J’ai été une enfant gentille
Comme toutes les petites filles
Sage et toujours obéissante
Souriante, toujours contente
J’ai grandi, j’ai un peu mûri,
Mais pas assez à mon avis
Car je n’ai jamais réussi
A m’imposer. Mais c’est ainsi !
Je suis devenue une femme
Malgré les pleurs, malgré les drames
Souvent j’ai cru trouver l’amour
Mais la vie joue souvent des tours
J’avais pensé faire le bon choix
Mais dans la vie il ne faut pas
Que les autres parlent à votre place
Et je me suis voilée la face
Je me suis laissée submerger
Jamais je n’ai su m’imposer
Ne voulant pas blesser les autres
Je me suis oubliée entre autre
Les années se sont écoulées
Mes espoirs se sont envolés
Je disais « Nous sommes heureux,
Nos deux enfants sont merveilleux »
Je savais bien qu’un jour, c’est sûr,
J’arriverais au pied du mur,
Reculant sans cesse l’échéance
Qui changerait mon existence
Par peur de blesser, de faire mal,
Je niais cette issue fatale
Mais le pire, je pense, est derrière
Car j’ai explosé les barrières
Je n’ai rien à me reprocher
Sinon d’avoir tenté d’aimer
Quelqu’un qui ne m’acceptait pas
Car je ne lui ressemblais pas
Je me retrouve maintenant,
Comme lorsque j’avais vingt ans
Pleine d’espoirs, et aimant rire
Me voilà, je m’appelle Elvire
Comme toutes les petites filles
Sage et toujours obéissante
Souriante, toujours contente
J’ai grandi, j’ai un peu mûri,
Mais pas assez à mon avis
Car je n’ai jamais réussi
A m’imposer. Mais c’est ainsi !
Je suis devenue une femme
Malgré les pleurs, malgré les drames
Souvent j’ai cru trouver l’amour
Mais la vie joue souvent des tours
J’avais pensé faire le bon choix
Mais dans la vie il ne faut pas
Que les autres parlent à votre place
Et je me suis voilée la face
Je me suis laissée submerger
Jamais je n’ai su m’imposer
Ne voulant pas blesser les autres
Je me suis oubliée entre autre
Les années se sont écoulées
Mes espoirs se sont envolés
Je disais « Nous sommes heureux,
Nos deux enfants sont merveilleux »
Je savais bien qu’un jour, c’est sûr,
J’arriverais au pied du mur,
Reculant sans cesse l’échéance
Qui changerait mon existence
Par peur de blesser, de faire mal,
Je niais cette issue fatale
Mais le pire, je pense, est derrière
Car j’ai explosé les barrières
Je n’ai rien à me reprocher
Sinon d’avoir tenté d’aimer
Quelqu’un qui ne m’acceptait pas
Car je ne lui ressemblais pas
Je me retrouve maintenant,
Comme lorsque j’avais vingt ans
Pleine d’espoirs, et aimant rire
Me voilà, je m’appelle Elvire