Entre terre et ciel, debout l’homme se trouve, avec évidemment ses
manières, ses manières de vouloir défier le temps.
Il ne se soucie de rien, ni de la terre ni du ciel.
Sa vie tient à un fil, celui du ciel.
L’homme porte le fardeau des années,
Des années qui l’ont profondément marqué jadis.
Et il ne se soucie toujours de rien.
Il continue son train de vie.
Le temps passe, l’enfant devient homme,
Et avec le temps et les années, devient vieux.
Sa vieillesse le tracasse,
Et il se demande ce qu’il a fait de mieux dans toute sa vie.
Durant tout ce temps ;
Qu’a-t-il fait de bon ?
Qu’en est-il de ses souvenirs ?
Où sont ses beaux jours ?
Le temps a drôlement passé, et durant tout ce temps il ne s’est soucié de
rien, ni de la vie ni de l’avenir.
Maintenant vieux, Il fait ses comptes.
Essaie de remonter bien loin.
Il veut à tout prix retrouver sa jeunesse,
Peut-être aussi son charme et sa vigueur.
Et sans y parvenir se sent désespéré, affaibli, troublé.
Il se sent à la dérive.
Le moment approche ;
Peut-être est-ce déjà l’agonie !
Est-ce déjà la mort qui sonne le glas !
Au temps et à la mort nulle échappatoire,
Le temps n’est qu’illusion,
Le temps est comme une passoire,
Impliquant une exclusion.
Une sorte d’exécutoire,
D’une âme et d’un esprit en fusion,
L’homme se trouve pressé comme une poire,
Qui s’attirent et se repoussent jusqu’à l’explosion.
Tant de questions lui viennent à l’esprit,
Mais pas moyen d’y répondre.
Il se parle à lui-même, comme si c’était un fou.
Il est de plus en plus nerveux, de plus en plus angoissé et vit de plus en
plus sur ses nerfs.
La tristesse et la solitude le gagnent.
Il est de plus en plus replié sur lui-même.
Pour lui le temps l’a vraiment trahi et lui en veut.
Mais pour se soulager, il parle pour ainsi ne rien dire.
Il veut être écouté de tout le monde, mais personne ne l’écoute.
Et pour cela il s’écoute trop.
Le tout le dérange, mais au fond il dérange tout le monde.
Le vieux a cent ans et espère vivre plus.
Il n’en a pas marre de la vie,
Il s’accroche à la vie,
Il s’accroche à la vie comme s’il était une araignée.
Il se débat et se débat contre le temps, contre la mort
Et surtout contre lui-même………………….. !
Mais où est-il votre vieux ?
C’est drôlement bizarre !
On n’entend plus rien !
Que s’est-il passé ?
Tout cela est bien calme, calme et silencieux.
Qu’est-il devenu ?
Est-il en voyage ?
Oui et non,
Mais comment ça ?
Ah !bon !
C’est donc ça !
C’est donc la M… !
C’est donc la F… !
manières, ses manières de vouloir défier le temps.
Il ne se soucie de rien, ni de la terre ni du ciel.
Sa vie tient à un fil, celui du ciel.
L’homme porte le fardeau des années,
Des années qui l’ont profondément marqué jadis.
Et il ne se soucie toujours de rien.
Il continue son train de vie.
Le temps passe, l’enfant devient homme,
Et avec le temps et les années, devient vieux.
Sa vieillesse le tracasse,
Et il se demande ce qu’il a fait de mieux dans toute sa vie.
Durant tout ce temps ;
Qu’a-t-il fait de bon ?
Qu’en est-il de ses souvenirs ?
Où sont ses beaux jours ?
Le temps a drôlement passé, et durant tout ce temps il ne s’est soucié de
rien, ni de la vie ni de l’avenir.
Maintenant vieux, Il fait ses comptes.
Essaie de remonter bien loin.
Il veut à tout prix retrouver sa jeunesse,
Peut-être aussi son charme et sa vigueur.
Et sans y parvenir se sent désespéré, affaibli, troublé.
Il se sent à la dérive.
Le moment approche ;
Peut-être est-ce déjà l’agonie !
Est-ce déjà la mort qui sonne le glas !
Au temps et à la mort nulle échappatoire,
Le temps n’est qu’illusion,
Le temps est comme une passoire,
Impliquant une exclusion.
Une sorte d’exécutoire,
D’une âme et d’un esprit en fusion,
L’homme se trouve pressé comme une poire,
Qui s’attirent et se repoussent jusqu’à l’explosion.
Tant de questions lui viennent à l’esprit,
Mais pas moyen d’y répondre.
Il se parle à lui-même, comme si c’était un fou.
Il est de plus en plus nerveux, de plus en plus angoissé et vit de plus en
plus sur ses nerfs.
La tristesse et la solitude le gagnent.
Il est de plus en plus replié sur lui-même.
Pour lui le temps l’a vraiment trahi et lui en veut.
Mais pour se soulager, il parle pour ainsi ne rien dire.
Il veut être écouté de tout le monde, mais personne ne l’écoute.
Et pour cela il s’écoute trop.
Le tout le dérange, mais au fond il dérange tout le monde.
Le vieux a cent ans et espère vivre plus.
Il n’en a pas marre de la vie,
Il s’accroche à la vie,
Il s’accroche à la vie comme s’il était une araignée.
Il se débat et se débat contre le temps, contre la mort
Et surtout contre lui-même………………….. !
Mais où est-il votre vieux ?
C’est drôlement bizarre !
On n’entend plus rien !
Que s’est-il passé ?
Tout cela est bien calme, calme et silencieux.
Qu’est-il devenu ?
Est-il en voyage ?
Oui et non,
Mais comment ça ?
Ah !bon !
C’est donc ça !
C’est donc la M… !
C’est donc la F… !