Un doute se creuse dans les Sions de ma vie.
Un gouffre sans fond, inhumain et sinueux à l’infinie.
Il est le néant dans mes entrailles et tapisse mon corps,
Comme un virus, m’infligeant la mort.
Dans mon ombre il me découpe en fines lames
Mes espoirs, mes joies et mes larmes.
Me faisant croire aux illusions familières
Vivre heureux sur cette terre.
Une plaie de cauchemars brisant mon chemin,
Je me réveille chaque instant pensant que c’est la fin,
Mais la roue vicieuse de la vie vous donne peu
Et à tout moment vous reprends ceux qui vous rendent heureux.
Comme une flèche empoisonnée vous transperçant le cœur
Cessant le battement de la vie et faisant de la mort votre sœur.
Parfois nous pensons voire de l’espoir une lueurre
Mais, comme foudroyé, nous sommes frappés par la peur.
Voici en quelques mots le récit de mes doutes,
J’en ai pleins, comme des embuches sur ma route.
Le doute de la vie, de l’amour et de la joie,
Le doute de l’avenir, le doute de moi…
Un gouffre sans fond, inhumain et sinueux à l’infinie.
Il est le néant dans mes entrailles et tapisse mon corps,
Comme un virus, m’infligeant la mort.
Dans mon ombre il me découpe en fines lames
Mes espoirs, mes joies et mes larmes.
Me faisant croire aux illusions familières
Vivre heureux sur cette terre.
Une plaie de cauchemars brisant mon chemin,
Je me réveille chaque instant pensant que c’est la fin,
Mais la roue vicieuse de la vie vous donne peu
Et à tout moment vous reprends ceux qui vous rendent heureux.
Comme une flèche empoisonnée vous transperçant le cœur
Cessant le battement de la vie et faisant de la mort votre sœur.
Parfois nous pensons voire de l’espoir une lueurre
Mais, comme foudroyé, nous sommes frappés par la peur.
Voici en quelques mots le récit de mes doutes,
J’en ai pleins, comme des embuches sur ma route.
Le doute de la vie, de l’amour et de la joie,
Le doute de l’avenir, le doute de moi…