Alors que je suis couchée, je voies par la fenêtre
Des oiseaux qui chantent le printemps qui vient de naître.
Un rayon de soleil éclaire son beau berceau
Tandis que la maladie éclaire mon tombeau.
Une quinte de toux violente m'arrache les poumons
Et à mes pieds, de la mort, je distingue un vilain démon.
Et alors que dehors, il fait beau, tout le monde s'amuse,
Lentement je crève sous les yeux arrogants d'une buse.
Tiens! C'est bizarre, il pleut. Me serais-je trompée?
Il vente même et tous mes vers sont donc faussés.
Qu'importe, puisque j'agonise
Mais le soleil n'est plus de mise.
Diantre! Il n'y a que moi pour souffrir autant.
Enfin, dans cette maison, comme je l'entends.
Le sommeil m'accable et je ne peux respirer,
Je ne peux dormir. Mon cas est désespéré.
Qui de vous oserait nier mon état critique?
J'étouffe, je me meurs. C'est vraiment dramatique.
J'ai attrapé un rhume mais c'est assez
Afin de croire que je vais trépasser.
Des oiseaux qui chantent le printemps qui vient de naître.
Un rayon de soleil éclaire son beau berceau
Tandis que la maladie éclaire mon tombeau.
Une quinte de toux violente m'arrache les poumons
Et à mes pieds, de la mort, je distingue un vilain démon.
Et alors que dehors, il fait beau, tout le monde s'amuse,
Lentement je crève sous les yeux arrogants d'une buse.
Tiens! C'est bizarre, il pleut. Me serais-je trompée?
Il vente même et tous mes vers sont donc faussés.
Qu'importe, puisque j'agonise
Mais le soleil n'est plus de mise.
Diantre! Il n'y a que moi pour souffrir autant.
Enfin, dans cette maison, comme je l'entends.
Le sommeil m'accable et je ne peux respirer,
Je ne peux dormir. Mon cas est désespéré.
Qui de vous oserait nier mon état critique?
J'étouffe, je me meurs. C'est vraiment dramatique.
J'ai attrapé un rhume mais c'est assez
Afin de croire que je vais trépasser.