En guise d'amour, je te dédie ce poéme,
Truffé de rimes riches et d'alexandrins,
Offrande d'un courtisan bien peu bohéme,
A l'ésprit flatteur s'oppose le malandrin.
Le jaloux mal intentionné, bête, méchant,
Ne verrait somme toute qu un simple paladin,
Dans cette relation aux accents si alléchants
J'en reponds de la vérité de mon doux coeur,
Bercé par la lumiere magique d'Aladin,
Cette riche lampe qui jamais ne m'écoeure.
Ma vénus, ma reine des mille et une nuits,
J'incarne ton amant, ton simple troubadour,
Je te veux séduite comme la pompadour,
Maîtresse du roi, et puis nuls autres ennuis.
J'ose te peindre, fou, telle mon aphrodite,
Elan fort, dément, sans aucune retenue,
Allaiter ainsi la flamme interdite,
Source de liaision, dans ma prison, detenue.
Je sens ce soir, le bonheur, la plénitude,
Douce naissance du papillon volage,
Voguant dans le néant de l'infinitude,
S'enchere à la crieé du racolage.
Pourtant je demeure sourd à tous ces appels,
Un être vous manque et tout est depeuplé,
Je médite âprement dans ma chapelle,
A cette femme, qui pour ma vie, a tant peuplée.
Peu importe les sollicitations, l'envie,
Je me souviens que même si l'on essaime,
Persiste, le souvenir vivace d'une vie,
Dieu réunit toujours, fidèle, ceux qui s'aiment.
Truffé de rimes riches et d'alexandrins,
Offrande d'un courtisan bien peu bohéme,
A l'ésprit flatteur s'oppose le malandrin.
Le jaloux mal intentionné, bête, méchant,
Ne verrait somme toute qu un simple paladin,
Dans cette relation aux accents si alléchants
J'en reponds de la vérité de mon doux coeur,
Bercé par la lumiere magique d'Aladin,
Cette riche lampe qui jamais ne m'écoeure.
Ma vénus, ma reine des mille et une nuits,
J'incarne ton amant, ton simple troubadour,
Je te veux séduite comme la pompadour,
Maîtresse du roi, et puis nuls autres ennuis.
J'ose te peindre, fou, telle mon aphrodite,
Elan fort, dément, sans aucune retenue,
Allaiter ainsi la flamme interdite,
Source de liaision, dans ma prison, detenue.
Je sens ce soir, le bonheur, la plénitude,
Douce naissance du papillon volage,
Voguant dans le néant de l'infinitude,
S'enchere à la crieé du racolage.
Pourtant je demeure sourd à tous ces appels,
Un être vous manque et tout est depeuplé,
Je médite âprement dans ma chapelle,
A cette femme, qui pour ma vie, a tant peuplée.
Peu importe les sollicitations, l'envie,
Je me souviens que même si l'on essaime,
Persiste, le souvenir vivace d'une vie,
Dieu réunit toujours, fidèle, ceux qui s'aiment.