Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

L'instant sybarite

epervier

Nouveau poète
#1
L’instant sybarite
Tu caresses mes désirs au gré des flots.
Ton charme me déroute devant l’extase.
Je subis à ravir tes chaudes lèvres.
Tu me désarmes malgré ma passivité.

Ta peau respire le parfum, le désir.
L’envie de t’envahir me comble maintenant.
Je suis ton serviteur léchant tes seins.
Le soleil m’envahit à ma grande surprise.

Le vent balaie mes incertitudes sensuelles.
Le soldat exhibe la justesse de ses propos.
Un terrain merveilleux chatouillant ta soie.
Tu es l’ivresse incontestée, l’enchantement.

Je déchire mes vêtements inutiles avec énergie.
Mon corps frétille, ma peau se réchauffe…
Le sublime s’accentue dans un élan éperdu.
J’aime l’accord pianotant mes ferveurs.

Je défroisse ta robe légère d’un bleu éclatant.
Ta nudité soudaine émerveille mes yeux enchantés.
Mes mains sillonnent tes contours charnels.
Messe divine dans l’euphorie voluptueuse.

Bémol ignoré, la note s’active dans l’expectative.
La complainte heureuse harmonise le décor luxuriant.
Le délice s’abreuve d’un repas jouissif.
L’apothéose s’exprime, sourire assuré.
André, épervier
 

lebounty

Nouveau poète
#2
Si les terminaisons etaient respectées,ce serait le plus beau poeme.
Mais tu l as ecrit en forme de dissertation.En tout cas,continue
Et bravo
 

epervier

Nouveau poète
#4
Niko,
Je vous remercie de vos commentaires.

Bouabid,
Les terminaisons respectées?... mais pourquoi?
Un écrit poétique peut prendre plusieurs formes tout en ne respectant pas la rime sévère ou encore, ce que j'appelle, la "mécanique littéraire".
Les mots se doivent être d'une grande souplesse et cela consitue un "beau poème",
veuillez me croire!
Je vous remercie d'avoir pris le temps de commenter cet écrit.
amitiés québécoises,
André, épervier