Stalactites sur les sapins,
Blancheur inégalée à l’horizon,
J’aime la chaleur de la cheminée
Qui réchauffe mes petits petons
Et un vent de douceur vibre doucement,
Réveille les fleurs et la faune fragile.
La primavera ouvre mes sens sagement,
Les doigts vagabondent et deviennent tactiles.
Et voilà la sueur de l’été,
Aussi chaude que les baisers de mon amant.
Le petit pull le soir devant l’apéro,
On se sent si bien devant le soleil levant
Ce soleil qui lentement se lève moins haut,
Et les arbres qui changent de manteau.
Les enfants créent des coussins de feuilles,
Le panier de champignons m’attend sur le seuil.
Blancheur inégalée à l’horizon,
J’aime la chaleur de la cheminée
Qui réchauffe mes petits petons
Et un vent de douceur vibre doucement,
Réveille les fleurs et la faune fragile.
La primavera ouvre mes sens sagement,
Les doigts vagabondent et deviennent tactiles.
Et voilà la sueur de l’été,
Aussi chaude que les baisers de mon amant.
Le petit pull le soir devant l’apéro,
On se sent si bien devant le soleil levant
Ce soleil qui lentement se lève moins haut,
Et les arbres qui changent de manteau.
Les enfants créent des coussins de feuilles,
Le panier de champignons m’attend sur le seuil.