Métamorphes
Au nord-ouest de Gaïa, se trouvent blottis
Entre les monts du vent et l’océan de glace,
Les cinq anciens royaumes de Métamorphia.
Ces peuples ont en commun, outre leurs dynasties,
Un étrange pouvoir inhérent à leurs races.
Ce qui les exilait, soudain, les unifia.
Car ils étaient honnis pour leur étrangeté,
Mais quand ce fut la guerre et que chaque Gaïen
Dû trouver le moyen de défendre les siens,
Vipérines, Aelders, Sylphes et Lycantes
Dévoilèrent au monde leur arme puissante.
Et Gaïa fut sauvée par cette faculté.
Car si leur corps avait presque semblance humaine,
Il était tout autant d’une autre variété.
Ainsi les Aelders devenaient des oiseaux
Pour la chasse ou la guerre, ou pour voler plus haut.
Les sylphes se changeaient en branches et feuillées,
Invisibles espions, réseau de pensée-chaîne.
Le corps des Vipérines créait le danger,
Elles semaient la mort en silence, en mordant.
Les Félides feulaient, rugissaient et griffaient,
Leur souplesse au combat était leur primauté.
Quand aux Lycantes, sens affûtés, cœurs vaillants,
L’Esprit du loup les avait faits guerriers parfaits !
C’est ainsi que les peuples de Métamorphia
Imposèrent leurs races et les unifièrent
En puissante nation, comptant parmi les Sages.
Ils siègent désormais au conseil de Gaïa,
Aux coté des Elfes d’Alorée, des Nains fiers,
Des centaures, des fées, jusqu’au fin fond des âges.
Au nord-ouest de Gaïa, se trouvent blottis
Entre les monts du vent et l’océan de glace,
Les cinq anciens royaumes de Métamorphia.
Ces peuples ont en commun, outre leurs dynasties,
Un étrange pouvoir inhérent à leurs races.
Ce qui les exilait, soudain, les unifia.
Car ils étaient honnis pour leur étrangeté,
Mais quand ce fut la guerre et que chaque Gaïen
Dû trouver le moyen de défendre les siens,
Vipérines, Aelders, Sylphes et Lycantes
Dévoilèrent au monde leur arme puissante.
Et Gaïa fut sauvée par cette faculté.
Car si leur corps avait presque semblance humaine,
Il était tout autant d’une autre variété.
Ainsi les Aelders devenaient des oiseaux
Pour la chasse ou la guerre, ou pour voler plus haut.
Les sylphes se changeaient en branches et feuillées,
Invisibles espions, réseau de pensée-chaîne.
Le corps des Vipérines créait le danger,
Elles semaient la mort en silence, en mordant.
Les Félides feulaient, rugissaient et griffaient,
Leur souplesse au combat était leur primauté.
Quand aux Lycantes, sens affûtés, cœurs vaillants,
L’Esprit du loup les avait faits guerriers parfaits !
C’est ainsi que les peuples de Métamorphia
Imposèrent leurs races et les unifièrent
En puissante nation, comptant parmi les Sages.
Ils siègent désormais au conseil de Gaïa,
Aux coté des Elfes d’Alorée, des Nains fiers,
Des centaures, des fées, jusqu’au fin fond des âges.