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Mentir à soi-même ou ne pas reconnaitre sa vérité.

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Poète libéré
#1
Sous ton regard
D'ébéne
Je sens que tu m'aimes.


Tu préfére me faire
Souffrir
Plûtôt que te trahir
Et me dire que
tu me désire.


je sens en toi
Un grand émoi
Lorsque je me blottis
Petit à petit
Dans tes bras.


Lorsque nos bouches
Se touchent
Je sens en douce
Ton coeur qui fait la course.


Arrête de mentir,
Et vient me dire,
Que loin de moi,
Tu délires
Et que tu as besoin
De moi
Pour vivre ton avenir!


La rosée du matin
brille dans le jardin
Perlée sur ma peau
Apprétéee au repos;
Tu me tires par la main
Pour te blottir sur mes seins
Avec une infinie délicatesse
Tu grapille et ne cesse
De sucer ce bourgeon
Qu'est surgé en téton
Tout rose et tendu
Tout chose et dodu.


De ta langue habile
Délirante et subtile
Tu fais monter en moi
Le désir tactil
De frôler maint endroits
Du plus chaud au plus froid
Du plus haut au plus bas.
De caresser ce corps
Epargné de remords.



Envie de te sentir
L'envie du désir
Grimper sur l'échelle
Sensuelle de la volupté
Exaltée.






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