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Détresse sociale.
Le second courrier, qui est remonté jusqu'à Gilles Moretton, mentionne à nouveau la situation de la salariée en arrêt maladie déjà évoquée dans la première lettre. Son « amère expérience » est la « goutte d'eau qui a fait déborder le vase », est-il écrit. Les rédacteurs de cette nouvelle lettre disent aussi compter « 150 départs sur 400 salariés en trois ans, du jamais vu » et dressent un constat cinglant de l'atmosphère viciée qui régnerait au sein de la FFT, dont le siège se situe sur le site de Roland-Garros : « injustices » ; « manque de reconnaissance » ; « gens qui pleurent dans les couloirs » ; « départs d'éléments compétents et investis au profit de copinages aux compétences aléatoires » ; « manque d'humanité au sein de la direction des ressources humaines ».
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