C’était un rêve
La réalité se ravive, cette flamme est une femme
L’édifice de sa personne est incroyable !
Tranchante en son âme, Pierre est son cœur
Son frère, le meilleur, imperturbable
Insupportable grandeur des dieux, j’en pleure !
Il lui a tout apprit, sans bêtises et décorums
Je tient l’amour en regardant sa sœur, ma dame
J’aperçois le parfait , démone de mes yeux au summum
Monstre de sublimité, surpassant toutes les femmes
Inégalable par un ton doux quotidien
Je l’entend nuits et jours, son baisé
Avec d’autres aventures nous vivons ce maintien
Serpentant le monde, notre amour est scellé !
Splendeur trahison de mon âme, mon cœur avec le sien
A jamais je l’aimerais, chez moi j’ai pu avoir la beauté
je ne puis tomber dans un autre univers avec elle
...La réalité montre la vérité du miroir
Le miroir de la vérité montre la réalité...
Avec elle, un autre univers est tombé dans un puit
J’ai pu m’être fait avoir en beauté, chez moi jamais je ne l’aimerais
Son cœur avec le mien, âme traitre en splendeur
Scellé, mon monde d’amour est un serpent !
Ce maintien nous le vivons, ses aventures avec d’autres
Baisée jours et nuits je l’entend
Quotidiennement ce thon part, inégalable
Toutes les femmes la surpassant, sublimité monstrueuse
Au summum de mes yeux la démone, je l’aperçois parfaitement
Madame, sœur regardant l’amour que je tient
Décorum de cents bêtises, on lui a tout apprit
Imperturbable, la meilleure des frères
J’en pleure ! Déesse de grandeur insupportable
Son coeur est en pierre, son âme tranchante
Incroyable ! Sa personne est un édifice
Cette femme est une flamme, ainsi se ravive la réalité
C’était un rêve
(Pensez à comparer les vers entre les deux strophes ^^)
