble nous avons tambour battant,
Eté l’écueil des amis.
Nos parents avaient l’amitié, pouvoir
Simple et limpide pour fleuron.
Nous avons vécu d’un halo de gloire
Sous la tempête des floraisons.
O bourdon ! J’étais la sève sélecte
De l’été de ton honneur.
Tu étais le saphir auguste
Où s’éclaire mon bonheur.
Nulle vermine ne pouvait nous léser.
Personne n’osait nous calomnier.
Comme Midas, j’étais impétueux et vif
Dans mon eldorado stellaire.
Cette stature suave en tapinois
Semblable au spectre du roi,
Ecorce ébouriffante qui s’éclaire
De ton pouvoir impératif.
Si tu cognais, je me défiais.
Si tu te défiais, je cognais.
Qui te cherchait me trouvait
Qui me cherchait te trouvait
La félicité dans notre vie, était
La prestance.
Le lustre de l’amitié était
Notre déférence.
L’amitié nous avait lié sitôt
Sans, lisière.
La pérennité de son pivot
Est plénière.
Bernique! Que suis plus rien déité
Tu m’as laissé tout seul et bourrelé.
Où es-tu donc parti mon chaume ?
O lambeau de mon paradigme
La mort qui nous a visité,
T’as emporté.
O mort ! Bouquet du devenir
Après nous avoir martyrisé,
Nous a sépare.
Qui dans le méandre de la vie,
De ce cabotin du soir nous unir ?
Insatiable avide d’ironie.
désir Cyril, la chanson du feu
Eté l’élite et le vernis.
Ensemble nous avons tambour battant,
Eté l’écueil des amis.
Nos parents avaient l’amitié, pouvoir
Simple et limpide pour fleuron.
Nous avons vécu d’un halo de gloire
Sous la tempête des floraisons.
O bourdon ! J’étais la sève sélecte
De l’été de ton honneur.
Tu étais le saphir auguste
Où s’éclaire mon bonheur.
Nulle vermine ne pouvait nous léser.
Personne n’osait nous calomnier.
Comme Midas, j’étais impétueux et vif
Dans mon eldorado stellaire.
Cette stature suave en tapinois
Semblable au spectre du roi,
Ecorce ébouriffante qui s’éclaire
De ton pouvoir impératif.
Si tu cognais, je me défiais.
Si tu te défiais, je cognais.
Qui te cherchait me trouvait
Qui me cherchait te trouvait
La félicité dans notre vie, était
La prestance.
Le lustre de l’amitié était
Notre déférence.
L’amitié nous avait lié sitôt
Sans, lisière.
La pérennité de son pivot
Est plénière.
Bernique! Que suis plus rien déité
Tu m’as laissé tout seul et bourrelé.
Où es-tu donc parti mon chaume ?
O lambeau de mon paradigme
La mort qui nous a visité,
T’as emporté.
O mort ! Bouquet du devenir
Après nous avoir martyrisé,
Nous a sépare.
Qui dans le méandre de la vie,
De ce cabotin du soir nous unir ?
Insatiable avide d’ironie.
désir Cyril, la chanson du feu