En vérité, je ne l'ai pas aimé parce qu'il ressemble trait pour trait à tous les poncifs auxquels ont à droit durant sa période.
Ce que je n'attends pas de la poésie, c'est une copie de ce que l'ont doit subir. Rien contre les jeux, au contraire, le sport et les athlètes.
Mais le reste pour moi, représente l'ultra capitalisme greffé par obligation sur ce moment magnifique...
Et quand je vois des partenaires des JO "premium" ça me fout les boules quand même ^^
Heureux d'avoir les JO en France, mais les à côtés commerciaux dénaturent, comme toujours, le naturel d'un événement hors norme.
J'en veux énormément aux clubs de foot, à cause d'eux, la fête ne sera pas totale. Car il ne faut pas cligner des yeux, on va défoncer le nombre de médaille, même en l'absence de nos meilleurs footballeurs.
Je vous fait un exemple :
"Ô toi, noble cité, berceau de l'excellence,
Paris, jadis témoin de grandeur et d'essence,
Où les Jeux olympiques, par leur pur idéel,
Devaient unir les peuples sous un ciel fraternel.
Mais hélas, en ces jours où règne la finance,
Les promoteurs sans foi, en quête d'opulence,
Ont dénaturé l'âme des nobles compétitions,
Pour en faire un commerce de viles exhibitions,
Où sont les idéaux de jadis, si sacrés,
Le respect, l'honneur, les talents consacrés ?
Les athlètes valeureux, par l'esprit olympique,
Sont devenus des pions d'un jeu mercantile, cynique,
Les stades majestueux, temples de la vertu,
Sont devenus des arènes pour des gains incongrus.
Les spectateurs avides, de divertissements vains,
Oublient la pureté des gestes humains,
Ô noblesse des Jeux, que l'or ternit,
Reviens dans ta splendeur, ta grandeur infinie.
Rejette l'emprise de ces marchands sans cœur,
Qui déshonorent ton flambeau, ton éclat, ta lueur.
Qu'un souffle de raison balaie cette folie,
Que les valeurs anciennes renaissent sans répit.
Que Paris retrouve, en son sein éclatant,
La pureté des Jeux, l'esprit triomphant.
Aux promoteurs avides, aux faiseurs de profit,
Laissez place aux héros, aux gestes magnanimes.
Redonnez aux Jeux leur essence, leur vie,
Pour qu'à jamais triomphe l'âme olympique, sublime."
Ne cherchez pas les pieds, c'est un Pamphlet
Amitiés,