Souvenir d'une lueur dérisoire
Le vent regret a balayé
Belle illusion de tes pensées
Qui un instant t’a fait rêver
Par folie songer être aimé
Mais son cœur s’est emprisonné
Et ta main ne tient pas la clef
Qui pourrait enfin délivrer
Si doux plaisirs tant refoulés
C’est dans le champs de ta tristesse
Que tu caches tes larmes épaisses
Qui te noient des idées faiblesses
Bien loin de toi voguent les caresses
Ta vie ne cesse de dériver
Sur l’océan des âmes blessées
Tel le radeau des coeurs brisés
Qui navigue sur les mers gelées
Et c’est au goût de l’amertume
Que ton humeur remplit de brume
Cherche une braise qui encore fume
Pour qu’une fine lumière s’allume
Et ravive ce phare qui un soir
Te guida doucement plein d’espoir
Vers une lueur dans son regard
Soupçon de bleu dans ses yeux noirs
Le vent regret a balayé
Belle illusion de tes pensées
Qui un instant t’a fait rêver
Par folie songer être aimé
Mais son cœur s’est emprisonné
Et ta main ne tient pas la clef
Qui pourrait enfin délivrer
Si doux plaisirs tant refoulés
C’est dans le champs de ta tristesse
Que tu caches tes larmes épaisses
Qui te noient des idées faiblesses
Bien loin de toi voguent les caresses
Ta vie ne cesse de dériver
Sur l’océan des âmes blessées
Tel le radeau des coeurs brisés
Qui navigue sur les mers gelées
Et c’est au goût de l’amertume
Que ton humeur remplit de brume
Cherche une braise qui encore fume
Pour qu’une fine lumière s’allume
Et ravive ce phare qui un soir
Te guida doucement plein d’espoir
Vers une lueur dans son regard
Soupçon de bleu dans ses yeux noirs