LES FLAMANDS ROSES DE CAMARGUE
Les flamands roses prennent leur envol,
Avec leurs grandes ailes déployées,
Ils teintent le ciel tourmenté,
D’une longue traînée rose,
Cette envolée est un spectacle grandiose.
Avec les chevaux qui galopent en farandole,
Dans les étangs de Camargue sauvage,
Tous ces beaux paysages ne sont pas des mirages.
Les guitares pleurent à Ste Marie de la Mer,
Nous avons le cœur en bandoulière,
Le soir sur le parvis de l’église,
Les voies espagnoles se brisent,
Au son Fado.
Les danseurs frappent leur talon sur le sol,
Au rythme endiablé du flamenco,
Qui ensorcellent les couples d’amoureux,
Qui dansent les yeux dans les yeux.
La place s’enflamme,
La musique prend son envol,
Sur les tables, les bougies brillent et dansent,
Au rythme cadencé de la salsa,
Qui embrasent le cœur de nouveaux amants,
Et s’enivrent au parfum de la sangria.
La place attire de nouveaux passants,
Qui restent des heures bouche bée,
Jusqu’au clair de lune tamisée.
Les flamands roses prennent leur envol,
Avec leurs grandes ailes déployées,
Ils teintent le ciel tourmenté,
D’une longue traînée rose,
Cette envolée est un spectacle grandiose.
Avec les chevaux qui galopent en farandole,
Dans les étangs de Camargue sauvage,
Tous ces beaux paysages ne sont pas des mirages.
Les guitares pleurent à Ste Marie de la Mer,
Nous avons le cœur en bandoulière,
Le soir sur le parvis de l’église,
Les voies espagnoles se brisent,
Au son Fado.
Les danseurs frappent leur talon sur le sol,
Au rythme endiablé du flamenco,
Qui ensorcellent les couples d’amoureux,
Qui dansent les yeux dans les yeux.
La place s’enflamme,
La musique prend son envol,
Sur les tables, les bougies brillent et dansent,
Au rythme cadencé de la salsa,
Qui embrasent le cœur de nouveaux amants,
Et s’enivrent au parfum de la sangria.
La place attire de nouveaux passants,
Qui restent des heures bouche bée,
Jusqu’au clair de lune tamisée.