Doucement je m’avance
À pas délicats et discrets
J’entre dans cette forêt
Toujours avec prudence
Mon ouïe perçoit des voix
Et mon cœur devient agité
Frémissant de ces chants sacrés
Mais je garde mon sang-froid
Des ombres inondent ma vue
Tournent, pivotent, passent…
Repassent et se déplacent
Puis les voix ne chantent plus
Seule, où règne un tel silence
Dans ce lieu, forme pentagone
Si étrange, je m’en étonne
Oh! Comme c’est immense
Au loin, un fleuve paisible
Où se dessine une allure
Qui reprends les doux murmures
Un regard me fixe tel une cible
Plus proche du rivage
Je distingue une apparence
J’identifie une fragrance
Qui m’attire dans les marécages
Incorrection fatale !
Cette face qui me charme
Sort lentement une arme
Je sens alors un vent glacial
Maintenant, de l’autre coté
Antre de la féerie
Paradis de la magie
Elle m’a pris mon identité
À pas délicats et discrets
J’entre dans cette forêt
Toujours avec prudence
Mon ouïe perçoit des voix
Et mon cœur devient agité
Frémissant de ces chants sacrés
Mais je garde mon sang-froid
Des ombres inondent ma vue
Tournent, pivotent, passent…
Repassent et se déplacent
Puis les voix ne chantent plus
Seule, où règne un tel silence
Dans ce lieu, forme pentagone
Si étrange, je m’en étonne
Oh! Comme c’est immense
Au loin, un fleuve paisible
Où se dessine une allure
Qui reprends les doux murmures
Un regard me fixe tel une cible
Plus proche du rivage
Je distingue une apparence
J’identifie une fragrance
Qui m’attire dans les marécages
Incorrection fatale !
Cette face qui me charme
Sort lentement une arme
Je sens alors un vent glacial
Maintenant, de l’autre coté
Antre de la féerie
Paradis de la magie
Elle m’a pris mon identité