Mes mains descendent le long de ton dos nu
Huileuses de senteurs épicées, su ta peau tendue
Allongé sur le lit, abandonné sous mes doigts
Ton corps réchauffé, frémit déjà.
Je sens ta respiration qui s’apaise lentement
Au rythme des vagues qui s’étalent insidieusement
De tes reins à tes épaules musclées, déferlantes
De sensations de plus en plus irradiantes
Mes mains remontent le long de ta colonne vertébrale
Comme un lotus qui s’éveille sous la fraîcheur matinale
A chaque effleurement un frisson te parcourt tout entier
Me laissant deviner de moins anodines pensées.
Je sens tes hanches, ton bassin qui se cambrent
Décidément, Non tu ne sortiras pas de la chambre
Laisse moi profiter de cette emprise sur tes sens
Et me combler de cette envie de plaisir immense.
Le mouvement de va et vient de mes paumes sur tes reins
Joue et agace mon inconscient quand le tissu fin
De mes bretelles en dentelle glisse outrageusement
Dévoilant ma poitrine offerte généreusement
Stop mon amour je m’arrêterai là
Sinon, la tentation de descendre un peu plus bas
Va attiser en moi, le frénétique désir
De te laisser unique maître de mon plaisir
Et si …
Tes mains descendent le long de mon corps dévêtu
Humides, moites, d’insinuations mises à nues
Dans le tourbillon de l’automne, je ne pourrai
Que me laisser dompter par tes caresses enfiévrées
Mari et femme confondus
Sous les draps de l’amour absolu.
Isabelle
Huileuses de senteurs épicées, su ta peau tendue
Allongé sur le lit, abandonné sous mes doigts
Ton corps réchauffé, frémit déjà.
Je sens ta respiration qui s’apaise lentement
Au rythme des vagues qui s’étalent insidieusement
De tes reins à tes épaules musclées, déferlantes
De sensations de plus en plus irradiantes
Mes mains remontent le long de ta colonne vertébrale
Comme un lotus qui s’éveille sous la fraîcheur matinale
A chaque effleurement un frisson te parcourt tout entier
Me laissant deviner de moins anodines pensées.
Je sens tes hanches, ton bassin qui se cambrent
Décidément, Non tu ne sortiras pas de la chambre
Laisse moi profiter de cette emprise sur tes sens
Et me combler de cette envie de plaisir immense.
Le mouvement de va et vient de mes paumes sur tes reins
Joue et agace mon inconscient quand le tissu fin
De mes bretelles en dentelle glisse outrageusement
Dévoilant ma poitrine offerte généreusement
Stop mon amour je m’arrêterai là
Sinon, la tentation de descendre un peu plus bas
Va attiser en moi, le frénétique désir
De te laisser unique maître de mon plaisir
Et si …
Tes mains descendent le long de mon corps dévêtu
Humides, moites, d’insinuations mises à nues
Dans le tourbillon de l’automne, je ne pourrai
Que me laisser dompter par tes caresses enfiévrées
Mari et femme confondus
Sous les draps de l’amour absolu.
Isabelle