Ecrire toujours et encore, écrire de plus en plus pour ne pas sombrer
Tous ces mots mis bout à bout, pour oublier toutes ces souffrances
Regarder son passé, et se rendre compte de ses erreurs, être écœuré
Et toutes ces erreurs se les rappeler, dans notre tête malade, dansent
Si vous saviez comme il est si facile, après un mauvais pas, de tomber
Oui, cette vie au début nous parait être belle, pendant notre enfance
Il nous semble être heureux, et de vivre simplement s’en contenter
Mais les années passent si vite, que l’on se retrouve déjà a l’adolescence
Et de se rendre compte que ces belles années d’enfant, sont vite passées
Mais d’un enfant à un homme, on croit devenir, et adulte on est de penser
Et de vouloir être homme, perdre toutes ses illusions, et son insouciance
Si pressé on est, de s’affirmer, et sa douceur d’enfant vouloir la cacher
Oui mon dieu, pourquoi vouloir ainsi vieillir, et aller plus vite que la danse
Non, chaque chose en son temps, chaque étape, nous devons les accepter
Etre un homme, encore a moitié enfant, garder un peu d’espoir, d’espérance
Ne pas avoir honte de montrer son amour, et de surtout, de bien le distiller
Non, l’amour, la tendresse, ne sont pas que féminins, l’accepter avec décence
Etre romantique, pourquoi l’homme doit il ne pas l’être ? Et aussi le montrer
Mais qu’il est dur souvent, il faut être fort, caché, pour assurer sa défense
Il arrive parfois qu’un drame, vienne en plus tel un grain de sable s’en mêler
Cruelle est cette vie, ce grain de sable peut détruire, sans comprendre le sens
Alors que le ciel sur vous s’écroule, l’homme enfant doit d’un seul coup assumer
Vie que l’on croyait indestructible, d’un coup on vous l’ôte, dieu quelle offense
Avec horreur cet être merveilleux, qui vous a choyé, et bercé, vous est enlevé
Peu a peu on le vois décliner, dépérir, ronger, impuissant, devant la décadence
L’homme enfant que j’étais face a la faucheuse, mon dieu que j’étais désorienté
Une confrontation a laquelle je n’étais pas préparé, tant mon père de l’encenser
Sacrilège, ce demi dieu, qu’est cet être cher, face alors a la mort, ne peut gagner
Vaincu, impuissant, le cœur brisé, le cœur anéanti, on attend cette délivrance
Impérieuse envie de hurler sa détresse, crier sa haine, et sur soi se refermer
Trop fier, par respect, ne pas pleurer, mais dans le cœur coulent en abondance
Et paraître un homme, se cacher derrière la dureté, quand en terre on l’a porté
Que de souffrances endurées, dans cette saloperie de vie, jusqu'à son échéance
Une épreuve, qui fait que dans la mélancolie, la folie, je me suis depuis enfermé
Et derrière un masque me dissimuler, pour vivre cette putain de vie d’errance
Vivre, parce qu’il le faut, lentement s’enfermer, dans la décadence se murer
Oui, survivre avec ce manque, et n’avoir aucun dieu, car il n’a aucune clémence
Une vie que l’on porte comme un fardeau, de plus en plus lourd à supporter
Sans aucune envie, tant cette épreuve, et cette faucheuse sont omniprésentes
Combien il est dur, du stade d’enfant, vers l’homme contre l’injustice se dresser
Réagir, quand toutes ses forces, dans cette bataille on a perdu, aucune chance
Oui, certains y arrivent, devant l’adversité, peu a peu, réussissent à se redresser
Y a-t-il honte, à ne pas y avoir réussi ? Sombrer corps et âme dans la déchéance
Et inconsciemment rechercher de l’amour, coûte que coûte, et ce, a en crever
Zigzagant dans cette vie, allant même jusque dans l’alcool noyer cette absence
Et se condamner soi même, quitte à vendre son âme au diable, et se damner
Tout ce trop plein d’amour, orphelin, dans d’autres bras, oui on le dispense
Combien de descente aux enfers, de cigarettes et de verres du condamné
‘
Et les années passant, se rendre compte, que sa vie a un goût amer, si rance
Soi même, être son pire ennemi, ne plus avoir pour soi une once de dignité
Tant de fois cette envie de se balancer, en espérant que le cœur flanche
Fuir sa vie, son ombre, ses beaux sentiments de les exprimer, s’en empêcher
Il ne me reste rien, ma vie, devenue si fade, si jeune, sans aucune fragrance
Ne plus avoir de respect pour soi même, il y a longtemps que je l’ai enterré
Il me reste ma fin à réussir en beauté, quel pied de nez, quelle belle vengeance….
Etrangemessager
Tous ces mots mis bout à bout, pour oublier toutes ces souffrances
Regarder son passé, et se rendre compte de ses erreurs, être écœuré
Et toutes ces erreurs se les rappeler, dans notre tête malade, dansent
Si vous saviez comme il est si facile, après un mauvais pas, de tomber
Oui, cette vie au début nous parait être belle, pendant notre enfance
Il nous semble être heureux, et de vivre simplement s’en contenter
Mais les années passent si vite, que l’on se retrouve déjà a l’adolescence
Et de se rendre compte que ces belles années d’enfant, sont vite passées
Mais d’un enfant à un homme, on croit devenir, et adulte on est de penser
Et de vouloir être homme, perdre toutes ses illusions, et son insouciance
Si pressé on est, de s’affirmer, et sa douceur d’enfant vouloir la cacher
Oui mon dieu, pourquoi vouloir ainsi vieillir, et aller plus vite que la danse
Non, chaque chose en son temps, chaque étape, nous devons les accepter
Etre un homme, encore a moitié enfant, garder un peu d’espoir, d’espérance
Ne pas avoir honte de montrer son amour, et de surtout, de bien le distiller
Non, l’amour, la tendresse, ne sont pas que féminins, l’accepter avec décence
Etre romantique, pourquoi l’homme doit il ne pas l’être ? Et aussi le montrer
Mais qu’il est dur souvent, il faut être fort, caché, pour assurer sa défense
Il arrive parfois qu’un drame, vienne en plus tel un grain de sable s’en mêler
Cruelle est cette vie, ce grain de sable peut détruire, sans comprendre le sens
Alors que le ciel sur vous s’écroule, l’homme enfant doit d’un seul coup assumer
Vie que l’on croyait indestructible, d’un coup on vous l’ôte, dieu quelle offense
Avec horreur cet être merveilleux, qui vous a choyé, et bercé, vous est enlevé
Peu a peu on le vois décliner, dépérir, ronger, impuissant, devant la décadence
L’homme enfant que j’étais face a la faucheuse, mon dieu que j’étais désorienté
Une confrontation a laquelle je n’étais pas préparé, tant mon père de l’encenser
Sacrilège, ce demi dieu, qu’est cet être cher, face alors a la mort, ne peut gagner
Vaincu, impuissant, le cœur brisé, le cœur anéanti, on attend cette délivrance
Impérieuse envie de hurler sa détresse, crier sa haine, et sur soi se refermer
Trop fier, par respect, ne pas pleurer, mais dans le cœur coulent en abondance
Et paraître un homme, se cacher derrière la dureté, quand en terre on l’a porté
Que de souffrances endurées, dans cette saloperie de vie, jusqu'à son échéance
Une épreuve, qui fait que dans la mélancolie, la folie, je me suis depuis enfermé
Et derrière un masque me dissimuler, pour vivre cette putain de vie d’errance
Vivre, parce qu’il le faut, lentement s’enfermer, dans la décadence se murer
Oui, survivre avec ce manque, et n’avoir aucun dieu, car il n’a aucune clémence
Une vie que l’on porte comme un fardeau, de plus en plus lourd à supporter
Sans aucune envie, tant cette épreuve, et cette faucheuse sont omniprésentes
Combien il est dur, du stade d’enfant, vers l’homme contre l’injustice se dresser
Réagir, quand toutes ses forces, dans cette bataille on a perdu, aucune chance
Oui, certains y arrivent, devant l’adversité, peu a peu, réussissent à se redresser
Y a-t-il honte, à ne pas y avoir réussi ? Sombrer corps et âme dans la déchéance
Et inconsciemment rechercher de l’amour, coûte que coûte, et ce, a en crever
Zigzagant dans cette vie, allant même jusque dans l’alcool noyer cette absence
Et se condamner soi même, quitte à vendre son âme au diable, et se damner
Tout ce trop plein d’amour, orphelin, dans d’autres bras, oui on le dispense
Combien de descente aux enfers, de cigarettes et de verres du condamné
‘
Et les années passant, se rendre compte, que sa vie a un goût amer, si rance
Soi même, être son pire ennemi, ne plus avoir pour soi une once de dignité
Tant de fois cette envie de se balancer, en espérant que le cœur flanche
Fuir sa vie, son ombre, ses beaux sentiments de les exprimer, s’en empêcher
Il ne me reste rien, ma vie, devenue si fade, si jeune, sans aucune fragrance
Ne plus avoir de respect pour soi même, il y a longtemps que je l’ai enterré
Il me reste ma fin à réussir en beauté, quel pied de nez, quelle belle vengeance….
Etrangemessager