Les pleure du Sahara irrigue une terre sèche et abandonnée,
Inonde les oasis, source de vie dans ce monde assoiffé,
Assoiffé d’une telle avidité,
Que la chaleur du sable frétillant sous nos pieds,
Ne peut s’en retenir de pleuré !
La vie humaine demeure telle une âme abandonnée,
Une âme ne cessant de se lamenter,
Sur ces personnes temps aimées,
Que l’ivresse de la solitude ont permis d’oublié.
Oublié que l’esprit humain demeure une âme tourmentée,
Même dans l’Eden de l’éternité
Ou l’âme s’envole comme un baisé abandonnée.
Tels le Sahara rougeoyant sous le soleil couché,
Mais malheureusement demeurant triste et abandonné
Comme une brise d’été dans une mer assoiffée.
Assoiffée par la cupidité,
D’âme qui ne semble tourmentée
Par cette verdoyante nature qui les a crées
Et qu’ils s’indifférent à déboiser !
Le Sahara pleure …
Inonde les oasis, source de vie dans ce monde assoiffé,
Assoiffé d’une telle avidité,
Que la chaleur du sable frétillant sous nos pieds,
Ne peut s’en retenir de pleuré !
La vie humaine demeure telle une âme abandonnée,
Une âme ne cessant de se lamenter,
Sur ces personnes temps aimées,
Que l’ivresse de la solitude ont permis d’oublié.
Oublié que l’esprit humain demeure une âme tourmentée,
Même dans l’Eden de l’éternité
Ou l’âme s’envole comme un baisé abandonnée.
Tels le Sahara rougeoyant sous le soleil couché,
Mais malheureusement demeurant triste et abandonné
Comme une brise d’été dans une mer assoiffée.
Assoiffée par la cupidité,
D’âme qui ne semble tourmentée
Par cette verdoyante nature qui les a crées
Et qu’ils s’indifférent à déboiser !
Le Sahara pleure …