Des lettres qui se déposent sur vos vies
Et là, commence le cercle de l'infini,
Des lettres qui forment des mots
Qui n'a de sens que pour vos maux,
Elles inondent l'air et s'engouffrent dans vos poumons ,
Transpirant à travers votre chair sans aucune raison,
Vos yeux ressemblent à des consonnes bien rondes
Lourdes et bruyantes, dans vos nuits elles grondent,
Hurlant le désir et l'envie
Ces textes s'impriment sur le chemin de l'oubli,
Ennivrant nos sens jusqu'à la mort
De nos coeurs blessés et de nos corps,
Nous écrivons les paragraphes de nos existences,
Parfois de minuscules paraphes se glissent dans ce que l'on pense,
Trop petits pour les lire d'un oeil clair,
C'est pourquoi, mon paragraphe je l'écris de mille vers,
Voilà ce que nous sommes en réalité,
Les passages d'un poème sans vérité,
Sûrement que nous ne sommes que les lettres qui le composent
Mais le va-et-vient de nos vies ne dépend que de proses,
En effet, le poète derrière sa plume nous décrit
Dans ces lignes douces tintées de mépris,
A sa guise, tantôt romantique et polis
Et parfois sans scrupules il nous punit,
La bibliothèque de l'humanité est bien remplie
Et de tout ces livres, une lettre simple je suis,
A choisir laquelle je souhaite être,
Je prendrai le A, mais ce n'est que paraître,
Le A de Amour pour mes frères
Celui de Amour pour ma mère,
Ou plutôt le P que je préfère
Car la Passion est semblable à toutes mes prières,
Passion pour mon grand amour
Passion pour mon petit amour.
Et là, commence le cercle de l'infini,
Des lettres qui forment des mots
Qui n'a de sens que pour vos maux,
Elles inondent l'air et s'engouffrent dans vos poumons ,
Transpirant à travers votre chair sans aucune raison,
Vos yeux ressemblent à des consonnes bien rondes
Lourdes et bruyantes, dans vos nuits elles grondent,
Hurlant le désir et l'envie
Ces textes s'impriment sur le chemin de l'oubli,
Ennivrant nos sens jusqu'à la mort
De nos coeurs blessés et de nos corps,
Nous écrivons les paragraphes de nos existences,
Parfois de minuscules paraphes se glissent dans ce que l'on pense,
Trop petits pour les lire d'un oeil clair,
C'est pourquoi, mon paragraphe je l'écris de mille vers,
Voilà ce que nous sommes en réalité,
Les passages d'un poème sans vérité,
Sûrement que nous ne sommes que les lettres qui le composent
Mais le va-et-vient de nos vies ne dépend que de proses,
En effet, le poète derrière sa plume nous décrit
Dans ces lignes douces tintées de mépris,
A sa guise, tantôt romantique et polis
Et parfois sans scrupules il nous punit,
La bibliothèque de l'humanité est bien remplie
Et de tout ces livres, une lettre simple je suis,
A choisir laquelle je souhaite être,
Je prendrai le A, mais ce n'est que paraître,
Le A de Amour pour mes frères
Celui de Amour pour ma mère,
Ou plutôt le P que je préfère
Car la Passion est semblable à toutes mes prières,
Passion pour mon grand amour
Passion pour mon petit amour.