Que en regardant mes peintures,
leur lecture te soit torture,
Tremble devant toute la haine et sa splendeur
Releve la tete, defie la, et s'il te plait avec ardeur
Fixe la... Concentre toi, perd y toi...
Y es tu tout entier ? Te sent, tu en dedans?
Regarde la bon dieu !! Alors?? tu t'y noie?
Tu y apprend quoi??!! Il y a quoi? Rien, rien ! RIEN !
Bordel ! Jtes dit de bien regarder !
Tu la sent, la mort? la paleur, la peur, et les pleurs?
Tu ressent leurs tristesse, aux condamnés?
Prend les en pitié,
car eux, n'en n'aurons pas l'idée
ici bas, nul courage, nul espoir, aucunes vraie valeurs
Aux sentiments contradictoires t'es tu toi meme enchainé?
Et tu a ses pieds?
Cherie les !
Adule les !
Baise les, allez!!
Comprend la putain de verité !
Ferme les yeux,
Mais fait pas tes adieux,
Je veut que ton esprit soit noir,
calme posé, tranquille , son miroir.
Réimagine toi la tableau,
de la douleur, des cris,
infinis.
Du vert, du rouge, de la vivacité, exitée
apllaudis les
De l'expression, du blanc, jaune et du marron
Chantons !
De la violence, pure, du sang !
transparent
Croise le regard de cette femme te suppliant de l'achever
Fais la SAIGNER !!
boit son sang,
soit brutal, mais pas trop mechant,
Elle pleure, ses larmes sont des diamands,
Qu'il sertissent ta couronne de la mort, toi son amant
Un trone, une princesse funebre,
Tes amis sont les tenebres.
Un feu vif te traverse,
Une violente, pluie, enflammée, l'averse
Ton coeur transpercé,
Un saubresaut, tu tresailles, vomis, tes larmes sont amerement salées, l'as tu oublié?
Reveille toi, soit parmis nous, rouvres ton coeur,
Ton ame, tes yeux, ta conscience aigue
Oublie de ton extase la froideur
Allons, mon frere, tu es a nouveau le bienvenu.
Tu es retourné dans la réalité,
Avec le tableau, ta tete a trop tournée,
tes pensées, vagues balbitiements proferés
Choque toi !! Reviens dans se putain de monde, tu en a que trop saigné.
Allez, ne pleure plus, cest finis,
Belle esperience n'est ce pas?
Dans la folie avancer a grands pas,
grace a se petit tableau, cette oeuvre batarde qui tas aéantie.
Alors je ne proferais qu'une seule phrase
De tout tes prejugés, je les rases,
les paroles du peintre au chapeau noir,
Un corbeau, un fantome, qui a sont propre regard
Du monde adolescents, renfermé en lui meme
L'arome indecent, exitant, vivifiant, de l'hymen :
Les pensées du présent forment
Les actions du futur
Les actions du passé forment
Les discussions du présent.
Et les paroles a venir forgent
Un peu plus notre âme
A la pointe d'une lame
Que nul le temps change.
Toi tu ne peut changer le monde,
Le monde peut te changer,
Un tableau peut te boulverser, immonde
toi tu ne peut changer un art consummé
Cogite, pense, puis agit,
Tes agissement feront parler de toi,
sans ca tu n'existerai pas
Ne bouge plus, cet instant, parfait, tu le salis.
.
.
.
†Akuma-haiiro † ( 01/12/10)
leur lecture te soit torture,
Tremble devant toute la haine et sa splendeur
Releve la tete, defie la, et s'il te plait avec ardeur
Fixe la... Concentre toi, perd y toi...
Y es tu tout entier ? Te sent, tu en dedans?
Regarde la bon dieu !! Alors?? tu t'y noie?
Tu y apprend quoi??!! Il y a quoi? Rien, rien ! RIEN !
Bordel ! Jtes dit de bien regarder !
Tu la sent, la mort? la paleur, la peur, et les pleurs?
Tu ressent leurs tristesse, aux condamnés?
Prend les en pitié,
car eux, n'en n'aurons pas l'idée
ici bas, nul courage, nul espoir, aucunes vraie valeurs
Aux sentiments contradictoires t'es tu toi meme enchainé?
Et tu a ses pieds?
Cherie les !
Adule les !
Baise les, allez!!
Comprend la putain de verité !
Ferme les yeux,
Mais fait pas tes adieux,
Je veut que ton esprit soit noir,
calme posé, tranquille , son miroir.
Réimagine toi la tableau,
de la douleur, des cris,
infinis.
Du vert, du rouge, de la vivacité, exitée
apllaudis les
De l'expression, du blanc, jaune et du marron
Chantons !
De la violence, pure, du sang !
transparent
Croise le regard de cette femme te suppliant de l'achever
Fais la SAIGNER !!
boit son sang,
soit brutal, mais pas trop mechant,
Elle pleure, ses larmes sont des diamands,
Qu'il sertissent ta couronne de la mort, toi son amant
Un trone, une princesse funebre,
Tes amis sont les tenebres.
Un feu vif te traverse,
Une violente, pluie, enflammée, l'averse
Ton coeur transpercé,
Un saubresaut, tu tresailles, vomis, tes larmes sont amerement salées, l'as tu oublié?
Reveille toi, soit parmis nous, rouvres ton coeur,
Ton ame, tes yeux, ta conscience aigue
Oublie de ton extase la froideur
Allons, mon frere, tu es a nouveau le bienvenu.
Tu es retourné dans la réalité,
Avec le tableau, ta tete a trop tournée,
tes pensées, vagues balbitiements proferés
Choque toi !! Reviens dans se putain de monde, tu en a que trop saigné.
Allez, ne pleure plus, cest finis,
Belle esperience n'est ce pas?
Dans la folie avancer a grands pas,
grace a se petit tableau, cette oeuvre batarde qui tas aéantie.
Alors je ne proferais qu'une seule phrase
De tout tes prejugés, je les rases,
les paroles du peintre au chapeau noir,
Un corbeau, un fantome, qui a sont propre regard
Du monde adolescents, renfermé en lui meme
L'arome indecent, exitant, vivifiant, de l'hymen :
Les pensées du présent forment
Les actions du futur
Les actions du passé forment
Les discussions du présent.
Et les paroles a venir forgent
Un peu plus notre âme
A la pointe d'une lame
Que nul le temps change.
Toi tu ne peut changer le monde,
Le monde peut te changer,
Un tableau peut te boulverser, immonde
toi tu ne peut changer un art consummé
Cogite, pense, puis agit,
Tes agissement feront parler de toi,
sans ca tu n'existerai pas
Ne bouge plus, cet instant, parfait, tu le salis.
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†Akuma-haiiro † ( 01/12/10)
